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dimanche, juillet 20, 2025
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Retour de la pluie : Les routes fortement détériorées

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Un gros nid de poule en plein centre ville.
Un gros nid de poule en plein centre ville.
Un gros nid de poule en plein centre ville.

Avec l’arrivée de la pluie, les nids de poule envahissent les rues de la capitale et ne cessent de grossir.

Seulement quelques jours après le retour de la pluie, voilà que les rues de Tanà sont déjà dans un piteux état. Et le comble, c’est que ces routes se dégradent vite à la moindre humidité. Pour ne pas dire que ces dernières ont été faites avec peu d’attention. Ce n’est plus la peine de dire à quel endroit de la capitale les routes sont dégradées, car c’est presque partout. Et c’est avant tout un danger assuré pour les véhicules, puisque la majorité des trous est cachée sous les flaques d’eau laissées par la pluie. «Il faut maintenant faire très attention quand on circule car l’on ne peut plus savoir sur quoi l’on a marché. Auparavant, l’on pouvait les contourner car ils étaient visibles. Mais maintenant qu’ils sont couverts par les eaux de pluies, il est devenu très difficile de les esquiver. Et il y en a qui sont tellement gros, pouvant causer d’importants dégâts aux véhicules qui ont la malchance de tomber dedans», confie un taximan. Force est de constater que ces infrastructures n’ont nullement fait l’objet d’entretien, surtout ces derniers temps. Donc, pour éviter les grosses pertes, les conducteurs ont intérêt à éviter de rouler à vive allure. Pourtant, cela ne va qu’engendrer d’autres problèmes, les embouteillages. En effet, aux moindres gouttes de pluie, des embouteillages monstres se forment, vu le nombre des usagers qui ne cesse d’augmenter et le mauvais état de ces infrastructures routières. Ce, presque à tout moment de la journée. C’est donc sûr qu’avec ce retour de la pluie, les embouteillages vont devenir également intenses à Tanà tous les jours.

Se plaindre. Devant ces faits, beaucoup de Tananariviens s’en plaignent, en particulier ceux qui sont en voiture, et pointent ainsi du doigt les responsables. «Ils devaient faire des efforts pour réparer ces infrastructures. Mais maintenant, il est devenu un peu tard. Donc, l’on est forcé de vivre avec», se désole un conducteur ayant été interviewé. Nombreux sont donc ceux qui accusent la CUA de ne pas avoir fait ce qu’il fallait pendant qu’il en était encore temps. C’est-à-dire pendant la saison sèche. Pour sa part, cette dernière évoque toujours le manque de moyens pour le financement des travaux de maintenance.

Arnaud R.

Ambodimita : Les rizières à 60% ravagées

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Avant-hier, à cause de la grande pluie accompagnée de fortes rafales de vents, une vaste surface des rizières du côté d’Ambodimita a été endommagée. Selon les informations recueillies, près de 60% de cette surface rizicole ont été immergées par les eaux. Par ailleurs, la plupart des plantes dans la même localité étaient tombées. Ce qui est sûr, c’est que la récolte des concernés va vraiment diminuer pour cette saison, et que plusieurs lieux de production rizicole dans la plaine d’Antananarivo ont subi le même sort, voire dans tout le pays. Les ouvriers ont-ils fait des mauvais calculs pour avoir causé le retard de leurs récoltes étant donné que la saison de pluie allait toujours arriver aux mêmes dates? En tout cas, ces ouvriers ont maintenant deux grands ennemis, ceux qui s’accaparent de leurs terres et les faits naturels.

Arnaud R.

Législatives : Jaovato mène à Antalaha

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Pour ce qui est de la Province d’Antananarivo, tous les sièges au Parlement ont été raflés par les candidats présentés par la Plate-forme MAPAR (Miaraka Amin’i Président Andry Rajeolina) et ceux de la mouvance Ravalomanana. Par contre, pour ce qui est des régions, nombreux candidats indépendants ont réussi. Parmi eux figure notamment Lahisoa Jean Pierre alias Jaovato qui a obtenu environ 5000 voix dans le District d’Antalaha. Au cours d’une conférence de presse qu’il a donnée hier, ce président de l’Association Mahavonjy a confirmé que la population dudit district lui fait confiance grâce aux nombreuses actions sociales réalisées dans cette localité. En réponse à ses détracteurs, il a rappelé que selon la loi, toute personne ayant déjà été condamnée ne peut pas se présenter à un poste électif. Pourtant, selon ses dires, parmi ses adversaires figure notamment une personnalité qui aurait déjà été condamné à perpétuité.

Davis R

Conquête du marché : Les manifestations économiques sont efficaces, selon les paysans

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Les paysans commencent à s’intéresser à la conquête d’un marché plus large.
Les paysans commencent à s’intéresser à la conquête d’un marché plus large.
Les paysans commencent à s’intéresser à la conquête d’un marché plus large.

Grâce aux projets de développement, des paysans ont pu participer à des manifestations économiques en 2013. Cette année, ils sont déterminés à participer à d’autres évènements, même s’ils devraient payer eux-mêmes les charges que cela engendre. Certains viennent pourtant des zones très éloignées de la Capitale. Interview de bénéficiaires du projet de la FAO, suite à la participation à la 15e Fier-Mada. Tatao Augustin, Tsaravita, Natoiny et Tata Lucien : des paysans producteurs de semences de qualité standardisées QDS  et d’ignames de variété Dioscorea alata, dans la Commune de Vohimasy Farafangana, région Sud-Est.

Qu’espériez-vous de cette foire en venant à Antananarivo de si loin à 800 km ?

Nous avons apporté des échantillons de nos produits : quelques sacs de semences QDS et du « bodoa » (igname). Nous voulions montrer aux visiteurs que nos produits sont les meilleurs et à prix raisonnable, et qu’ils peuvent entrer en compétition, même avec les autres produits vendus par les sociétés qui ont aussi participé à la foire. Nous avons également saisi l’occasion pour observer les autres vendeurs de semences et d’igname, qui sont présents à la foire. Et puis, nous comptons vendre nos échantillons pour ne plus avoir à les retransporter vers Farafangana au retour.

Quels ont été les résultats ?

Nous avons eu plus de 150 visiteurs intéressés par nos produits et à qui, nous avons donné les cartes de visite que le projet DIPECHO 3 a confectionnées pour nous. Nous avons également vendu une grande partie de nos échantillons. Mais un aspect très important a été que nous avons reçu une promesse d’achat et de commande d’un agriculteur pour des semences de 2t, tous les trois mois, et que ce dernier va récupérer chez nous à Farafangana. Par ailleurs, nos semences sont à prix très compétitifs, malgré le coût de transport induit. Le prix du marché à Tanà est de 2 000Ar /kg, alors que nos prix affichés ont été de 1600Ar/kg. Nous sommes organisés en coopératives de paysans producteurs. Nous avons même un local de stockage et faisons trois récoltes de semences par an.

Que vous a apporté ce soutien de la FAO ?

Nous tenons vraiment à remercier la FAO pour l’appui technique et les aides qu’elle nous a accordés, parce que nous pouvons maintenant produire suivant les techniques enseignées, mieux nous organiser grâce au GPS (Groupement de Producteurs Semenciers) et nous avons compris le système d’accès au marché, grâce à cette foire et aux conseils que nous avons reçus lors de notre participation effective avec les avantages à en tirer.

Recueilli par Antsa R.

Maevatanana : Jiolahy notapahin-doha teo imason’ny sipany

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Nitrangana fitsaram-bahoaka indray tany amin’ny distrikan’i Maevatanàna ny alahady teo. Lehilahy iray voalaza ho jiolahy nikoizana sy nampitondra faisana ny mponina any amin’iny faritra iny no tra-tehaka ka notapahin’ny fokonolona avy hatrany ny lohany ary tsy nananana antra na kely akory aza. Raha ny loharanom-baovao marim-pototra dia teo anatrehan’ny olon-tiany no nanatontosana an’izany famonoana izany. Mahakasika ny herisetra sy vonoan’olona hatrany dia fantatra kao fa nisy lehilahy iray 41 taona avy namonjy alim-pandihizana no maty tsy tra-drano voakapa famaky tao Antsondoka, fokontanin’Ambinanikely, kaominina ambanivohitr’i Mangabe ny 1 janoary teo, tokony ho tamin’ny telo ora maraina. Efa natolotra ny fianakaviany ny razana, taorian’ny fizahana natao. Ny zandary no mandray an-tànana ny fanadihadiana.

Nangonin’i Manitrisa

Voots kongregation : Entre rock, funk et slam !

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Voots, un groupe atypique qui fait mouche.
Voots, un groupe atypique qui fait mouche.
Voots, un groupe atypique qui fait mouche.

Avec un répertoire très varié, Rolf et sa bande ont fait le bonheur des mélomanes venus les voir au Tana Arts Café, samedi dernier. Une soirée à refaire…  

Quelle autre meilleure façon de commencer l’année qu’en musique ! L’équipe de Voots Kongregation et celle de Silo l’ont bien compris. Samedi dernier, ils ont donc décidé de donner leur première représentation de l’année… au Tana Arts Café. Une soirée juste comme il faut !

Julie Ratefy derrière son clavier, Naday armé de sa guitare, Jonjon fidèle au poste avec ses baguettes, Rolf avec son instrument de prédilection : sa guitare basse sans oublier Lewiky, Imiangaly, Monsieur et le tour est joué. Le slameur, avec ses mots et une petite dose d’humour, avec en musique de fond, les belles mélodies jouées par le reste de la bande, introduit l’équipe et accompagne de temps à autre Imiangaly. Cette dernière, avec sa voix enchanteresse, fait preuve d’une grande maîtrise vocale. Chacune de ses prestations est saluée. La jeune maman, ne cesse en effet de s’améliorer de jour en jour. Lewiky, avec des titres mettant en évidence ce rythme particulier qu’est le jijy, accroche également le public. Quand Julie Ratefy et Naday se mettent derrière le micro, le résultat est tout simplement bluffant. Avec Voots, il faut toujours s’attendre à être surpris. Samedi dernier n’a pas fait exception à la règle. Le groupe était tout simplement magistral !

Mahetsaka

« Zanak’i Dada » : Vers le « remake » de 2002

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Malgré la pluie, les « Zanak’i Dada » étaient venus nombreux au Magro samedi dernier. (Photo : Kelly)
 Malgré la pluie, les « Zanak’i Dada » étaient venus nombreux au Magro samedi dernier. (Photo : Kelly)
Malgré la pluie, les « Zanak’i Dada » étaient venus nombreux au Magro samedi dernier. (Photo : Kelly)

Au cours de son intervention au Magro Behoririka, Roland Ravatomanga a confirmé la détermination des partisans de l’ancien président, Marc Ravalomanana à aller jusqu’au bout de leur revendication.

Pour la première fois depuis sa nomination à la tête de la mouvance Ravalomanana, Roland Ravatomanga a dirigé samedi dernier la rencontre des « Zanak’i Dada » organisée dans l’enceinte du Magro Behoririka. Une occasion pour lui de confirmer la détermination de cette entité politique à aller jusqu’au bout de sa revendication. En effet, les « Zanak’i Dada » convaincus que le scrutin qui a eu lieu le 20 décembre dernier a été entaché de fraudes massives, n’entendent pas se laisser faire. Plusieurs démarches sont envisagées. Mis à part les centaines de requêtes qui ont déjà été déposées auprès de la Cour Electorale Spéciale, ladite mouvance a aussi adressé des lettres d’interpellation à l’endroit des différentes instances internationales, afin d’attirer leur intention sur le fait que « l’élection qui s’est tenue à Madagascar n’était ni juste, ni transparente ». Cependant, pour l’heure, il n’est pas encore question de procéder à une descente dans la rue. « Nous ne souhaitons pas la guerre », a soutenu Roland Ravatomanga qui a également encouragé les pro-Ravalo venus nombreux au Magro Behoririka à opter pour une manifestation pacifique.

Descente dans la rue. Pourtant, durant son intervention, le ministre de l’Agriculture, tout en incitant les partisans de l’ancien président à amener des banderoles au Magro dès aujourd’hui, a aussi fait savoir que la mouvance Ravalomanana est prête à aller jusqu’au bout de sa revendication. « Nous avons beaucoup de partisans, nous avons également la force nécessaire, tant que la vérité sur les fraudes qui ont été commises lors de ce scrutin ne soit pas apportée, nous ne reculerons pas », a-t-il soutenu. Et lui de laisser entendre au passage que « les Zanak’i Dada disposent la force et peut mobiliser des partisans suffisants pour rééditer le mouvement de 2002 ». Une déclaration qui reflète que les pro-Ravalo n’écartent pas une éventuelle descente dans la rue et un « remake  de 2002 » si toutefois, les résultats publiés par la Cour Electorale Spéciale ne sera pas conformes à leur attente. Faut-il rappeler que d’après les résultats collectés au niveau du Quartier Général du candidat, Jean Louis Robinson, celui-ci est sorti vainqueur du second tour avec 54,01%.

Avertissement. Par ailleurs, au cours de son intervention au Magro, Roland Ravatomanga a lancé une véritable mise en garde contre la CES. « Vous ne devriez sortir que la vérité, ne songez surtout pas à amadouer le peuple. Cette déclaration n’est pas une intimidation mais plutôt un avertissement pour que vous ne regrettiez pas votre décision puisque la mouvance Ravalomanana n’acceptera jamais. Ne nous poussez pas à bout pour basculer vers l’irrégularité ». Il convient de noter que les partisans de l’ancien président, Marc Ravalomanana dans les régions soutiennent aussi ce mouvement de contestation qui commence à se radicaliser. En outre, d’après les explications du ministre de l’Agriculture, le Docteur Jean Louis Robinson et le parti Avana sont également déterminés à aller jusqu’au bout de leurs revendications. A suivre.

Davis R

Cigarettes : Une hausse d’environ Ar 50 par tige

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Les effets nocifs du tabac sur la santé ne sont plus à démontrer.
Les effets nocifs du tabac sur la santé ne sont plus à démontrer.
Les effets nocifs du tabac sur la santé ne sont plus à démontrer.

Mauvaise surprise, le week-end dernier, pour les fumeurs. Les détaillants ont affiché depuis samedi une nouvelle augmentation des prix des cigarettes.

La dernière hausse du prix du tabac a été effective depuis samedi matin chez les détaillants. Il faut désormais débourser Ar 50 de plus par tige pour la marque Good Look. En effet, la tige de cette marque de cigarette parmi les plus consommées dans le pays, coûte désormais Ar 200 contre Ar 150 auparavant. Soit Ar 4000 le paquet de 20 tiges, contre Ar 2500 à Ar 2900 auparavant, chez des détaillants. Les autres marques de cigarettes locales ont également connu une hausse de la même importance. Ar 150 pour une tige de Mélia, contre Ar 100 auparavant et Ar 19 000 la cartouche contre Ar 16 000 avant la hausse. Pour la marque Boston, la tige achetée par les consommateurs à Ar 200 auparavant se vend désormais autour de Ar 250, voire Ar 300 chez les détaillants de certains quartiers de Tanà.

Il y a un an. Cette nouvelle hausse a pris de court la majorité des fumeurs. Toutefois, les plus avisés auraient pu la… prévoir car l’an dernier, également en début d’année, le principal producteur de tabac local a officialisé une hausse de ses prix, presque à la même période de l’année, soit durant la première semaine de janvier 2013. Il s’agissait alors d’une augmentation à l’ordre de 25% à 30% des prix des cigarettes. A cette période, la tige de Good Look était passée de Ar 100 à Ar 125 et celle de Boston et d’Oxford, de Ar 125 à Ar 150. D’autres hausses ont eu lieu en cours d’année, expliquant les derniers prix aux détaillants avant la hausse du week-end dernier. Il convient de signaler que les hausses des prix des cigarettes n’émanent pas toujours du producteur, mais parfois des grossistes et des détaillants. Quoi qu’il en soit, l’augmentation des prix des cigarettes, outre l’éventuelle fluctuation des prix des intrants, résulte généralement de l’augmentation des taxes exigées par l’Etat, notamment le droit d’accise.

Fumeurs invétérés. Cette dernière augmentation des prix des cigarettes ne manquera pas de faire mal aux portefeuilles. Les jeunes, notamment ceux qui ne sont pas encore totalement financièrement indépendants, sont certainement ceux qui ressentiront le plus les impacts de la hausse. « C’est décidé, j’arrête », entend-on dans les rangs des fumeurs, et pas seulement parmi les moins nantis. Un rapide calcul de l’augmentation du budget tabac mensuel était à l’origine du déclic !  Mais il faut bien plus que cela pour faire renoncer les fumeurs invétérés, encore peu enthousiastes à l’arrêt du tabac. En effet, pour les fumeurs en situation de grande dépendance depuis des années, la seule volonté ne suffit pas toujours pour arrêter. C’est l’apparition de symptômes indiquant de sérieux troubles sur la santé, reste l’ultime motivation qui les amène à prendre la décision de cesser de fumer. Pour cela, outre la volonté d’arrêter, une aide et une surveillance médicale est généralement conseillée pour mettre toutes les chances de son côté et optimiser tous les efforts entrepris dans la démarche de se défaire de la dépendance.

Hanitra R.

Infrastructures routières : Reprise des grands travaux cette année

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Les belles routes sont sources de développement économique.
 Les belles routes sont sources de développement économique.
Les belles routes sont sources de développement économique.

La relance économique prévue après le retour véritable à l’ordre constitutionnel va débuter avec le commencement des grands travaux d’infrastructures.

« Le Secteur Infrastructures bénéficie de 21,1% de l’enveloppe totale du PIP. La grande partie du financement alloué à ce secteur est destinée à la poursuite de l’entretien des routes et des ouvrages d’art, à la promotion de l’énergie en particulier l’énergie alternative et renouvelable et à l’adduction d’eau potable surtout dans les zones rurales. La mise en œuvre de la politique de la sécurisation foncière sera renforcée ». C’est ce qu’indique notamment l’exposé des motifs de la loi de finances 2014 dans son volet relatif au programme d’investissement public (PIP). Apparemment, cette année 2014 sera celle de la reprise des grands travaux d’infrastructures routières financées par les bailleurs de fonds.

En effet, cette politique budgétaire du gouvernement en matière d’investissements publics est actuellement en phase de début de réalisation. La grande réalisation la plus proche est probablement les travaux d’aménagement et de bitumage de la RN9 reliant Toliara à Analamisampy. L’appel d’offre international relatif à ce projet  a déjà été lancé et le début des travaux sur une portion de 107 km de routes est prévu dans les mois qui viennent. Financé par le Fonds Africain du Développement, ce projet qui facilitera la liaison entre Toliara et Morondava, deux régions à grande potentialité économique permettra entre autres de désenclaver un peu moins de 1 400 000 personnes. Cette route a été impraticable depuis une quarantaine d’années et sa réhabilitation permettra également à la Banque Africaine pour le Développement de  financer d’autres projets de développement se trouvant sur le trajet. A noter, pour en revenir au programme d’investissements publics 2014 que la grande majorité des financements provient de l’extérieur. En somme, le développement du pays dépend encore des bailleurs de fonds internationaux.

R.Edmond