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jeudi, janvier 2, 2025
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La mort de Yayah Sinouar, une étape selon Netanyahou

« Le cerveau de l’attaque terroriste du 07 octobre est mort. C’est une nouvelle étape de la guerre contre le Hamas qui commence. La lutte n’est pas terminée ». C’est cette phrase de Benyamin Netanyahu qui a salué la nouvelle de l’élimination de Yayah Sinouar. Elle est d’importance car le chef du Hamas était l’ennemi numéro un d’Israël et il était traqué par tous ses services de renseignement. Pour l’État hébreu, c’est le triomphe d’une politique menée impitoyablement depuis le début de la confrontation avec le Hamas. A présent, tous les partenaires d’Israël attendent une évolution positive de la situation au Proche-Orient.

La mort de Yayah Sinouar, une étape selon Netanyahou

L’annonce de la mort de Yayah Sinouar s’est faite en deux temps. Les forces spéciales israéliennes n’avaient pas organisé d’opération particulière pour l’occasion. C’est lors de l’attaque d’un bâtiment à Gaza que les soldats ont découvert un homme en train de se cacher. Ils portaient un keffieh et tenaient un bâton. Ils l’ont tout de suite abattu. C’est un drone qui a permis de vérifier qu’il s’agissait du chef terroriste, cerveau de l’attaque du 07 octobre. La nouvelle qui avait fait le tour de tous les médias du monde entier n’a été confirmée par les Israéliens que dans la nuit. Elle a été saluée par de nombreux chefs d’État dont les pays sont partenaires d’Israël. Le président Joe Biden, en déplacement à Berlin, a tout de suite téléphoné à Benyamin Netanyahou pour le féliciter et lui dire que l’occasion était maintenant opportune pour parler de paix et permettre la libération des otages. Il a dit qu’il envoyait tout de suite Anthony Blinken en Israël. Les déclarations du président Macron ont été à peu près de la même teneur. Il s’est félicité de la mort du chef du Hamas et a continué qu’il était temps d’arrêter les combats menés par Israël à Gaza. La libération de tous les otages était impérative et l’entrée à Gaza des aides humanitaires devait se faire. Il a également condamné la guerre menée par le Hezbollah. La balle est maintenant dans le camp du chef du gouvernement israëlien qui ne semble pas encore disposé à dialoguer avec ses adversaires.

Patrice RABE

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