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dimanche, juillet 6, 2025
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Hanitra Rabeson Rakotondrainibe, marathon de Rome : Découvrir une ville autrement !

Qu’est-ce qui vous pousse à courir ?

Le besoin de transpirer et de perdre du poids. L’envie de se défouler, car pratiquer la course à pied est un sport qui permet à l’esprit de s’évader, à la différence d’un sport de précision comme le tennis où la concentration doit être au maximum à chaque point. L’effet de groupe pour la participation aux marathons, car en réalité, je n’aime pas vraiment courir. J’ai toujours couru par nécessité, en complément d’un autre sport. Grâce à notre groupe, j’ai appris à aimer courir.

Comment faites-vous pour vous préparer avec votre vie professionnelle ?

Une à deux fois par semaine en temps normal et trois à quatre fois par semaine pendant la période de préparation d’un marathon pendant 12 semaines. En semaine, tôt le matin et le week-end: en milieu de matinée. Une préparation encouragée par une discipline de groupe au niveau du régime alimentaire, des réveils très matinaux.

Comment faites-vous pour participer à ces courses, ces « trails » à l’étranger côté financement ?

C’est un financement personnel. J’ai plus de préférence pour les parcours de marathons, que pour les terrains accidentés des « trails ». Comme je ne compte pas faire beaucoup de marathon, je choisis en fonction de la ville et de la taille, ainsi que du prestige du marathon. C’est une manière privilégiée de découvrir une ville qui, de manière générale, consacre ses plus belles rues aux coureurs.

Quelle est la récompense ?

La médaille de « finisher », car pendant la course, un incident de parcours peut arriver à tout moment et peut entraîner un abandon. Donc arriver au bout de la course, quel que soit le résultat au chronomètre, est grandiose. La fierté de s’être surpassé et d’avoir appris à dépasser ses limites physiques grâce à la force mentale. Une leçon d’humilité, car lorsque l’on voit ceux qui courent et souffrent pour une cause perdue ou désespérée, on relativise nos soucis personnels. Et aussi trois kilos en moins. Une force mentale accrue de manière générale, nécessaire pour faire face à toutes les épreuves de la vie, des liens d’amitié solides avec les coéquipiers de part l’aventure vécue pendant la préparation, la compétition et à la troisième mi-temps, la fierté de nos enfants.

Par Anny Andrianaivonirina

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