Un jour après, le soufflet n’est pas encore retombé. Après l’immense allégresse manifestée par la population malgache, la vie quotidienne a repris son cours. Elle est toujours prise par sa lutte pour la survie, mais elle garde au fond d’elle-même cette lueur d’espoir subsistant malgré toutes les épreuves traversées. Elle a ravivé cette flamme qui s’était allumée lors de la CAN 2019 et la CHAN 2022. On sent que les habitants de la Grande île ont envie de s’accrocher à cette image d’une équipe rayonnante et qui est généreuse dans l’effort.
L’union sacrée Autour des Barea
Les Malgaches ont passé leur temps à avaler des couleuvres depuis le début de cette année 2025. Ils ont supporté les conséquences d’une conjoncture internationale extrêmement instable. Leurs conditions de vie se sont de plus en plus dégradées. Une Jirama en difficulté, une insécurité persistante, une insécurité persistante, une dégradation continue de l’environnement sont autant de maux avec lesquels ils doivent vivre. Dans le même temps, ils sont oppressés par une atmosphère sociopolitique très lourde entretenue par une succession d’affaires dont on ne connaît pas encore l’épilogue. Dans ce contexte, le sport leur permet de ressentir ce sentiment de fierté nécessaire. Il y a eu les exploits de nos boulistes, mais ce sont nos footballeurs qui ont suscité cette allégresse générale. Ils ont su transcender les barrières sociales. Il n’y avait plus de riches ou de pauvres, avant-hier soir dans les rues. Ils exprimaient la même joie, en klaxonnant, en tapant sur des couvercles de marmites, et en hurlant à plein poumon leur joie de la victoire. Aujourd’hui, les contraintes de la vie quotidienne ont tempéré cet enthousiasme, mais les habitants de la Grande île attendent avec impatience la finale de samedi pour communier avec leurs Barea et pouvoir exprimer cette joie collective qu’ils n’ont pas ressentie depuis longtemps. Le football est plus que jamais ce lien qui les unit et qui leur permettra d’affronter l’avenir.
Patrice RABE
Malheureusement cette joie n’est pas partagé par les médias étrangers. Ils essaient même de véhiculer des mauvaises images de notre équipe. Mais bon, nous puisons notre force à travers tous ces critiques et haines.
La presse est libre de leurs commentaires dans les autres pays contrairement à votre Rainilainga qui joue le petit dictateur . Toujours le même discours avec la » haine » comme seul argument ! Certainement les joueurs du Baréa n’ont pas cette même bassesse d’esprit …
Rester rassembler, ne vous barrer pas !
Les Barea joueurs sont en quête du soutien physique que platonique de leurs fans footeux ou enfoirés,éclairés d’esprit sportif ou d’humeur chagrine , foncièrement.
Quelque soit l’ issue de la finale, l’équipe Barea peut d’ores et déjà se targuer de fierté de son parcours en cette compétition, mais aussi et surtout de son rôle de trait-d’union entre les éternels perdants et les aspirants à la victoire .
Pour leçon, la persévérance est un secret de réussite.
Barea! Barea !… gagner, ça fait du bien.
Vous massacrez la langue de Molière avec vos fautes d’orthographe. L’IA est conçu pour aider les niveau T3 comme vous et Rainilainga . On parle de CHAN et non de CAN un niveau plus prestigieux !
Conçue !