La double nationalité du président Andry Rajoelina continue à faire des vagues. Hier, le maître Eric Rafidison, avocat de l’Association pour le Droit et le Développement de Madagascar (ADDM) a décidé de saisir le parquet d’Anosy. « Une plainte concernant toutes les infractions pénales suite au fait que le président Rajoelina n’a plus la nationalité malgache a été déposée à Anosy », a indiqué le juriste qui a qualifié le locataire d’Iavoloha d’ « usurpateur ». « Atteinte à la sûreté de l’Etat et espionnage se trouvent parmi les charges évoquées contre le président Rajoelina », a-t-il souligné. En tout cas, les différents responsables qui ont choisi de monter au créneau depuis quelques semaines afin de prendre la défense du président Rajoelina ne sont pas parvenu à éteindre, une bonne fois pour toute, le feu.
Julien R
Quand vous voyez le vieux Schnock Honoré Rakotomanana ancien président de la HCC qui a été viré du TPI comme un malpropre et surtout traîne des soupçons de viol à durant ce mandat , il y a de quoi se poser des questions sur la qualité des hommes qui tentent de sauver le soldat RAINILAINGA RAINDEDAKA de ses fourberies et autres tromperies sur sa binationalité ! Et l’autre Sylvain Rabetsaroana qui parle de » faux débat » bien que surtout c’est la forme de sa tête décérébrée qui pose » débat » !
Rien de nouveau sous le soleil…
à mon avis cette histoire de nationalité est un piège pour l’opposition , qu il soit français japonais ou même extraterrestre on s en moque , son bilan est tellement catastrophique et il est tellement incompétent qu il doit juste dégager
Il peut carrément saisir le pape s’il le souhaite. Des faux cul qui font semblant d’être offusqué, cela me dépasse.
Il ne fallait pas soutenir sa candidature en 2018. Maintenant il faut assumer bande de babakoto.
ET l’hypocrite se fourvoie dans ses niaiseries la bouche » pleine » après la sucette à Rainilainga sous sa table !
Le citoyen lambda est un simple profane . Mais à lire les charges rapportées par l’article , on est tenté par la caricature, l’hallucination et la politique fiction.
A la partie civile d’apporter entr’autres ses preuves d’espionnage et d’atteinte à la sûreté de l’état pour que la justice – en tant que personne morale – ne puisse subir une quelconque profanation.