Contrairement aux rumeurs sur son état de santé, l’homme d’affaires était apparu très en forme hier soir.
Messages de sollicitation
« Laissons la politique aux politiciens ». Une manière pour Mamy Ravatomanga de dire, et il l’a dit hier soir, qu’il préfère rester l’opérateur économique qu’il est depuis 1990. Il n’a point d’ambition présidentielle. « Mon ambition, c’est de multiplier par 2 voire par 10 l’effectif de ceux qui travaillent avec moi », déclare-t-il. En rapportant au passage qu’avant l’émission, il a reçu beaucoup de messages de sollicitation concernant sa candidature à l’élection présidentielle.
Intérêt de la Nation
« Si j’avais tenu compte de mon intérêt personnel, je me serai porté candidat », avoue-t-il. Avant d’ajouter que « c’est l’intérêt de la nation qui prime ». C’est pour cette raison qu’il sollicite la candidature de l’actuel président en exercice pour un second mandat car « le développement du pays ne peut pas se faire en l’espace de 5 ans. Surtout avec les conséquences de la pandémie de Covid-19 et de la guerre en Ukraine ». Il en veut pour preuve, l’exemple du président rwandais qui a effectué trois mandats pour conduire son pays sur la voie du développement après le génocide de 1994. « Il en est de même pour la Côte d’Ivoire qui a également traversé une crise », ajoute celui qui vient d’être nommé récemment Consul honoraire de ce pays.
Sens du patriotisme
« La stabilité politique va de pair avec la stabilité économique », explique-t-il. C’est pour cette raison qu’il « soutient à 100% l’actuel président de la République qui n’a pas ménagé ses efforts en dépit des moments difficiles traversés par le pays pendant ces 5 dernières années ». Et d’appeler les Malgaches à faire preuve de discernement par rapport au choix qu’ils vont devoir faire. « Je connais le sens du patriotisme du président de la République », souligne celui qui est à la tête d’un conglomérat d’activités. Y compris dans l’import-export. C’est à ce titre qu’il a fustigé certaines pratiques et passe-droits perpétrés par certaines entreprises et politiciens dans la filière vanille. Et de citer notamment le non rapatriement de devises qui impacte sur la balance commerciale et sur la valeur de l’ariary.
Double nationalité
Il, c’est évidemment Mamy Ravatomanga pour qui « la question de la double nationalité du président de la République est un faux problème ». Et de faire remarquer que l’article 46 de la Constitution n’exige point que le candidat au poste de président de la République doit être exclusivement de nationalité malgache. « L’article 42 du code de nationalité malagasy conditionne d’ailleurs la perte de la nationalité à l’autorisation du gouvernement et à la demande de l’intéressé », continue-t-il. En signalant au passage qu’à sa connaissance, « les Malgaches binationaux n’ont pas demandé jusqu’ici à perdre leur nationalité d’origine ».
Parquet National Financier
Concernant l’affaire Lola Rasoamaharo, le PDG du Groupe Sodiat de rappeler que La Gazette était un locataire parmi tant d’autres à la Villa Pradon. « Je n’ai rien à voir avec ses problèmes pas plus que je n’ai de pouvoir pour faire un geste en faveur de Rolly Mercia et/ou Mbola Rajaonah », spécifie-t-il. En concédant qu’il peut pardonner mais pas oublier les perquisitions et manipulations au niveau du Parquet National Financier (PNF) qui avaient impacté sur sa famille. A propos justement de ce dossier, l’affaire a été classée sans suite. La saisie des quatre biens immobiliers appartenant à l’homme d’affaires et à son épouse à Levallois-Perret et à Saint-Maur-des-Fossés a été levée. En somme, Mamy Ravatomanga est désormais blanc comme neige en France.
R.O
lui est un intelligent ! il gouverne dans l’ombre permettant de développer son business !
n’est pas le conseiller de couloir »spécial » du Pdt qui veut (faut de l’argent pour financer son élection)
Que la réussite soit ! Et la réussite fût ! À la lecture du bilan de 33 ans d’activité.
L’homme a su manier sa boîte à outils pour escalader la pyramide jusqu’ à une altitude nécessitant l’usage d’ une paire de jumelles.
Entre autres, un marteau de forgeron, une clé multifonction, une pince universelle…
Le maître d’oeuvres sera un allié de poids pour le président sortant de par son esprit de l’entreprenariat, des perspectives et des réalisations, son profil de bâtisseur doublé de sa Malgachitude.
A qui la veut : » la réussite est contagieuse « !
Le MPISOLELAKA qui fait minable allégeance et la courbette devant le MAFIEUX canal historique du pays . C’est un prédateur de haut vol et le peuple Malgache ne l’a pas élu pour être président bis . Son nom est bien cité dans Panama papiers et Leaks Mauritius en lien avec des offshores . Rien n’échappe à ces magouilles : la filière vanille et letchi , la supercherie CVO , les malversations dans la gestion du fuel de la Jirama , l’argent sale avec les Egyptiens pour la construction de l’autoroute Tana-Tamatave , l’acquisition frauduleuse du villa Pradon , les rétrocommissions avec les projets hydroélectriques Vohibe et Sahofika et la liste est exhaustive . Cette intervention médiatique n’a qu’un seul but : l’immunité et la quête de respectabilité . Ce journaleux qui ne fait pas le minimum de recoupement car l’affaire de blanchiment de fraude fiscale au parquet national financier Paris est TOUJOURS EN COURS !
C’est un homme d’affaire bien sulfureux et remettre au pouvoir Rainilainga avec cet oligarque pourri sera un catastrophe pour le pays ! Il n’y a que le retour en investissement qui l’obsède !
Devant l’impression de sérénité des partisans de Rajoelina concernant sa nationalité et vu leurs réponses, je vous prie de me dire ce qui est faux dans mes affirmations suivantes
1. Rajoelina était seulement malgache, mais non binational franco-malgache avant 2014
2. Le cas de Rajoelina est régi seulement par l’art. 42.
3. Les articles 43 et 44 ne concernent que les malgaches encore soumis au service national, ce qui n’était plus le cas de Rajoelina.
4. L’art 45 ne concerne que les bi (ou pluri) nationaux qui veulent être libérés des devoirs envers la nation malgache
5. Les bi (ou pluri) nationaux peuvent être électeurs et candidats à toute fonction politique ou administrative n’en déplaise aux xénophobes.
6. La HCC, comme l’ a expliqué un ancien collaborateur de Ratsiraka à la présidence dont j’ai oublié le nom, ne fait pas de investigations mais juge sur ce que les autres organes compétents de l’Etat (Tribunaux, services du fisc, etc…) ont donnés comme pièces justificatives de la candidature des postulants
7. Donc que faire si j’ai raison ?
Sur les réseaux sociaux, les partisans de Rajoelina et de Ravalomanana occupent le terrain et ne font que s’invectiver. Des gens qu’on croyait être des juristes chevronnés ne convainquent pas pour ne pas dire déçoivent : Rakotomanana Honoré, Raphael Jakoba, Hery Frédéric Ranjeva avocat à Paris s’est mélangé les pinceaux au début mais a rectifié plus tard
Je suis sûr que les responsables français doivent rire sous cape en ce moment
La pourriture mafieuse qui cherche à tout prix à se faire une virginité malgré ses casseroles et ses pratiques magouilleuses à ce jour . IL joue l’apprenti juriste en citant l’article 46 . On ne peut que sourire face à une telle ineptie car l’esprit de cet article mentionne clairement que le président de la république doit être MALGACHE et en aucun cas BINATIONAL . Ce voleur a la queue entre les jambes car il subodore la défaite prévisible de Rainilainga pistonnée par la HCC » marionnette » . Les autres candidats qu’il a approchés l’ont bien mouché et il n’a pas d’autre choix que se rabattre sur Rainilainga déjà pour blanchir son argent sale pour la propagande . Le pays est en danger si par malheur ces deux fripouilles seront aux commandes encore des affaires du pays ! An secours …
« Qui peut le plus,peut le moins » , un binational possède aussi la nationalité malgache. À sa demande, le TPI doit lui délivrer un certificat de nationalité et la HCC valide la candiature si les autres conditions sont remplies. Mais Rajoelina n’ étant plus malgache, il n’ aura passon certificat. Question: comment le TPI va savoir qu’ il n’ est plus malgache, parce que Rajoelina ne va pas donner à Fenoarisoa Ernaivo son exemplaire du décret de sa naturalisation pour appuyer la plainte contre lui, à moins que la France ne décide de donner l’ autre exemplaire qui a servi pour la photocopie publiée dans ke journal Le Monde .
Le décret de naturalisation est consultable dans le JO de la république Française. Autrement tout citoyen Lambda peut en faire copie . Donc c’est un détail futile qui n’enlève en rien la tricherie et la tromperie avec le papier qui n’a que 8 cm . Un peu d’intelligence et de pugnacité pour mettre Rainilainga au poteau ! Le problème est ailleurs avec cette justice Malgache CORROMPUE et AUX ORDRES !
Quelle autorité, reconnue par la justice malgache, va certifier la conformité à l’ original de cette photocopie?
Le TPI ne va pas rendre son jugement sur la base d’ articles de journaux ou de nos commentaires
Parce que vous croyez sincère que le décret de naturalisation et la page de la parution de ce SCOUP dans le journal officiel étayés à l’origine par le journal LE MONDE à partir de sources diplomatiques sont des documents falsifiés. Ayez un minimum d’intelligence et ne soyez pas aussi imbécile que les gens du pouvoir . Je vous apprends par exemple qu’un mail ou courriel électronique a une valeur juridique . Vokafy ny maso sy ny saina fa aza babakoto misolelaka !
Rectificatif : vous croyez « sincèrement » . Et d’ailleurs le problème c’est votre justice CORROMPUE !
N’oubliez pas Mieur TSY HILAINA ONY que votre Ranilainga a encore menti sur un point : son fils aîné avait 13 ans à l’époque en 2013 quand il a demandé la naturalisation donc pas de carte de séjour et aussi le renouvellement d’une carte de séjour étudiant c’est tous les ans et non tous les 6 mois comme il disait !