Grâce à une politique d’anticipation menée par le ministère de l’Industrialisation, du Commerce et de la Consommation, aucune pénurie de riz n’est à craindre. Le département d’Edgard Razafindravahy rassure en annonçant un stock suffisant de riz pour faire face à la période de soudure. « Le marché dispose encore de 160 000 tonnes de vary tsinjo » annonce le MICC. Et ce dernier précise que d’autres cargaisons de riz continuent d’arriver au port de Toamasina. De quoi rassurer les consommateurs qui ont donc droit à du riz importé d’assez bonne qualité, vendu à un prix moins cher que le riz local. « On a fait le maximum pour que le prix du riz importé soit accessible aux consommateurs ». En effet, le riz importé actuellement n’a rien à voir avec le fameux riz stock tampon d’antan. Dans les marchés de quartiers, de plus en plus de ménages optent pour le vary tsinjo. En ce qui concerne le riz local, l’objectif du ministère en charge du Commerce est d’aider les paysans en leur laissant la liberté de vendre à un prix qui leur permet de dégager un bénéfice. Pour en revenir au vary tsinjo, le MICC sollicite la collaboration d’autres départements pour faciliter leur transport qui n’est pas forcément facile à cause des dégâts sur les routes nationales, provoqués par les intempéries.
R.Edmond.
Est-ce que quelqu’un pourrait faire une analyse des pesticides et autres saloperies chimiques potentiellement présentes dans ce riz bas de gamme. Ne rêvons pas, il y a toujours un truc.