
Selon la communication de la Jirama hier, le Directeur général de la Jirama affirme avoir été la cible d’une tentative d’assassinat ces derniers jours. Des tirs à balles réelles auraient été enregistrés sur le parking de son domicile, révélant un climat d’insécurité croissante autour d’un dirigeant engagé dans une lutte frontale contre la corruption et les pratiques frauduleuses enracinées dans l’entreprise. « Ces derniers jours, j’ai reçu des menaces de mort et on a même tiré à balles réelles sur le parking de mon domicile », a-t-il confié. Pour lui, ces menaces et cette attaque ne sont pas anodines : elles seraient le signe de la résistance violente de certains groupes au changement et à la transparence qu’il tente d’imposer. « Il est clair pour moi que beaucoup n’apprécient pas mon combat pour le changement : la mafia qui vole le carburant et l’argent, les travailleurs qui participent aux raccordements illégaux d’électricité et d’eau, et à d’autres activités illégales », a-t-il dénoncé. Ces réseaux parallèles, parfois bien organisés, détourneraient chaque année des millions d’ariary destinés à l’entretien des infrastructures et à l’amélioration du service public. La direction actuelle affirme vouloir mettre fin à ces dérives, mais se heurte à de fortes résistances internes. Des inspections ont été menées dans plusieurs agences régionales, entraînant déjà des suspensions et des poursuites disciplinaires. Parallèlement, les syndicats de travailleurs de la Jirama multiplient les actions de contestation. Certains accusent la direction de « chasse aux sorcières », tandis que d’autres dénoncent un manque de dialogue social. Malgré l’appel de la nouvelle direction du pays à restaurer le calme et à garantir la stabilité au sein des entreprises publiques, les perturbations se poursuivent. « Les organisations de travailleurs poursuivent leurs activités pour semer le trouble », a déploré le Directeur général, estimant que certaines de ces mobilisations seraient instrumentalisées pour freiner les réformes en cours. Cette fracture entre la direction et une partie du personnel s’ajoute à la méfiance d’une population excédée par les coupures d’électricité, les pannes répétées et les difficultés d’approvisionnement en eau. La Jirama, symbole des défaillances structurelles du service public, se trouve aujourd’hui au cœur d’une tempête mêlant enjeux politiques, économiques et humains. Face à cette situation explosive, le Directeur général appelle les autorités à réagir. « Nous espérons que la nouvelle direction du pays prendra sa place et nous accordera la protection nécessaire », a-t-il déclaré. Selon des sources proches du dossier, une enquête aurait été ouverte pour faire la lumière sur la tentative d’assassinat.
Yv Sam
On ne sait plus qui dit quoi, qui dit qui ?!!!
C’est Vraiment un PANIER de CRABE et un NID DE VIPÈRES !!!!
Il faut NETTOYER tout ça au KARCHER comme disait un certain monsieur ( qui à également) Chaud aux FESSES actuellement et REMETTRE LA BALLE AU CENTRE.