Leur prénom fait la une des derniers temps tant ils s’activent de par le monde pour en fait une même mission, la lutte contre la « barbarie ».
Le premier, Hollande de son patronyme, a fait la tournée des popotes des croisés pour rassembler les forces de frappe pour abreuver ses sillons « d’un sang impur ».
Le second, François tout court, peut être pour nier toue affiliation avec le François 1er fait son chemin de croix en Afrique bravant tout danger en allant jusqu’au PK5, camp retranché de musulmans à Bangui.
Quand le président dit : qu’il ne faut céder « ni à la peur, ni à la haine ». Le pontife parle qu’i faut : « Résister à la peur de l’autre ».
Mais ne faisons pas l’amalgame, mot encore à la mode, car si le ton guerrier est revendiqué chez l’un, le pardon et la tolérance sont toujours prônés par l’autre.
Cependant, Machiavel dans Le Prince a écrit :
« Vous devez donc savoir qu’il y a deux manières de combattre, l’une avec les lois, l’autre avec la force. La première est propre aux hommes, l’autre nous est commune avec les bêtes ; mais lorsque les lois sont impuissantes, il faut bien recourir à la force ; un prince doit savoir combattre avec ces deux espèces d’armes ».
Une pensée blasphématoire peut traverser l’esprit et dire : « S’ils se partagent le travail, faisant le jeu du bâton et de la carotte ? ».
En effet, en le parcourant encore on y voit : « Le Prince peut se montrer cruel si la situation l’exige, mais toujours dissimuler et paraître juste au peuple (différence ente l’être du Prince et son paraître). La raison d’Etat prime sur le respect de la morale.
M. RANARIVAO