
Pédophile sexagénaire
Toute la planète « Facebook » malgache d’ici et d’ailleurs a été horrifiée par un « Karana », comprendre Indien, Pakistanais, ou Srilankais… qui s’est introduit dans une église à Andavamamba et a discuté avec des jeunes filles pour les emmener manger. Les victimes ont refusé et l’individu aurait émis un produit incapacitant sur elles avant de s’enfuir. Il a été finalement rattrapé, il s’agirait d’un pédophile.

Rats à vendre
Cela reste à vérifier, mais une publication sur les réseaux sociaux a affirmé la vente de rats à 500 ariary l’unité. Rien de précis sur l’utilisation de ces bestioles. Si c’est pour la consommation, cela ne fait que conforter l’extrême pauvreté à Madagascar. Sinon, les rats peuvent être utilisés en tant qu´appâts.

« Plumpygate »
Panique chez les autorités dans le Sud, notamment à Betroka, la prolifération de la vente du Plumpy Nut et Plumpy Sup a été strictement interdite. Toujours sur « Facebook », le sachet de ce produit « dédié à la réhabilitation nutritionnelle des enfants à partir de 6 mois et des adultes souffrant de malnutrition aiguë sévère », se vend entre 700 et 1 500 ariary. Certains internautes ont soulevé l’implication des autorités sanitaires locales qui sont les seules à avoir accès à ces compléments alimentaires.

Le riz à 1 000 ariary
De plus en plus de consommateurs se plaignent sur les réseaux sociaux du prix de la timbale de riz, ou « kapoaka » en malgache. Beaucoup disent qu’elle s’élève à 1 000 ariary actuellement dans la Capitale, voire 1 100 ariary. Déni ou inconscience du pouvoir sur la cherté de la vie à Madagascar pour le petit peuple.

Destruction environnementale
L’alerte est donnée, un étranger est en train de continuer le remblayage des mangroves à Majunga. Le premier responsable de destruction environnementale serait un businessman actif dans l’exportation de crabe, de girofle, de vanille… Ce site en voie de destruction est aussi utilisé pour trouver des remèdes traditionnels, donc un patrimoine.

« Gangland »
Durant le week-end, des usagers de « Facebook » ont signalé l´existence de troupes de mineurs armés sillonnant les quartiers de Tamatave et terrorisent les riverains. Les forces de l’ordre sont intervenues. Le phénomène de gang semble prendre de plus en plus d’ampleur dans le Grand Port.
Maminirina Rado