Le Monima s’est prononcé sur la situation qui règne dans le pays actuellement. Selon le président national de ce parti, Monja Roindefo, « nous avons été les témoins de l’imperfection de l’élection présidentielle de 2023 qui foule aux pieds la Constitution. C’est la raison pour laquelle nous avons mis en place la cellule de crise ». Il a aussi touché mot des législatives, « comme nous le savons, ce sont des élections de proximité, ce qui signifie qu’il s’avère nécessaire de continuer la lutte, en vue d’instaurer un Etat de droit. Malgré tout, les points de vue du Monima n’ont pas changé concernant les mauvaises pratiques sur les élections. La situation politique actuelle est compliquée sans parler de l’économie et du social ». Et l’ancien Premier ministre d’enfoncer le clou : « Nous sommes à la croisée des chemins. Il n’y a pas d’augmentation de salaire alors que le coût de la vie ne cesse de grimper. L’insécurité qui ne cesse de gagner du terrain, il en est de même pour la corruption ». Il a aussi indiqué que le Monima a toujours été le leader pour établir le « Fahamarinana » et la démocratie.
Recueillis par Dominique R.
Voici un parti âgé qui n’a pratiquement pas d’élu dans ses rangs mais qui s’ érige en grand donneur de leçon. à chaque échéance électorale. Une image de la musique sans parole ; juste pour distraire C’est à chaque pavillon de l’écouter, d’ en rire et de la mettre au rebut.
Un parti politique peut difficilement survivre à s’accrocher uniquement au récit du : Notre Père, qui a combattu…
Au nom de l’héritage, oser vous présenter ou il est temps de la scotcher pour de bon.
Tu ferais mieux de t’adresser à ton mentor le supermenteur du siècle surnommé Rainilaiga qui a mis des pieds et des mains pour que cet homme le rejoigne en 2009 . D’ailleurs tes remarques débiles avec un processus électoral puant les magouilles confirment encore que tu n’es qu’un minable collabo de ce régime pourri !
Voici le putschiste qui a rameuter des gens du sud pour les sacrifier au palais présidentiel.
Il est de nouveau prêt à reprendre le service. Il a été reçu à l’étranger par le même président à l’étranger il y a quelques mois déjà.