« A quelque chose malheur est bon ». Un adage bien connu qui ne signifie pas à priori que, dans une conjoncture tout est catastrophique, loin de là. Pour n’illustrer que dans l’instauration d’un état d’urgence sanitaire, le maître-mot est la célérité dans la prise de décisions et de l’exécution garantissant son efficacité. Autrement dit, faire les choses vite à l’instar du Centre Opérationnel Covid-19. Où les instructions présidentielles s’exécutent très vite.
Machine. Pour ne citer, entre autres les dernières instructions du président de la République alors que les responsables étatiques n’avaient au juste que quatre jours pour mettre sur les rails les différents préparatifs d’une rentrée scolaire concernant uniquement les classes d’examen tant au niveau du privé que du public à travers toute l’Île, et mettant à rude épreuve la machine de l’Etat dans ses capacités à faire les choses dans la rapidité de l’exécution. Ce qui a été chose faite dès mercredi dernier, dans l’ensemble du territoire nationale, tout en respectant les mesures barrières contribuant à l’instauration de l’état d’urgence sanitaire. Certes des imperfections dans les petits détails ont été signalées à travers les médias et réseaux sociaux dans différents endroits de l’Île, mais le deadline, d’une manière générale, a été respectée. Le principal a été réalisé et les petits détails restent à améliorer.
Laisser-aller. Un actif à mettre à l’endroit de l’Etat dans sa culture de célérité et de mettre dorénavant de côté, le laisser-aller d’une époque révolue pour le bien-être des contribuables.
Anastase