Madagascar affiche un dynamisme certain sur le plan de l’environnement au niveau mondial. Deux hauts responsables en l’occurrence Rafaravavitafika Rasata (Affaires étrangères) et Max Andonirina Fontaine (Environnement et Développement durable) ont participé à la réunion de haut niveau Net Zéro Carbone initiée par le Premier ministre du Bhoutan, en marge de la 79ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies.
Ayant vu la participation de cinq pays dont Madagascar et en partenariat avec la FAO, le PNUD, le GEF, le PNUE et PLANET LABS, cette réunion a conduit à la création de la plateforme « G-Zéro », soulignant le rôle clé de Madagascar dans la promotion de la neutralité carbone.
Leader environnemental
Durant les discussions, les deux membres du gouvernement ont démontré que malgré les défis, Madagascar s’affirme comme un leader environnemental, réaffirmant son engagement à développer des solutions durables et à servir de modèle de séquestration carbone. La réunion a également renforcé le Forum des pays négatifs et neutres en carbone, permettant aux nations de partager des expériences et de plaider pour des financements adaptés. Une occasion, notamment pour le ministre Max Andonirina Fontaine Madagascar de porter un message fort sur le statut de Madagascar en tant que pays d’actions et de solutions, déterminé à lutter contre le changement climatique.
Table ronde
En marge du “Sommet de l’avenir” à New York, le ministre Max Andonirina Fontaine a également participé à une table ronde organisée par l’UNICEF. Intitulé “Réaliser le bilan mondial en faveur des enfants : placer les enfants et les générations futures au cœur de l’action climatique”, cet événement a rassemblé des figures clés telles que Mukhtar Babayev, président désigné de la COP29, et Kitty van der Heijden, deputy executive director de la COP29, ainsi que d’autres ministres et des défenseurs de la jeunesse de l’UNICEF.
Cette rencontre a permis de souligner l’importance des actions climatiques spécifiques sur les enfants et les jeunes afin de garantir leur intégration dans l’agenda de la COP29. Les intervenants ont insisté sur le fait que les enfants et les jeunes doivent jouer un rôle central dans les processus décisionnels liés à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Une opportunité également pour le ministre de l’Environnement et du Développement durable de discuter avec une jeune représentante des Caraïbes sur la gestion des risques et vulnérabilités des enfants face aux aléas climatiques. Place aux jeunes pour la bonne cause de l’environnement.
R.Edmond.
encore un beau discours mais jamais d’effets sur le terrain juste bon pour « piquer » du pognons aux BDF !!!!!!!
vive le charbon de bois, la déforestation , les véhicules pourris,…….etc
toujours des coupures de courant à tana……………..