La traditionnelle sortie de promotion de l’IPAC, l’institut de Coiffure et d’Esthétique, a revêtu cette année une ambiance toute particulière avec en toile de fond la célébration des 30 ans de cette prestigieuse école dont l’aura a déjà franchi nos frontières avec la prestation des élèves qui ont trouvé preneur dans les îles de l’Océan Indien pour ne citer que l’île Maurice et la Réunion.
Preuve si besoin est du sérieux de cet établissement et qui lui vaut tous les éloges comme c’était encore le cas le 16 décembre dernier dans la grande salle d’Eldorado, à Soavinimerina, où la directrice des Curricula et de l’Assurance Qualité au ministère de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle, Hary Lala Razafinimpiasa, représentant la ministre Toto Lydia, n’a pas pu s’empêcher de louer les efforts de l’IPAC pour une formation des plus crédibles.
Un statut que l’IPAC doit aux qualités indéniables de son personnel enseignant mais aussi de par son partenariat avec l’Ecole Supérieure Jean Claude Aubry qui se trouve en France et dont la renommée ne se dément pas dans le domaine de la coiffure avec, cerise sur le gâteau, des sortantes immédiatement opérationnelles dès la fin des études. A bonne école, IPAC maîtrise bien, il faut le dire, le sujet. A preuve, le défilé de coiffure et d’esthétique tout simplement connu pour être le défilé des mariées avec le concours de Lucienne Mariage de ce vendredi 16 décembre et préparé avec soin par les 130 élèves de la promotion Amboara, a séduit l’assistance autrement dit une salle comble. Bref, un moment qui fera date dans l’histoire de cet établissement de référence avec la présence du Président Directeur Général de l’ACEEM, William Ratrema, qui n’est autre que le frère de la directrice de l’IPAC, Saholy Raobilalao, une femme heureuse comme tout. Logique quand on sait que les sortantes de l’IPAC se chiffre aujourd’hui par millier dans les quatre coins de l’île et surtout parce qu’elles sont immédiatement opérationnelles une fois les études terminées. La marque des grands établissements en fait…
Clément RABARY