Dans le cadre du centenaire de la Jeune Chambre International et de la préparation des festivités qui marqueront la célébration, Fanja Ramahatafandry, membre de la Jeune Chambre Internationale de Madagascar et coordinatrice des chroniqueurs pour le livre « JCI story» appelle tous les anciens membres de la JCI à participer à la célébration et à s’impliquer dans l’élaboration de ce livre, mais aussi de la caravane qui reliera Tuléar à Diégo Suarez. Pour elle, c’est un nouveau centenaire chargé d’impacts et de changements positifs qui commence. Interview.
Midi : Etre membre de la Jeune Chambre Economique à Madagascar, c’est quoi aujourd’hui ?
Fanja R. : C’est être un citoyen actif qui apporte des solutions avec d’autres membres du réseau à des problèmes ciblés de la communauté dans laquelle sont implantées les organisations locales de la Jeune chambre.
Midi : Que représente pour vous le centenaire de la JCI ?
Fanja R. : Ça marque l’impact. Au bout de cent ans d’existence on peut se dire qu’on a fait des choses. C’est l’histoire ! Le Centenaire c’est déjà la consolidation de tout ce qui a été fait mais aussi le début pour un nouveau centenaire chargé d’impacts et de changements positifs.
Midi : Comment les OLM comptent-ils marquer ce centenaire à Madagascar ?
Fanja R. : Chaque organisation locale a un responsable du centenaire qui est chargé d’organiser des projets. Chaque OLM a son projet. Cette année pour marquer le centenaire au niveau national nous avons le livre JCI Story qui sera publié pour les membres et pour le grand public. Le livre racontera l’histoire de la Jeune chambre mondiale et de la Jeune Chambre à Madagascar depuis sa création. Nous envisageons aussi de réaliser une caravane Jeune Chambre Internationale qui partira de Tuléar pour atteindre Diégo Suarez, ville qui abritera la convention nationale de la JCI les 09, 10 et 11 octobre de cette année. Toutes les OLM participeront.
Midi : Pourquoi êtes-vous entrée à la Jeune Chambre économique ?
Fanja .R : En plus d’avoir toujours été active, j’ai toujours aimé apporter ma participation pour le changement positif. Il y a une façon de faire à la Jeune Chambre qui fait que l’on a un cadre JCI du citoyen actif. Comment réalise-t-on les projets ? Comment les gère-t-on pour obtenir des impacts ? J’ai intégré la Jeune Chambre pour faire partie de ce réseau qui apporte des changements positifs. Je ne suis que depuis quatre ans à la Jeune Chambre mais j’ai déjà eu beaucoup de retour positif par rapport à mon implication.
Midi : Comment voyez- vous l’avenir de la JCI pour le prochain siècle ?
Fara R. : Grâce à la technologie et à tout ce qui se passe dans le monde, l’avenir de la Jeune Chambre c’est de toujours augmenter son réseau et son impact à travers les actions que l’on continuera. Mais il nous faudra surtout nous connecter et travailler avec les entités locales, administratives, les autorités et le secteur privé pour un partenariat qui créera des changements. L’avenir c’est le partenariat ! Quant au prochain siècle, je me réfèrerai au leitmotiv du président mondial Ismaïl Azmedar de la Jeune Chambre Internationale « Commit, connect and care” « commit » c’est l’engagement fait pendant le siècle passé, « connect » c’est connecter les membres et le réseau avec le présent et le futur, « care » c’est s’intéresser au futur et le préparer dès maintenant. J’y ajouterai le leitmotiv de notre président national «improve the future » car nous comptons travailler avec toutes les parties prenantes pour construire l’avenir.
Recueillis par Z.R
