Des partenaires à l’étranger travaillent de concert avec l’établissement pour les opportunités offertes aux étudiants.
La multitude de nouveaux bacheliers et pourquoi pas anciens, qui vont rejoindre leurs aînés universitaires bénéficie d’un choix de plus dans les offres d’études supérieures. Voici Agecotour Business School, la toute dernière née des écoles supérieures. Cette école de management propose quatre mentions, à savoir la mention agribusiness, la mention gestion, la mention communication et la mention tourisme. A la direction, deux championnes de sport les têtes bien pleines avec Bako Ratsifandrihamanana, spécialiste en Tourisme Hôtellerie et Restauration et Anny Andrianaivonirina, spécialiste en communication et journalisme. « Nous avons opté pour ces quatre mentions qui sont des filières porteuses car le marché du travail est encore vaste dans la création d’entreprises quand il s’agit de celles-là » a déclaré Bako Ratsifandrihamanana. La demande est là, les offres ne suffisent pas quelquefois à y remédier. « Nous proposons 4 lieux d’imprégnation déjà sur place pour nos étudiants en L1 avec le domaine Tsilazaina à Alasora, Mantasoa lakechill, le centre de loisirs Vohitsalama et le site principal à Ambohimiandra près de l’école Bird », a précisé Anny Andrianaivonirina. En L2 à la fin du troisième semestre, toutes les Mentions confondues feront leurs voyages d’études à l’ile Maurice. Pourquoi l’île Maurice ? « Parce que nous avons déjà des partenaires sur place, ne serait-ce qu’en journalisme avec deux journaux et quatre sites web. L’agribusiness et l’agrobusiness y sont en plein essor. Plus d’un million de touristes ont visité l’île voisine en 2022 et cette année, ils ciblent 1 400 000 touristes. Nos étudiants doivent voir ce qui se fait, ce qui se joue à l’international et Maurice est assez près et jouable en matière de voyages » a renchéri Anny Andrianaivonirina. D’autres partenaires comme Cap Madagascar voyage à Paris ou encore Loïc Hervouet, ancien directeur d’école de journalisme en France sont avec elles. « Le challenge est énorme mais on aime les challenges, on est habituées » a conclu Bako Ratsifandrihamana. L’établissement supérieur reçoit aussi des étudiants en L2 et L3 en plus des formations modulaires.
T.H