Il se targue d’avoir remporté l’élection présidentielle sur le score de 51,2% et a fêté sa victoire aussitôt les résultats officiellement annoncés. Nicolas Maduro n’entend pas voir sa réélection à la tête du Venezuela contestée par une opposition dénonçant une gigantesque fraude. La population qui a voté massivement contre le dictateur est descendue dans la rue et se trouve aux côtés de son adversaire qui dit vouloir présenter toutes les preuves de falsification des votes. Le président vénézuélien est dans une position inconfortable, la communauté internationale lui niant toute légitimité.
La victoire contestée de Nicolas Maduro
Les Vénézuéliens sont descendus par dizaines de milliers dans les rues de la capitale à l’annonce des résultats de l’élection présidentielle. Ils sont venus de l’extérieur de la capitale et ont marché vers le centre-ville où se trouve le palais Miraflores, siège du gouvernement. Ces manifestants sont pour la plupart des habitants des quartiers populaires qui, en principe, soutiennent Maduro et dénoncent la fraude massive qui a entaché cette élection. Ils se sont heurtés à des forces de l’ordre puissamment armés et qui ont réprimé brutalement la manifestation. Ils se sont joints à l’opposition qui a affirmé qu’on lui avait volé sa victoire. Les sondages faits avant le scrutin avaient affirmé qu’elle devance largement le président sortant qui ne recueillait que 32% d’opinion favorable. Comme dans tous les régimes dictatoriaux, le candidat au pouvoir a été réélu. Il l’a été avec un score honorable et il a tout de suite dit que sa victoire était celle du peuple. Il a accusé l’extrême droite d’être à l’origine des troubles qui ont eu lieu. Celle qui s’est présentée contre lui n’accepte pas ce qu’elle appelle un véritable vol de suffrages. Les protestations internationales se multiplient. De nombreux pays ne reconnaissent pas cette élection de Nicolas Maduro. Seuls la Chine, la Russie ou le Nicaragua ont salué ce dernier. La situation peut très vite changer et entraîner la chute de celui qui se qualifie de révolutionnaire.
Patrice RABE
La similitude avec le HOLD-UP électoral de RAINILAINGA est frappante L’opposition a été muselée et réprimée comme avec les HERY MPAMORATANA sous le commandement de Baomba korontamby et des généraux agissant comme les SS . Le Venezuela a la CNE sous ordre de MADURO et Rainilainga la CENI inféodée avec un président véritable bouffon . Les fraudes massives sont légion aussi et on n’apprend rien des magouilles électorales de Rainilainga avec une ministre RASANJY de la justice avalisant un certificat de nationalité » bidon » . La France demande une » transparence totale » sur ces élections au Venezuela mais ferme les yeux sur la victoire » volée » de Rainilainga parce c’est son GOUVERNEUR vazaha taratasy ! Et on n’apprend rien car ce sont deux vrais dictateurs …
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