
Fini la clinique, direction la police. La justice mauricienne a rejeté deux demandes successives de la défense de l’homme d’affaires malgache. Après le refus de mise en liberté, puis celui d’un transfert en clinique privée, Mamy Ravatomanga a été escorté par la police vers un centre de détention avant d’être aperçu à l’hôpital public, en fauteuil roulant. Les ennuis judiciaires de Mamy Ravatomanga, l’un des hommes d’affaires les plus influents de Madagascar, se poursuivent à Maurice. Interrogé depuis plusieurs jours par la Financial Crimes Commission (FCC), il a vu ses deux motions consécutives rejetées par la justice mauricienne. La première motion, déposée par son équipe d’avocats, visait à obtenir une mise en liberté provisoire dans le cadre de la procédure en cours. Le magistrat, après examen des éléments fournis par la FCC, a refusé la requête, estimant qu’il existait des risques de manipulation de preuves ou d’interférence avec des témoins. Quelques heures plus tard, la défense a introduit une seconde requête demandant que l’homme d’affaires soit autorisé à recevoir des soins dans une clinique privée, arguant de son état de santé fragile. Pour appuyer cette motion, son médecin traitant, un éminent cardiologue mauricien, a été entendu par la justice. Mais là encore, le magistrat a rejeté la demande, considérant que l’intéressé pouvait bénéficier d’un suivi médical adéquat dans le cadre d’une détention policière encadrée. Suite à ces décisions, les autorités ont procédé au transfert de Mamy Ravatomanga sous escorte policière vers un centre de détention. Selon des témoins présents sur les lieux, il aurait été conduit manu militari, sous haute surveillance. Dans l’après-midi, des sources concordantes indiquent que l’homme d’affaires a finalement été acheminé vers l’hôpital public, où il a été vu arrivant en fauteuil roulant, toujours sous escorte. Aucun détail n’a filtré sur la nature exacte de son malaise, mais son entourage évoque une fatigue intense liée aux interrogatoires répétés et à la pression judiciaire. Pour l’heure, la FCC poursuit son enquête, axée sur des flux financiers et des transactions internationales impliquant plusieurs sociétés liées à l’empire économique du businessman. La suite de la procédure devrait se jouer dans les prochains jours, avec la possibilité pour la défense de faire appel des décisions rendues par le magistrat.
D.R




NE LÂCHEZ RIEN.
IL EST HORS DE QUESTION QUE CETTE POURRITURE S’EN SORTE.
SOYEZ EN CERTAIN QU’IL VÀ USER DE TOUTE SORTE DE MALVERSATIONS POUR S’EN SORTIR.PAR AILLEURS, IL A BEAUCOUP D’ARGENT POUR ACHETER BEAUCOUP DE CONCIENCE .
RESTEZ TRÈS VIGILANTS . IL NE FAUT PAS LE QUITTER D’UN ŒIL !!!
SA PLACE EST EN PRISON MAINTENANT.
IL FAUT QU’Il PAYE LES LARMES ET LA SOUFFRANCE QU’IL À FAIT SUBIR AU PEUPLE MALAGASY !!!
LA FÊTE EST TERMINÉE !!!!
Fini de porter des cravates oranges à la gloire du DJ!!!!!