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dimanche, juillet 20, 2025
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« Jeunes karàna » : Une déclaration non fondée !

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« L’existence de l’association des jeunes karàna reste douteuse et leur déclaration demeure  infondée », nous a confié quelques membres de la communauté karàna de la capitale. Pour eux, ces messages sont juste de nature à créer une psychose de suspicion de part et d’autre mais aussi de monter de toute pièce des avatars qui ne visent qu’a créer des troubles psycho-politiques voire socio-économiques dans le pays. Plus loin encore, les mêmes sources indiquent qu’il s’agit d’une manœuvre de déstabilisation. « La circonstance est d’ailleurs bien calculée : à quelques jours de la proclamation du résultat par la Cour Electorale Spéciale (CES) sur le deuxième tour de la présidentielle, continue les quelques membres de la communauté ». Quoi de plus normal si les inquiétudes gagnent les opérateurs puisqu’une telle déclaration ne pourrait que véhiculer un message de haine envers les ressortissants indo-pakistanais. Des faits qui ne sont pas isolés puisqu’à chaque fois, on indique toujours ces gens d’être le cerveau des troubles, quelques fois même derrière les putschs dans l’île. « Il appartient, de ce fait, à tout un chacun non pas seulement de dénoncer les mensonges de ce genre mais également de prendre garde aux manœuvres politiques pouvant conduire à des déstabilisations tous azimuts », avance nos sources. La crise a déjà trop duré et il est important de prendre toutes les mesures qui s’imposent pour éviter tout acte de débordement en cette période postélectorale. Une manière pour eux d’inviter les gens à ne pas se faire instrumentaliser par un message pareil. L’existence de l’association reste d’ailleurs dubitative et nos sources indiquent qu’elle n’a aucun statut légal auprès du ministère de tutelle.

D.R

Mahamasina : Ankizy manomana BEPC nihazakazaka ,maty voadonan’ny fiara

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Notsaboina nandritra ny efatra andro teny amin’ny hopitaly ny ankizy vavy kely iray 16 taona vokatry ny ratra nahazo azy. Ny talata hariva anefa dia tsy tana ny ainy fa maty izy. Izany no vokatry ny fandonan’ny fiara ity ankizy ity tamin’ny sabotsy lasa teo tetsy Mahamasina. Mpiara-monina maromaro eny Anosibe Mandrangobato no nifamotoana vao maraina tokony ho tany amin’ny 4 ora tany ho any hihazakazaka. Samy manomana fanadinana BEPC izy ireo. Rehefa teny amin’ny faritry Mahamasina anefa, na dia nandeha teny amin’ny sisin-dàlana aza izy ireo dia voadonan’ny fiara ny iray ka naratra mafy tokoa. Ilay fiara nandona tamin’izay fotoana izay voalazan’ireo namany fa tsy nijanona fa lasa nandeha nanohy ny diany hatrany. Avy hatrany dia nentina teny amin’ny HJRA ity ankizy voadona ity ho tsaboina. Noho ireo ratra nahazo azy anefa dia izao namoy ny ainy izao izy.

Tsy niandriandry kosa anefa ny fianakaviana nanao izay nikarohana an’ilay fiara. Amin’izao fotoana, araka ny loharanom-baovao dia efa hita ilay izy. Tsy vao izao no nahenoana fiara mandona olona, indrindra amin’ny alina tsy mijanona mandray andraikitra mihitsy fa lasa mandositra fotsiny izao. Misy amin’izy ireny no fantatra sy tratra, fa misy koa no tsy hita mihitsy.

r.s.

Grands Corps de l’Etat : « La CES doit prendre ses responsabilités »

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La confédération des syndicats des Grands Corps de l’Etat ne cesse de tirer la sonnette d’alarme devant les risques de troubles auxquels s’expose en ce moment le pays après le second tour controversé de la Présidentielle. « Nous devons prendre nos responsabilités pour que le véritable choix du peule soit respecté. », souligne un communiqué signé hier par le porte-parole de la Confédération, Dr Ndatason Frédéric. Par ailleurs, les Grands Corps de l’Etat sollicitent les forces de l’ordre à ne pas accepter leur instrumentalisation politique par le pouvoir en place. « Les forces de l’ordre sont là pour protéger le peuple et ses biens », rappellent-ils. Sur le drame de Mahajanga qui a coûté la vie à un étudiant revendiquant ses droits légaux et légitimes, la Confédération des Grands Corps de l’Etat ne peut que condamner les actes de certains éléments des forces de l’ordre qui ont tiré à balles réelles sur les manifestants. « Les Malgaches n’ont-ils plus le droit de s’exprimer librement dans leur pays ? », s’interroge la Confédération. A l’endroit de la CES, ces Grands Corps de l’Etat réitèrent la nécessité de la confrontation des procès-verbaux et la vérification des bulletins exprimés ainsi que ceux non utilisés.

RAJAOFERA Eugène

Jeunes cadres du grand Sud-Est : « Donner aux intellectuels la place qu’ils méritent »

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Les jeunes cadres du grand Sud-Est se disent prêts au redressement économique du pays. (Nary Ravonjy)
Les jeunes cadres du grand Sud-Est se disent prêts au redressement économique du pays. (Nary Ravonjy)
Les jeunes cadres du grand Sud-Est se disent prêts au redressement économique du pays. (Nary Ravonjy)

Avec ce nouvel an, les déclarations se suivent et se ressemblent. Outre la présentation de meilleurs vœux, le club des jeunes cadres du grand Sud-Est de Madagascar a tenu à féliciter le peuple malgache pour la tenue des élections législative et présidentielle. Ces jeunes cadres estiment que les intellectuels ne devraient pas être laissés de côté. Soit donner la place qu’il leur mérite. Ils encouragent ainsi les jeunes intellectuels à prendre part activement à la reconstruction du pays, mais en même temps, ils invitent les raiamandreny à tenir compte de cette relève.

Redressement. Par ailleurs, ils espèrent en ce début de l’année, à la fin imminente de la crise politique qui a assez perduré pour qu’on puisse s’acheminer vers la voie du redressement économique et du développement et ceci, avec l’implication, non seulement des dirigeants mais aussi en concert avec toutes les forces vives de la Nation. Le club pense également que « ce ne sera ni quelques têtes ni quelques entités seulement qui pourront apporter la solution à cette crise, mais la capacité de faire abstraction de toute abstraction politique, religieuse, de genre, dans le dessein de donner naissance à une équipe compétente et expérimentée ».

Dominique R.

ONG Bel Avenir : Accueil de jeunes calédoniens pour un chantier international

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L’accueil chaleureux des jeunes Malgaches à leurs amis Kanaks
L’accueil chaleureux des jeunes Malgaches à leurs amis Kanaks
L’accueil chaleureux des jeunes Malgaches à leurs amis Kanaks

Une dizaine de jeunes de Nouvelle Calédonie arrivent à Tuléar pour
 un chantier international avec des jeunes malgaches

Ils sont arrivés cette
 semaine à Tuléar pour le démarrage d’un chantier international d’un mois en compagnie d’ une
dizaine de jeunes malgaches encadrés à l’ONG Bel Avenir.
L’objectif du chantier est de mettre en place des rencontres
interculturelles, sociales et professionnelles entre jeunes de
 différents horizons afin d’apporter une ouverture d’esprit et d’approfondir leurs connaissances.

Des jeunes en difficulté   Les visiteurs  sont des jeunes Kanaks, âgés de 17 à 29 ans,  en
 difficulté venant des tribus de la Province Nord de Nouvelle
 Calédonie. « Ce sont des jeunes qui ont arrêté leur parcours scolaire, soit parce qu’ils n’avaient pas l’envie d’aller à l’école, soit parce qu’ils n’en avaient pas les moyens. Et ils n’ont pas de travail », explique
 André Selefen, encadrant calédonien du groupe.
 « Le chantier va leur permettre de sortir de la tribu et de faire déclic en connaissant  d’autres jeunes d’un autre environnement social, économique et politique. Pour qu’ils comprennent qu’il n’y a pas que la tribu dans la vie. C’est un détour pour un meilleur retour », 
martèle-t-il.

Une grande fraternité. L’ensemble du groupe est parti hier à Mangily pour participer dans 
des activités d’agriculture et d’élevage que l’ONG Bel Avenir organise dans cette 
ville. De plus, ils feront l’animation d’une classe verte tournée sur la sensibilisation
 environnementale avec des enfants bénéficiaires de l’ONG.
La troupe sera de retour le 27 septembre pour une semaine à Tuléar où 
ils participeront à la préparation de l’Alahady Sport Festival et
 l’Alahady Music Festival, festival que l’ONG Bel Avenir organise
 chaque mois avec ses élèves de l’École de Sport et du Centre d’Art
 et Musique. Ils auront lieu le 2 février prochain, juste avant que les jeunes calédoniens et malgaches partent ensemble vers des activités de découverte touristique par la RN7 de Tuléar à Tana. Malgré la grande différence culturelle, les jeunes ont commencé le
 chantier dans un esprit très ouvert et flexible. « Je sens déjà une fraternité intense. Nous sommes très proches », remarque Rivelis, un des jeunes malgaches 
participants au chantier. « J’ai découvert que nous avons des traditions communes. J’ai découvert que, comme nous, ils versent du liquide par terre pour les ancêtres. »

Recueillis par Patrice RABE

Flash-éco

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  • Une innovation. La coopérative des artisans dénommée « Maharisoa » vient de créer des bougies anti-moustiques. « Ce sont des bougies fabriquées à base de cire et des huiles essentielles de citronnelle », a fait savoir le promoteur de cette innovation. Il s’agit en même temps des bougies décoratives et naturelles. En plus, « ces bougies anti-moustiques s’allument beaucoup plus longtemps que les bougies ordinaires », a-t-il poursuivi.
  • Plus de 3 000. C’est le nombre des coopératives recensées par la Vice-Primature chargée de l’Economie et de l’Industrie à Madagascar. Leurs activités touchent plusieurs secteurs comme l’artisanat, l’agriculture, l’élevage, la pêche, la transformation agro-alimentaire, la menuiserie et le transport. Ces coopératives composées notamment d’artisans ou de paysans peuvent bien se concurrencer avec les opérateurs économiques ou travailler en partenariat avec eux.
  • Le chocolat de Madagascar est très prisé sur le marché des Etats-Unis et de l’Europe. Ce produit est fabriqué à base de cacao pur de la Grande île. La société productrice installée dans le pays a le statut d’une entreprise franche. Cette dernière exporte ainsi la grande majorité de sa production.

Navalona R.

Photographie – UPPM : pour la défense et la revalorisation du métier de photographe

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Neuf mois après la première réunion de ses futurs membres, l’union des photographes professionnels de Madagascar voit enfin le jour.

L’habit ne fait pas le moine ! Autrement dit, l’appareil ne fait pas le photographe. Aujourd’hui, le métier de photographe est banalisé. « Tout le monde se prétend photographe professionnel parce qu’il a un appareil photo hyper sophistiqué dernier cri. Etre photographe est pourtant bien plus que ça », a lancé Masy Andriantsoa, vice-président de l’UPPM. C’est donc justement pour cette raison qu’en avril 2013, quelques amis évoluant dans le métier s’étaient regroupés pour discuter de l’avenir de ce métier qui leur est commun. « Nous avons pensé qu’il est dans notre intérêt à tous de nous regrouper. Le métier ainsi que les droits des photographes ne sont pas respectés à Madagascar. Il nous fallait donc prendre les taureaux par les cornes. L’un de nos principaux objectifs ? L’amélioration de l’exercice de la profession », toujours d’après le numéro un de Ymagoo. Après plusieurs réunions entre eux, les initiateurs du projet ont donc décidé de prendre leur avenir en main et ont mis en place l’UPPM (Union des Photographes Professionnels de Madagascar. Association qui  a été présentée officiellement hier.

Entreprises. Composée d’une cinquantaine de membres, l’association sensibilise, légitime, protège, promeut et valorise le métier de photographe. Pour devenir membre ? « Il faut justifier d’au moins un an de pratique. Nous demandons également un portfolio. La cellule de ressources humaines se penchera ensuite sur le dossier du prétendant » voilà en gros les étapes à suivre d’après Rindra Ramasomanana, administrateur de l’UPPM. Outre la défense pour le respect du métier, la revalorisation de celui-ci est également une priorité pour les membres. L’association a prévu différents évènements afférents à la photographie : concours photo, formations, ateliers, salon, journal électronique… Evénements à travers lesquels l’UPPM prouvera que l’habit ne fait pas le moine, que l’appareil ne fait pas le photographe.

Mahetsaka

Football : La Fédération offre des ordinateurs aux ligues !

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Tout un symbole. C’est le moins qu’on puisse dire de ce geste de la Fédération Malgache de Football qui a offert des ordinateurs à toutes les 22 ligues régionales.

Jusqu’ici en effet, le football est la seule Fédération à agir de la sorte pour, comme le disait le vice-président Doda Andriamiasasoa, apporter un plus à la communication.

Sur ce chapitre en effet, toutes ces ligues bénéficieront également le soutien de Telma sans oublier le fait qu’elles seront désormais autonomes pour imprimer leurs propres billets dans la mesure où les dons comportent aussi une imprimante, une photocopieuse et un scanner.

Bref, toute la panoplie de la communication moderne et par ricochet un moyen efficace pour servir le développement de la discipline.

En restant en contact les unes avec les autres, ces ligues vont pouvoir jouer un rôle de premier plan pour la détection des jeunes joueurs.

Pour l’instant, la distribution de ces ordinateurs va se faire au fil des jours par le truchement des membres du comité exécutif de la FMF car hier, il n’y a avait que quatre ligues dont Analamanga, SAVA, Haute Matsiatra et Bongolava.

Clément RABARY

Usurpation d’identité : Un arnaqueur propose des prêts au nom du ministre des Finances

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Les arnaques via Internet sont fréquentes. Beaucoup d’internautes ont déjà été victimes à Madagascar.
Les arnaques via Internet sont fréquentes. Beaucoup d’internautes ont déjà été victimes à Madagascar.
Les arnaques via Internet sont fréquentes. Beaucoup d’internautes ont déjà été victimes à Madagascar.

Des prêts allant de 5 000 à 15 millions d’Euros à un taux d’intérêt de 2 %. C’est l’offre qu’un arnaqueur a publié sur le réseau social facebook, en utilisant le nom et la photo du ministre des Finances et du Budget, Lantoniaina Rasoloelison. Suite à ce constat, ce dernier tient à avertir le grand public qu’il s’agit tout simplement d’une grossière usurpation d’identité et qu’il décline toutes responsabilités quant aux agissements des titulaires de ce compte facebook. « En cette année 2014, j’aimerais donner un coup de pousse
pour les personnes en détresse et amener la joie dans leur cœur; alors vous qui avez des problèmes financiers, vous qui êtes rejetés par les institutions financières concernant une demande de prêt , en vue de rehausser votre chiffre d’affaire et de vous relancer dans vos projets financiers, j’ai signé un accord avec une agence de finance certifiée et légitimée reconnue par l’Etat Français qui accorde des prêts sous forme d’argent à toutes personnes de bonne moralité et susceptibles de rembourser à bonne date. Pour cela, vous pouvez recevoir des prêts allant de 5 000 à 15 000 000€ à un taux d’intérêt de 2 % dans les domaines ci-après : achat d’immeuble, achat de voiture, moto, grands projets bénéfiques, mariage, dette, etc. »,
a publié l’usurpateur sur le réseau. Cet arnaqueur, à vue d’œil international, demande par la suite à ses victimes des informations personnelles et des pièces d’identité. Une enquête est actuellement ouverte pour identifier les auteurs de cette escroquerie. Des poursuites judiciaires seront également engagées, selon le ministre Rasoloelison Lantoniaina.

Antsa R.

Noël dans la joie : Distribution de jouets aux enfants des 67 ha

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La joie de donner est aussi grande que celle de recevoir.
La joie de donner est aussi grande que celle de recevoir.
La joie de donner est aussi grande que celle de recevoir.

La manifestation qui s’est déroulée à la fin du mois de décembre dans un fokontany des 67 ha était tout à fait banale, mais elle a revêtu pour ceux qui l’ont organisée une signification importante. Il s’agissait d’une distribution de jouets à une centaine d’enfants du quartier où se trouve l’école de musique EGM. L’initiative a été prise spontanément par les dirigeants du centre et elle a été partagée par tous les élèves. Une collecte a eu lieu et la somme de 300 000 ariary a été réunie. Dans la foulée, il a été décidé d’offrir un peu de joie à tous ces gamins habitant aux alentours. Des jouets ont donc été achetés et ont été offerts lors d’une cérémonie toute simple. Ceux qui ont donné ont été aussi heureux que ceux qui ont reçu ces présents. « Nous faisons partie de cette communauté de ce fokontany et il s’agit d’un geste normal. Nous n’emploierons pas les termes de « contribution citoyenne », mais c’est plus simple que cela. Nous apportons notre part de joie à ces enfants », a affirmé Miadantsoa, le directeur de l’EGM.

Patrice RABE