Pour une bonne nouvelle, le départ, hier, de trois étudiantes de l’IPAC au siège de l’Ecole Supérieure de Coiffure Jean Claude Aubry, à Toulouse, en est vraiment une. Et plus particulièrement pour l’IPAC qui conforte ainsi sa place de leader en ne se limitant pas aux études faites sur place même si, de l’avis de la directrice de ce prestigieux institut, Saholy Raobilalao, toutes et tous les sortants, car il y a des hommes, de l’IPAC Coiffure sont immédiatement opérationnels une fois leurs études terminées dans l’un des centres notamment à Ambodivona, aux 67ha et à Ankadivato.
Grâce notamment au partenariat liant l’IPAC à l’Ecole Supérieure de Coiffure Jean Claude Aubry, trois jeunes femmes vont pouvoir suivre un stage d’un mois et demi dans le centre de l’Ecole Supérieure Jean Claude Aubry. Il s’agit de Lolita Randrianonenana, Deborah Herivelonirina et Philipine Rahantamalala. Ces dernières ont gagné ces bourses de stage après un concours interne à l’IPAC et ayant associé toutes les promotions.
« Dans ce métier, il ne faut pas être à la traîne car tout évolue et ce stage à Toulouse va permettre aux trois stagiaires de se mettre au goût du jour mais surtout d’avoir de l’expérience sur tous les types de cheveux car elles vont exercer dans le salon- école de la Coiffure du Monde», explique Saholy Raobilalao qui fera également le voyage en France pour y suivre un séminaire international sur la coiffure.
Une offensive sur deux tableaux donc pour l’IPAC qui montre ainsi la voie à suivre quand on veut donner à son établissement une dimension internationale. Ce qui est déjà le cas car les sortantes de l’IPAC-ESJCA peuvent exercer n’importe où dans le monde et figurent parmi les plus sollicitées dans le domaine non seulement de la coiffure mais aussi de l’esthétique.
Clément RABARY



