C’est toujours le coronavirus qui occupe l’esprit de tout le monde. La peur de ce virus semblant se transmettre très facilement occupe les esprits. Les Malgaches, même si aucun cas de contamination n’a été annoncé officiellement, savent qu’il y a une épée de Damoclès au dessus de leur tête. Les autorités multiplient les mesures de précaution et font tout pour anticiper la menace, mais on sait que le COVID-19 se joue des obstacles mis aux frontières. La situation évolue très vite et on se sent impuissant devant ce fléau qui est en train de se répandre sur tous les continents.
Coronavirus : Un avenir toujours incertain
Alors que pour la Chine, le pire semble être passé et que la progression de la contamination n’est plus aussi importante qu’avant. C’est maintenant le reste du monde qui voit se multiplier les victimes. Les nouvelles sont alarmantes. La France, l’Italie, l’Autriche, la Grèce, la Corée du sud, l’Algérie, l’Egypte, la litanie ne s’arrête plus . C’est maintenant une quarantaine de pays qui ont connu leurs premiers morts. La panique ne s’est pas encore installée, mais l’inquiétude commence à poindre. Les autorités sanitaires multiplient les campagnes de communication pour rassurer la population. Les mesures prises font penser que la situation est sous contrôle, mais on voit les réflexes isolationnistes surgir. On se navre des appels à la fermeture des frontières, d’autres ont des comportements ouvertement racistes à l’égard de la communauté chinoise. La majorité des citoyens garde cependant une certaine retenue et garde son sang froid. L’OMS prodigue beaucoup de conseils et semble parfaitement mesurer l’ampleur du danger. La propagation du COVID-19 est très lente, mais l’explosion des cas de contamination peut se produire très vite. L’épidémie ne fait que commencer et l’avenir n’est pas écrit.
Patrice RABE