
Des efforts sont déployés par la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) pour l’organisation des marchés dans la Capitale. Des infrastructures ont été déjà construites pour assainir les rues et les trottoirs. Pas plus tard que mardi, une convention de partenariat a été signée entre la CUA et l’association des marchands de Mahamasina, d’Andrefan’Ambohijanahary (FIMA) et Ambohimanarina (FIMPIVA). Un partenariat qui s’inscrit dans la poursuite des discussions entre le premier magistrat de la ville d’Antananarivo et ces associations dans le cadre de l’organisation du marché, la restauration de l’Etat de droit et le raffermissement de l’unité et de la solidarité des marchands. C’était également l’occasion d’expliquer aux commerçants le projet de la digitalisation qui a engendré des polémiques ces derniers temps. Il s’agit non seulement de lutter contre la corruption mais surtout d’optimiser les recettes de la Commune. « Ces recettes devraient aider à la concrétisation de projets sociaux, de soins de santé et de prévoyance sociale pour les marchands », selon le communiqué de la CUA.
Narindra Rakotobe