La situation qui existe en ce moment est flou. La communication du pouvoir s’est renouvelée. L’offensive médiatique de la ministre de la Culture et de la communication, accompagnée du gouverneur de la région Analamanga, a porté ses fruits. La distribution de Tambavy CVO a été un succès. La population du premier et du cinquième arrondissement s’est empressée pour recevoir sa part de caution signe que le CVO est apprécié à sa juste valeur. Cette première opération, nous dit-on, continuera dans les semaines à venir. Le pouvoir veut reprendre la main après les confusions constatées dans la communication de ces dernières semaines. Des critiques acerbes sur Facebook à propos du CVO ont terni quelque peu l’image du tambavy sur le plan international.Les internautes ont vite fait de mettre à l’index l’auteur de cette publication. C’est le contexte relativement calme que l’on connaît actuellement qui doit maintenant être mis en valeur
Le retour sur le devant de la scène du CVO
Les personnes atteintes de coronavirus sont maintenant prises en charge par des équipes bien organisées. Les protocoles sont bien établis. En principe, les malades n’ont plus aucun souci à se faire car ils suivent un traitement efficace. Le protocole établi, celui de l’utilisation du CVO, a porté ses fruits. Il faut bien qu’un jour, le peuple malagasy soit fière de ce remède propre à la Grande île. Quoiqu’en disent les détracteurs de ce remède “Vita Malagasy”. Ce n’est pas pour rien que bon nombre de pays africains ont passé et renouvelé leurs commandes de cette potion. Bien évidemment, l’usage d’autres médicaments venus d’ailleurs n’est pas exclu dans le traitement des patients atteints du Covid-19 parce que l’important c’est de sauver des vies par tous les moyens.
Patrice RABE