« La Cour Pénale internationale (CPI) a mené des actions illégales contre l’Amérique et son proche allié, Israël ». C’est avec ces termes que Donald Trump a justifié la signature du décret annonçant des sanctions prises contre la CPI. La décision a provoqué de nombreuses réactions, de la part de la CPI bien sûr, mais aussi des Nations Unies et de l’Union Européenne. Ce décret n’a pas détaillé la liste des personnes susceptibles d’être sanctionnées. Israël a manifesté son immense satisfaction après cette décision prise par le locataire de la Maison Blanche.
La décision très sévère de Trump contre la CPI
Les actions menées par la CPI concernent des crimes présumés commis par des soldats américains en Afghanistan, mais aussi les mandats d’arrêt émis en 2024 contre Benyamin Nettanyaouh et son ancien ministre de la justice, Yoav Gallant, pour suspicions de crimes de guerre et de crimes contre l’Humanité. Israël a tout de suite exprimé sa satisfaction à l’annonce de la signature du décret. Son ministre des affaires étrangères a estimé que ces actions étaient immorales et illégitimes étant donné que ni Israël ni les Etats Unis n’en étaient membres. La réaction de la CPI ne s’ést pas fait attendre. Elle a condamné le décret qui nuit à son travail judiciaire impartial et indépendant. Elle va, di-t-elle, continuer à redonner espoir à des millions de victimes innocentes dans le monde. Elle a reçu le soutien du Conseil européen et de la Présidente de la Commission européenne. Cette dernière affirme que la CPI doit poursuivre librement la lutte contre l’impunité partout dans le monde. Un porte-parole du Haut-commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme a dit soutenir pleinement le travail de la cour. Ceux qui sont visés par les sanctions sont interdits d’entrée aux Etats Unis. Tous leurs avoirs dans ce pays seront gelés.
Patrice RABE
Donald trump peut se faire cuire des omelettes!!! Qu’il parte en enfer!!