
« Mémoire d’un continent » est l’une des plus anciennes émissions de RFI. Elle est présentée par l’historien révéré Elikia Mbokolo. Pour cet été, les 10, 17, 24 et 31 d’août, « Mémoire d’un continent » donne carte blanche à l’universitaire et poète Thierry Sinda autour de son livre-manifeste de la néo-négritude Anthologie des poèmes des Afriques et d’ Ailleurs (Orphie, 2013 ; préfacé par Jacques Rabemananjara, le Président Abdou Diouf et la Ministre française George Pau-Langevin). La série des quatre émissions dominicales poétiques de « Mémoire d’un continent » se divise ainsi : le 10 août : historique de la négritude; le 17 août : Négritude et représentation de la femme noire ; le 24 août : Paris vu par les poètes amoureux de la néo-négritude ; le 17 août : Poétesses de la néo-négritude. Parmi les 14 poèmes lus et commentés de l’Anthologie de Thierry Sinda : 3 de Madagascar ( Lamba de Jacques Rabemananjara, A Saint-Germain des Prés de Fredy Jaofera; Je vous aime de Francine Ranaivo ) ; 3 du Sénégal (Liminaire et Femme noire de Senghor, Kassack de Annette Mbaye d’ Erneville) ; 2 de Guyane (Limbé de L.G. Damas, A Paris de Marie-France Danaho) ; 2 du Congo (Chant pour une Congolaise de Martial Sinda et Un au revoir au Paris des Femmes-Sur-Banc de Thierry Sinda) ; 2 de Martinique (Sur la Seine parisienne de Denise Chevalier et Mille plumes de Solal Valentin) ; 1 d’ Haïti (Amour café de Ferdy Ajax) ; et 1 de Tunisie ( Je suis la tunisienne de Ines Ouelasti). « Mémoire d’un continent », dimanche sur RFI à 17 h 10 (heures de Tana) et en podcast sur www.fri.fr .
Patrice RABE