« A Madagascar, les lanceurs d’alertes ne font encore l’objet d’aucun statut ni réglementation officielle ». C’est ce qu’a déclaré hier la ministre de la Communication et de la Culture, Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo, lors de son émission hebdomadaire « Tsy ho tompo-trano mihono ». Une réaction par rapport à la déclaration de la Transparency international Madagascar qui a pris la défense de ces derniers. Le numéro Un du parti Freedom accuse d’« usurpateurs » les personnes qui se considèrent comme des lanceurs d’alertes. « Ils se cachent derrière ce statut pour diffamer, mentir et propager des fausses informations », a soutenu la ministre de la Communication. Dans son intervention, elle a aussi pointé du doigt la Transparency international qui, selon ses dires, « ne maîtrise même pas le sujet et ne connaît pas ce que l’on appelle lanceurs d’alertes ». D’après Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo, « Transparency international Madagascar est membre de la Société civile, pourtant, c’est une association avide de neutralité, qui fait de la politique, et qui s’érige même en Porte-parole de l’opposition ». On sait, désormais, que la guerre est véritablement déclarée entre le Ministère de la Communication et de la Culture et Transparency International. Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo n’a pas mâché ses mots pour dénoncer la pratique de cette association membre de la Société civile.
Davis R
Ny tsy ihainoako RNM sy tsy ijereko TVM intsony dia totofan’io kala be rediredy io. Tsy mba manao resaka misy dikany mihitsy.
La ministre de la communication a une langue de vipère et c’est une femme dépravée . Ce constat unanimement reconnu serait de la diffamation ? . Dire que c’est la deuxième dame de Mamimbahoaka n’est pas une contre-vérité car il y a des déplacements présidentiels où la présence de cette profiteuse de l’argent public insulte le peuple Malgache ! A la rigueur la présidente de transparency international est de loin plus » classe » que sa vulgarité sur les ondes …