Ses détracteurs le qualifient de « bateleur ». Donald Trump fait cependant preuve d’une efficacité redoutable quand il se trouve sur scène. Ses formules prononcées avec une certaine agressivité font mouche à tous les coups. Les observateurs commencent à penser qu’il peut remporter une victoire à l’arraché face à Kamala Harris. Cette dernière sait que le résultat du scrutin ne sera pas aussi net que prévu et elle se lance à corps perdu dans une bataille électorale qui ressemble à un véritable corps à corps avec son adversaire.
Donald Trump, une icône : difficile à déboulonner
Les Américains se sont habitués à la manière abrupte dont Donald Trump entame ses discours. Ses partisans sont subjugués par la fougue dont il fait preuve sur scène.Quand il traite Kamala Harris de « communiste », c’est le délire dans leur rang. Ils boivent littéralement ses paroles. « Elle transformerait l’Amérique en un grand Venezuela ». Contrairement à lui qui « reconstruira l’Amérique ». Il mise sur l’économie pour attirer les électeurs. Il met en avant son bilan durant son mandat et il sait que les ménages reconnaissent que l’économie était florissante durant ses quatre ans à la Maison blanche. Ces derniers sont moins satisfaits de la performance du président Biden. Ils sont traumatisés par l’explosion de l’inflation durant la période du Covid. Il préconise la taxation à 100% des importations qui permettra de récupérer des emplois aux autres pays. C’est également à Joe Biden qu’il fait référence pour parler de Kamala Harris. Il rappelle que son mentor « sleepy Joe » était vieillissant. Il la renvoie à ce qui a eu lieu pendant son mandat : l’invasion de l’Ukraine par la Russie et la tuerie du 7 octobre en Israël. Il parle du risque de troisième guerre mondiale qui en résulte. Il ne cesse de rappeler que Dieu lui a sauvé la vie. Malgré tous ses déboires judiciaires, il reste droit dans ses bottes. Kamala Harris aura encore fort à faire pour arriver à déboulonner la statue de cette icône qui reste très populaire dans une partie importante de l’électorat.
Patrice RABE
L’ Amérique raciste avec des cinglés qui ne jurent que par les armes à feu , qui délirent sur la peine de mort et qui fantasment grave sur le droit à l’avortement , forme le lot d’un électoral basique loin d’être instruit de Donald Trump . Ce pervers narcissique qui incitait à boire du javel contre le Covid . Avec son mentor Elon Musk il a l’art des envolées mensongères et des fakes .Son plan secret pour contester une éventuelle victoire de Kamala Harris alimente le buzz . Washington post a fait preuve de lâcheté en optant pour le ni-ni . Le Wokisme dans les universités prendra de l’ampleur . Ce n’est pas l’Amérique qu’on aime avec ce baveux et oui c’est bien un FASCISTE !