
Le coordonnateur national du FLN, Jean Pierre, dit Iada, a réagi avant-hier aux propos du chef de l’État. Selon lui, « un président doit s’adresser directement au peuple, et non à travers des interventions médiatiques préparées », où questions et réponses semblent déjà cadrées. Les journalistes, ajoute-t-il, « doivent être libres d’y assister ».
Programme clair
Pour le FLN, il devrait exister une structure chargée de porter la voix du peuple auprès du gouvernement, surtout si celui-ci affirme agir conformément à la Constitution. Et si les institutions ont été dissoutes le 11 octobre, « il est normal que ce débat revienne au peuple ». Iada déplore surtout « l’absence de programme clair ». Selon lui, le chef de l’État gouverne « selon son ressenti », sans vision sociale et sans Politique Général de l’État (PGE) véritablement défini. « Sur quoi repose alors le PGE présenté à l’Assemblée ? », s’interroge-t-il. Selon le FLN, aucune décision forte n’a encore été prise. « Le pays perpétue les erreurs du passé », estime-t-il, rappelant que les problèmes réels – hôpitaux sans médicaments, faible taux de scolarisation faute de moyens – ne peuvent attendre la fin de la transition.
Nadia R.






Une analyse étriquée et erronée.
Un état d’esprit polémique et fermé..
Parmi les modalités du changement,il y a pour le moins, le respect et la discipline.