Le nouveau gouvernement est attendu en août prochain. Pendant ce temps, les affaires courantes sont gérées par le gouvernement démissionnaire.
La mise en place d’un nouveau gouvernement est toujours un processus qui demande du temps. Cette attente a été justifiée par le président de la République lors de l’annonce de la confirmation de Christian Ntsay à la primature, le vendredi 12 juillet dernier. « Il ne faut pas se précipiter à mettre en place le gouvernement. Il nous faut du temps pour mieux évaluer », a déclaré le Chef de l’Etat. Cette déclaration souligne l’importance, en haut lieu, de la réflexion et de l’évaluation dans le choix des futurs ministres, afin de s’assurer de leur compétence et de leur capacité à répondre aux défis du pays.
Délai supplémentaire
À ce jour, les démarches habituelles, telles que les consultations des postulants en coulisses, n’ont pas encore commencé. Les recruteurs, chargés de sélectionner les nouveaux membres du gouvernement, ne sont pas encore à l’œuvre, laissant entrevoir un délai supplémentaire avant la formation complète du cabinet ministériel. Entre-temps, la barque est toujours pilotée par le gouvernement démissionnaire investi des missions de gestion des affaires courantes.
Incertitude
Certaines sources proches du dossier ont laissé entendre que « la nomination ne pourrait pas avoir lieu la semaine prochaine ». « La sélection s’annonce aussi rude » a laissé entendre une autre source. En conséquence, il est probable que le nouveau gouvernement soit officiellement constitué au début du mois d’août. Cette période de latence, pourtant, est perçue par le Chef de l’Etat comme un moment important pour garantir un gouvernement efficace et stable. La patience est donc de mise et la nomination des nouveaux ministres est en stand by. L’attente se poursuit donc, laissant planer une certaine incertitude quant aux visages des futurs ministres.
Rija R.
Se laisser convaincre par les diverses explications, c’est donner du temps au temps alors qu’il n ‘en a pas besoin.
Si le temps est de l’ argent; le regarder filer, c’est d’en perdre sans compter tous les jours et par tous temps.
D’ autant que le temps perdu ne se rattrape guère . De même pour les flouze. Quand C’est perdu, c’est foutu. Very drala.
Courir lentement ou se hâter doucement !
Tout à l’ image du pays du moramora.
Salama,
io aloha dia efa mazava be toy ny tafika andrefa-tanana. Olona mora baikona no ilaina ao amin’ity fitondra-panjakana ity. Tsy misy sahy manohitra ny tenin’ny Filoha ireo na ny iray aza. Ny fiteny izany dia sarobakoly no ilaina ao. Raha tsy izany ve dia ho toy izao ity firenena ity e. Baikona havia dia havia, havanana dia havanana. Liana aho handre sy hahalala hoe: mba manao ahoana re ny fizotry ny « conseil des ministres » ao e? Tsy mahadiso mihitsy amiko ny miteny hoe: sao tsy mety izany Atoa Filoha! Misy tena katrakatraka ao amin’ireo ministres ireo fa… ilay trai-kefa Rabary a…. Ao jamba mifampitantana. (Samihafa ny tsy mahay sy ny tsy manana trai-kefa). Io teleferique io aloha dia tena adalana mifangaro kasoa e. axe iray ve dia an’inona? Handeha ery Andraharo aho izao, aiza aho no miala? Ery amin’ny Magro ve sa ery amin’ny petite vitesse? Dia handeha bus indray , amin’ity Ambohitaiajy ity. Zaho aloha resy lahatra fa ny fly over no tokony voizina e dia ny train de banlieu!
Ambava homana, ampo mierotra. Fo spaoro