170 millions d’euros : c’est le budget de la COP21
3 000 : le nombre de journalistes accrédités pour couvrir la COP21.
196 : le nombre des parties présentes à Paris, soit 195 pays et l’Union Européenne.
10 millions de dollars par minute : le montant des subventions aux énergies fossiles, selon le FMI.
40% au minimum de réduction de gaz à effet de serre (GES) à atteindre d’ici à 2050 pour espérer rester en-dessous de seuil de 2°C de réchauffement.
100 milliards de dollars par an : l’objectif de fonds publics et privés à mobiliser par les pays développés à partir de 2020 pour financer l’adaptation (des pays en développement, notamment) aux effets du changement climatique.
606.000 : le nombre de morts dans les catastrophes météorologiques en 20 ans, selon l’ONU, soit en moyenne 30.000 décès par an. D’après le bureau des Nations Unies pour la réduction des risques de catastrophes (UNISDE), ces catastrophes climatiques ont, par ailleurs, fait plus de 4 milliards de personnes blessées, sinistrées et sans-abri ou qui ont besoin d’une aide d’urgence pour survivre.
30% de la biodiversité risque de disparaître d’ici à 2100, au rythme actuel des émissions de GES. Cela équivaut à 1/3 des espèces vivantes qui seront privées d’un environnement adapté à leur survie.
400 millions : le nombre de personnes qui vivent actuellement à 1m du niveau des océans, et qui risquent de voir leur habitat submergé sous les eaux si le rythme actuel réchauffement de la planète se poursuit, puisque le niveau de la mer va inévitablement monter.
1 mètre d’élévation du niveau de la mer est attendue d’ici à la fin de ce siècle le rythme actuel des émissions de GES ne baissent pas suffisamment. La fonte des glaciers dans l’Antarctique est le phénomène le plus visible et le plus frappant. Le niveau des océans a déjà augmenté de 20 cm depuis l’ère préindustrielle (au XIXe siècle).