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lundi, juillet 7, 2025
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Etat de  droit et bonne gouvernance : Les dérives du pouvoir dénoncés par le HVM

Le HVM a fait le plein, hier, au Carlton. (Photo Princy)

Deux anciens Premiers ministres, en l’occurrence, Monja Roindefo et Kolo Roger, des anciens et actuels parlementaires, des membres de la société civile ainsi que des enseignants et étudiants ont assisté à la conférence-débat organisée par le parti HVM, hier, en la salle Ravinala A du Carlton. 

Le parti HVM refait surface après avoir gardé le silence durant un certain temps. Il n’est pas allé de main morte pour dénoncer sur ce qu’il qualifie de dérives du pouvoir portant notamment sur l’Etat de droit et de la bonne gouvernance. Il a sorti ainsi un mémorandum dont le contenu a été exposé, hier, au Carlton. Les sénateurs Beranto Alexandre ainsi que Riana Andriamandavy VII ont ainsi parlé des violations des dispositions de la Constitution et des principes de l’Etat de droit, des incohérences des actes pris par la Haute Cour Constitutionnelle, de la violation des droits de l’homme et des principes de la liberté d’expression et d’opinion et de la violation des droits de l’homme et des principes de la liberté d’expression et d’opinion, de la violation des processus électoraux : transparence, équité et égalité de chance, de la violation du principe de la séparation des pouvoirs et des irrégularités sur les procédures de passation des marchés publics.

Abus de pouvoir. De son côté, Rivo Rakotovao qui a parlé en tant que coordinateur national de ce parti a déclaré:  “Ce qui est mentionné dans ce mémorandum nous l’avions vécu” tout en faisant remarquer: « Ce n’est pas une question d’état d’âme, mais cela rentre dans le cadre de l’intérêt supérieur de la Nation ». Par ailleurs, « Même si nous étions au pouvoir pendant cinq ans, cela n’a pas convaincu la majorité de la population » a-t-il reconnu. “Et certains d’ironiser que ne devrions plus parler.” Toutefois, ce parti estime qu’il ne peut pas se taire face aux  abus de pouvoir constatés tout au long de ces 12 mois et il ne voudrait en aucun cas  être complice des excentricités constatées à plusieurs reprises, perpétrées par les dirigeants actuels. Toujours d’après le coordonnateur national, ce mémorandum a été remis en premier lieu au Président de la République. Les chefs d’Institution ont eux aussi leur part.

Dominique R.

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