C’est vers la Syrie que se tournent aujourd’hui les yeux des observateurs. Il s’agit d’un nouveau point chaud dans ce Moyen-Orient, sujet à des soubresauts meurtriers entre le Hamas et Israël. Après l’effondrement du régime de Bachar Al Assad et l’installation d’un nouveau gouvernement, la communauté internationale pensait que le pays avait retrouvé une certaine stabilité. Cependant, il semble que les partisans de l’ancien dictateur ne l’entendent pas de cette oreille et ont pris les armes. Les autorités légales ont réprimé ce soulèvement et ont fait des centaines de morts parmi les membres du clan Alaouite dont est issu l’ancien président.
La crainte d’une répression des membres du clan Alaouite
Alors que la population syrienne avait retrouvé un certain apaisement après la fuite du dictateur Bachar Al Assad dont le régime n’a pas pu résister aux coups de boutoir des forces rebelles, les Syriens ont commencé à se remettre des années de souffrance qu’ils ont endurées. Le gouvernement provisoire qui s’est installé a été accepté par la communauté internationale. Le pays s’est doté de nouvelles institutions qui ont, bon gré mal gré, normalisé la situation. Cependant, tous les observateurs disaient qu’il régnait une certaine instabilité dans certaines régions. Le pouvoir avait entamé des discussions avec les Kurdes et il semblait qu’un accord avait été conclu entre les deux parties. Mais les partisans de l’ancien Raïs ont commencé à s’organiser. Il s’agit des membres du clan alaouite qui a régné en maître sur la Syrie durant les années de fer du régime Al Assad. Le pouvoir en place a réagi et a envoyé ses forces armées dans l’ouest du pays. Elles ont opéré une répression sanglante. Plus de 700 civils ont été tués. L’observatoire syrien des droits de l’Homme a dénoncé des exécutions sur des bases confessionnelles ou régionales au sein de la minorité religieuse alaouite. Les autorités ont appelé à l’apaisement, mais à l’international, de nombreuses protestations s’élèvent.
Patrice RABE
C’est le problème de la SYRIE.
Je pense que MADAGASCAR en À ASSEZ de ses propres problèmes à régler en ce moment pour se mêler des problèmes de la SYRIE.