
Préoccupations
Le gouverneur de la Région Analamanga et non moins secrétaire national du TGV pour Antananarivo, Hery Rasoamaromaka, a tenu un point de presse hier à Ambohidahy, afin de s’exprimer sur la situation politique actuelle. Selon lui, les débats qui agitent le pays ne doivent pas occulter les véritables préoccupations des citoyens. « La politique ne doit pas se transformer en persécution », a-t-il affirmé. Dénonçant les intimidations dont certains responsables gouvernementaux font l’objet. Il a rappelé que la division entre partisans et adversaires ne profite à personne et que le rôle des dirigeants est de proposer des solutions concrètes.
Constitution
Concernant les accusations portées contre le président Andry Rajoelina, « Ragova » de renvoyer à l’article 5 de la Constitution qui dispose que « la souveraineté appartient au peuple, source de tout pouvoir, qui l’exerce par ses représentants élus au suffrage universel direct ou indirect, ou par la voie du référendum. Aucune fraction du peuple ni aucun individu ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté ».
Priorités nationales
Il a également insisté sur le rôle des responsables du TGV, qui consiste à œuvrer pour la stabilité du pays. Il a précisé que ce n’est pas le moment d’alimenter des polémiques mais plutôt de trouver des solutions constructives. Concernant les priorités nationales, Hery Rasoamaromaka estime que « l’électricité, l’eau, les routes, l’agriculture, la santé et l’élevage constituent les besoins urgents du pays ».
Débats d’idées
Le gouverneur fustige ceux qui se complaisent dans les attaques sans proposer de solutions concrètes. Et de faire remarquer que parmi ceux qui critiquent, beaucoup sont d’anciens dirigeants qui devraient plutôt aider à résoudre les problèmes du peuple. « Quelles solutions proposeraient-ils s’ils revenaient au pouvoir ? », demande-t-il. Le gouverneur d’Analamanga dénonce « les menaces et intimidations ». À son avis, « les débats d’idées doivent prévaloir et non la peur ou la division ». Pour sa part, Hery Rasoamaromaka s’engage à accompagner le gouvernement dans sa mission et que les politiciens doivent également assumer la leur. « C’est le peuple qui tranche par la voie démocratique ».
Nadia R.




Le problème est que les elus se font élire en pratiquant la corruption, achats de voix avec de l’argent aux origines douteuses.
Alors le pouvoir au peuple,on repassera plus tard Mr Gouverneur!!
Pouvoir au Peuple !!! Je ne rêve plus !!!!
Le Pouvoir S’ARRACHE. Il ne S’OBTIENT PAS !!!
Ce gros C… est très mal placé pour donner des leçons de démocratie et d’interprétation de la constitution ! S’il veut insinuer un » troisième mandat » pour Rainilainga qu’il se prépare déjà car il y a aura effusion de sang par révolte populaire comme au Népal ! .
Vous avez tout dit MAMY !!!
De toute façon celà ARRIVERA à plus ou moins brève échéance..
Ce n’est qu’une question de TEMPS !!!!
Le feu couve déjà en Silence.
La démocratie dans toutes ses facettes n’ a jamais fait une illustration d’ unanimité.
C’est sa particularité. Ce qui est noté dans le récit, c’est le refus de basculer dans la casse, la violence et la destruction. Une rationalité appréciée. Du positif.
Pour le reste, savoir attendre et voir les engagements fiables et adaptés aux réalités. Et suivre si démocratie et violence feraient bon ménage pour le progrès et le développement
Regarder ailleurs, c’est du meilleur !!! Autant emporte le vent.
Un discours responsable et rassurant de la part du gouverneur Hery Rasoamaromaka.
Mettre en avant les besoins urgents du peuple – eau, électricité, routes, santé, agriculture – plutôt que les querelles politiciennes, c’est la voie à suivre.
La politique doit être un espace de débats d’idées constructifs, jamais un terrain de menaces ou de divisions.
La souveraineté appartient au peuple, seul juge par la voie démocratique.
Que c’est beau de lire ça.
Malheureusement, Je ne RÊVE PLUS !!!