
La sortie de la Promotion Lafatra forte de 125 coiffeurs et 70 esthéticiennes, a été une belle occasion pour l’Institut Professionnel des Arts de la Coiffure (IPAC) de montrer à la face du monde que cette prestigieuse école vibre désormais à l’heure internationale.
Pour preuve, trois femmes stagiaires de l’IPAC qui rentraient d’un stage à Toulouse, plus précisément à l’Ecole Supérieure de Coiffure Jean Claude Aubry, ont été présentées lors de cette cérémonie de samedi à L’Eldorado.
Tendance 2014-2015. Comme si cela ne suffisait pas, l’IPAC a innové cette année car outre la traditionnelle démonstration de la coiffure des mariées par les membres de la promotion sortante, il y avait surtout ce défilé portant sur la coiffure tendance 2014-2015.
Une cérémonie honorée par la présence du Directeur de Cabinet de la Primature, Tiana Rasamimanana, ainsi que deux représentants du ministère de l’Emploi notamment le directeur de cabinet et un Inspecteur. Du beau monde en fait et qui a été témoin du savoir-faire de l’IPAC avec non seulement une belle animation de l’orchestre Jimmy Harison mais surtout par la prestation des membres de cette promotion Lafatra qui se sont surpassés.
Une belle fête réalisée avec l’aide des partenaires de l’école comme Lucienne Mariage, Pavillon 111 Behoririka, Box 5 Soarano et même Tia Shop Analakely.
Pas de limites. Modeste, la directrice de l’IPAC, Saholy Raobilalao, entend encore investir davantage avec l’aide d’un encadrement de qualité sinon de niveau international. « Les limites sont faites pour être dépassées », se plaît à répéter cette directrice très exigeante envers elle-même mais aussi envers les élèves. Une attitude logique car ces derniers font partie de la vitrine IPAC pendant leur carrière.
Le propre de l’école est d’ailleurs de fournir sur le marché du travail des gens immédiatement opérationnels alors autant le faire en bien. Pour cela, elle ne lésine pas sur les moyens, pédagogiques entre autres, pour un enseignement de qualité conforme aux normes internationales déjà qu’elle bénéficie sur ce chapitre des retombées positives de sa collaboration avec l’Ecole Supérieure Jean Claude Aubry. Faudrait-il alors s’étonner de voir l’IPAC s’asseoir sur le fauteuil de leader dans le domaine de la coiffure et de l’esthétique ? Bien sûr que non…
Clément RABARY