![Le numéro Un du Monima est contre le refus du dialogue.](https://www.midi-madagasikara.mg/wp-content/uploads/2016/07/Monja-300x300.gif)
Témoignant sa « solidarité envers les journalistes » qui ont demandé le report de l’adoption du projet de loi portant code de la communication, Monja Roindefo de souligner que « la liberté de la presse et le droit à l’information font partie de la liberté d’expression qui est garantie par la Constitution ». L’ancien Premier ministre d’ajouter que « la liberté d’expression est une forme de dialogue en soi ». Une manière de dire que « le fait de ne pas respecter la liberté d’expression est un refus du dialogue ».
Insécurité. Le numéro Un du Monima s’est également exprimé « face à l’insécurité que subit la nation, insécurité illustrée de manière tragique par les événements qui se sont déroulés dans le district de Beroroha le 21 juin 2016 et à Mahamasina Antananarivo le 26 juin 2016, et qui ont fait de nombreux morts et blessés ». Tout en présentant ses condoléances aux victimes et souhaitant prompt rétablissement aux blessés, « le Monima condamne sans réserve, ces actes criminels contre des citoyens innocents, quels qu’en soient les motifs, les auteurs et les commanditaires ». Et d’appeler le pouvoir en place à prendre en charge toutes les dépenses pour les funérailles de nos compatriotes qui ont perdu la vie et à honorer totalement les dépenses inhérentes aux soins des blessés.
Etat de droit. « Sanctionner les coupables conformément à la loi est une condition sine qua non pour un Etat de droit », selon l’ancien PM. Lequel a aussi touché « maux » de l’affaire de Soamahamanina pour dénoncer « la gabegie dans la gestion des ressources naturelles du pays ». Monja Roindefo « en tant que responsable et homme politique » ainsi que son parti ont un plan d’action à court, à moyen et à long termes » sur les sujets évoqués ci-dessus.
R. O