Le calvaire des habitants de la Capitale n’est, hélas, pas prêt de se terminer si l’on en croit un responsable au sein de la Jirama. Pour un certain nombre de quartiers de Tana, il ne s’agit plus de simples coupures d’eau, mais de l’absence du précieux liquide depuis longtemps. Les problèmes ne vont pas se résoudre de sitôt car ils se sont accumulés au fil du temps et ne peuvent pas se résoudre actuellement. Dans l’immédiat, il n’y a rien à faire et il ne reste plus aux consommateurs qu’à se résigner et à supporter avec patience et courage les épreuves auxquelles ils font face actuellement.
Les problèmes non résolus de la Jirama
Les plaintes des consommateurs de la Jirama se sont accumulées au fil du temps mais aujourd’hui, certains sont arrivés à un véritable point de rupture avec la société d’État. Le responsable qui a rencontré la presse, hier, en convient et parle de la situation des habitants de certains quartiers de manière très réaliste. La pénurie d’eau est due à des questions techniques et à des raisons sociales. La forte croissance démographique est une des causes de ces maux qu’endurent les usagers. A cela s’ajoute la vétusté des infrastructures de production et de distribution. Certains endroits sont qualifiés de zones rouges et ceux qui y vivent souffrent de ce manque cruel d’eau. C’est la raison pour laquelle ils ont organisé des manifestations pour montrer qu’ils sont à bout. Ceux qui dirigent la société d’État sont tout à fait conscients de cette véritable souffrance des usagers, mais pour le moment, ils ne peuvent pas apporter de solutions rapides pour les soulager. Ils doivent donc exposer clairement la situation de la société d’État et par la même occasion, dire ce qu’ils peuvent faire pour amoindrir les problèmes des consommateurs. Ce langage de la vérité ne les consolera certainement pas, mais ils savent maintenant à quoi s’en tenir.
Patrice RABE
« Gouverner c’est prévoir » . La croissance démographique et la vétusté des infrastructures sont des paramètres anticipables et il est là depuis 5 ans Rainilainga mais il n’a pensé qu’à détourner les fonds COVD , placer des gens véreux à la tête de cette société et laisser Pierre Bleue se » goinfrer » avec les subventions du fuel . Maintenant un voleur incompétent et corrompu se trouve à la tête du ministère et ce ne sera pas un expert Israélien qui réussira à mettre un coup de pied dans la fourmilière !
Mais si la solution est déjà là : l’ îsraelien récemment récruté par Rajoelina
Razily bonbon coco est de loin plus préférable !