Libre à lui de défendre à cor et à cri son énième et nouveau patron. C’est son affaire (au propre comme au figuré). Seulement, Midi Madagasikara n’a pas, mais pas du tout, de leçon de journalisme, encore moins d’éthique et surtout pas de déontologie, à recevoir de ce confrère réputé pour être une grande gueule mais pas forcément celle de l’emploi et dont on connaît trop le parcours à travers les dirigeants successifs. De Zafy Albert à Hery Rajaonarimampianina, en passant par Didier Ratsiraka, Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina. C’est à la mesure même du nombre de radios « traversées » par ce nomade médiatique dont nous tairons tout aussi bien le nom que le prénom quoiqu’il ne se soit pas gêné pour citer expressément notre journal. Sans la moindre …diplomatie. Un style « rentre dedans » qui est peut-être pour quelque chose dans l’éviction de son précédent poste dans le …Midi (de la France s’entend) de ce confrère qui est apparemment en mode rattrapage. En attendant d’appuyer de nouveau sur la touche « pause » ou « replay ». C’est selon la reconduction ou le changement de la classe dirigeante.
La Rédaction