Une semaine après la proclamation officielle, Lalatiana Rakotondrazafy, candidate malheureuse à Faratsiho s’est exprimée.
« 30 minutes avant la proclamation officielle des résultats du scrutin législatif par la HCC, je me suis entretenu avec le président Andry Rajoelina ». Ce sont les mots de Lalatiana Rakotondrazafy, ancienne ministre et candidate malheureuse aux dernières élections législatives, lors d’une émission spéciale sur les ondes de la Free FM, hier. Il a fallu une heure, 10 minutes et 54 secondes à la patronne du parti Freedom pour revenir sur les faits marquants du dernier scrutin, notamment dans le district de Faratsiho, sur les polémiques à son sujet mais surtout concernant son avenir politique. Lalatiana Henriette Rakotondrazafy reste persuadée que sa défaite rentre dans une stratégie politique savamment orchestrée. « La décision de la HCC est une décision politique et non judiciaire », a-t-elle d’ailleurs soutenu.
Annulation. En effet, dès le lendemain du scrutin, la candidate de l’IRMAR a crié aux fraudes électorales et aux achats de vote perpétrés par la plateforme Firaisankina et son adversaire, Ramilison Nomenjanahary. « Nous avons saisi la Haute Cour Constitutionnelle et porté plainte sur ces différentes infractions. Toutes les procédures ont été suivies et nous avons fourni les preuves nécessaires, témoignages et vidéos, comme ce fut le cas lors de la dernière présidentielle », a alors lancé Lalatiana Henriette Rakotondrazafy qui a soutenu que « l’équipe de Ramilison Nomenjanahary a mis en pratique la même manœuvre utilisée par Idealson Keron durant le jour du scrutin et qui a conduit à l’annulation des voix obtenues par Siteny Randrianasoloniaiko dans quelques bureaux de vote d’Ampanihy lors de la dernière présidentielle ». Jusqu’à la proclamation des résultats officiels, l’ancienne ministre a mis toute sa confiance en la HCC qui a pris, selon ses explications, deux décisions différentes sur deux affaires de même nature.
Stabilité. « Si on m’a sacrifiée, cela n’est en aucun cas un problème. L’essentiel c’est que l’IRMAR a maintenant une majorité stable », a poursuivi la candidate malheureuse tout en insistant qu’ « on l’a fait perdre ». Elle se réjouit de la performance que la plateforme pour la majorité présidentielle a réalisée lors de ce scrutin. « L’essentiel c’est qu’avec cette majorité, la stabilité du régime est assurée pour les cinq ans à venir », a-t-elle ajouté avant d’indiquer qu’ « avec ses 22 députés, la plateforme de l’opposition ne peut rien faire ». Lalatiana Henriette Rakotondrazafy a tenu néanmoins à rassurer ses partisans. « Il ne s’agit pas d’une défaite car on ne perd jamais, soit on gagne soit on apprend », a-t-elle fait noter. Fidélité. Elle est claire sur son avenir politique. Malgré les spéculations et les rumeurs de toutes sortes qui circulent sur les réseaux sociaux, Lalatiana Henriette Rakotondrazafy reste intransigeante sur son choix. « Je ne veux pas être un ambassadeur, tel qu’on veut le faire croire aux gens. Je n’ai jamais discuté de cela avec qui que ce soit. Je reste ici pour servir la patrie », a-t-elle confié. Lalatiana Rakotondrazafy croit en la sincérité du président Andry Rajoelina et en sa gratitude pour ces années passées à le soutenir. « Le président ne m’a pas lâchée. Je le connais très bien », a précisé l’ancienne ministre. En tout cas, malgré une certaine amertume qu’elle a laissé percevoir durant l’émission, Lalatiana Rakotondrazafy a réitéré sa fidélité au président Andry Rajoelina.
Julien R.
» Nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes » ! Cette langue fourchue a appris à ses dépens que le fanatisme et la soumission aveugle ont leurs limites en politique . Si elle est intelligente mais on doute fort avec son sale caractère que son avenir n’est plus d’être un MPISOLELAKA VOLOMBOASARY VOAVIDY VOLA ! Et oui le statut de » deuxième dame » a été bien éphémère et la chute est douloureuse …
Ramasser les plâtres à l’issue des élections législatives est une façon d’apprendre à ne jamais perdre.
Chercher à mettre son échec sur le dos de la Cour est une façon de décortiquer celle ci et de la défaire. En procédant ainsi, c’est la voie pour la république bananière qui est empruntée. Alors que, Les principes d’un état qui se veut républicain sont destinés à tous citoyens.
Une proximité avec le » sain » siège ne devrait en aucun cas être un Visa pour figurer au registre de repêchage.
Le fait de vouloir transformer une Souveraineté globale en une Souveraineté populaire semble là être un double échec.
Des baratins vides de sens du collabo !
Chut !! Taisez vous maintenant!votre parcours est bondé de discours ou plutôt de monologues pleins de conneries voir de haine.
Passez à autre chose .en ce qui nous concerne c’est déjà fait à votre sujet.
Bien dit cher ami. Taisez vous maintenant car en matière de ouahouahouah ou werawera vous êtes….hors de pair (vous = ce régime qui appauvrit notre pays ou notre peuple) . Brossez vous les dents car votre haleine nous étouffe et vous ne cessez de trainer des casseroles. Mais regardez vous un seul instant dans un miroir normal (VS convexe ou concave) et écoutez un peu ce que vous dites et vous vous dites et vous m’en direz des nouvelles. Tous sans exception, tous, j’ai dit, vous vous prenez pour des anges, blancs comme neige! NIET! Vous êtes des gens sans scrupule.Et des hypocrites! (miseho mivavaka nefa jereo, tena ….)
Sans rancune! Fair play