La période pré-électorale est une période particulièrement sensible. Dans l’édition 2022 du Reporters sans frontières en collaboration avec l’OIF, il est dit qu’elle peut donner lieu à des tensions (verbales, physiques ou psychologiques) entre candidats, partis politiques, partisans et forces de l’ordre. Ces tensions sont susceptibles de s’étendre aux journalistes. Leur position centrale dans la période pré-électorale, notamment lors des reportages qui pourraient influencer l’opinion publique, peuvent en faire des cibles. Le jour du scrutin n’est pas exempt de risques non plus. Il s’avère ainsi nécessaire de penser à la sécurité des journalistes en période électorale. Toujours est-il que les réseaux sociaux sont également devenus un outil pour certaines catégories de personnes afin d’attiser la haine et d’appeler à la violence contre les journalistes. Ces derniers peuvent ainsi devenir l’objet de campagnes de harcèlement mais surtout de désinformation visant à nuire à leur crédibilité.
Recueillis par Dominique R.
Avec tous ces jpurnaleux qui courent après les FELAKA faisant fi de l’éthique et la déontologie du métier , le professionnalisme est mis à mal . Certains même se versent dans le militantisme pour survivre . En matière de désinformation cette presse-poubelle doit d’abord balayer devant sa porte …