L’association Front Line Defenders revendique la libération immédiate et sans condition de Thomas Razafindremaka, et abandonner toutes les charges retenues contre lui, car elle estime qu’il est détenu uniquement en raison de son travail légitime et pacifique pour la défense des droits humains. Elle estime que l’on doit veiller à ce que le traitement de Thomas Razafindremaka en détention soit conforme aux conditions énoncées dans « l’Ensemble des principes pour la protection de toutes les personnes soumises à une forme quelconque de détention ou d’emprisonnement », adopté par la résolution 43/173 de l’Assemblée générale des Nations Unies du 9 décembre 1988.
Recueillis par Dominique R.