« Harilala, la seule qu’on veut », scandaient hier les partisans de l’IRMAR réunis à Anosy, alors que le camp adverse dénonçait une « fraude électorale ». La Cour d’État examine aujourd’hui la requête déposée par Tojo Ravalomanana visant à disqualifier l’élue Harilala Ramanantsoa. Cette dernière affirme faire confiance à la justice et « se tenir pour la vérité », même si elle n’a pas assisté à l’audience et a été représentée par son avocat, contrairement à son adversaire, présent sur place.
Nadia R.





