La lutte contre la corruption est un autre chantier qui préoccupe les responsables de la gendarmerie nationale. Le secrétaire d’Etat Serge Gellé l’évoque à tout bout de champ. Ce membre du gouvernement affirme à plusieurs reprises que son département n’est pas épargné par les réalités des statistiques de la corruption, qui mettent en exergue une gendarmerie nationale parmi les services publics les plus minés par ce fléau. Pour redresser la barre, des efforts ont été déployés, soutiennent les hauts gradés de la gendarmerie. « Des gendarmes ont été révoqués, d’autres sanctionnés, certains emprisonnés », reconnaît le général de Brigade, Zafisambatra Ravoavy, hier à l’issue d’une conférence-débat sur la corruption dans le cadre de la célébration de la journée internationale de la lutte contre la corruption.
Pourtant, la prévention est également une arme sur laquelle les gendarmes veulent miser pour faire reculer la corruption. L’objectif est de « poursuivre l’assainissement déjà en cours », a soutenu Zafisambatra Ravoavy afin qu’on puisse « améliorer les services publics de la gendarmerie, notamment la police de la route, la police judiciaire ainsi que l’assistance aux citoyens ». Dans ce cadre, ce directeur de la sécurité et du renseignement auprès du commandement de la gendarmerie exhorte une « prise de responsabilité de tous les acteurs, en l’occurrence, les agents de l’administration, les membres de la société civile, les forces de l’ordre et surtout les citoyens, dans la lutte contre la corruption ».
Rija R.
Vous avez bien dit monsieur de forme comme du fond mais demandé un peu à vos supérieurs hiérarchiques comment ils ont fait pour être admis dans l’ACMIL à commencer par Mr le SEG sur vous plait.
Vous avez bien dit monsieur de forme comme du fond mais demandé un peu à vos supérieurs hiérarchiques comment ils ont fait pour être admis dans l’ACMIL à commencer par Mr le SEG s’il vous plait.
Au bas de l’échelle…
La prison pour les petits délinquants et/ou malchanceux !