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mardi, juillet 8, 2025
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Pétanque : Ambatolampy en fête pour son premier Festival de marmite !

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Inédit, le grand tournoi de pétanque de ce week-end à Ambatolampy, l’est à plus d’un titre. Rentrant dans le cadre de la célébration du premier Festival de marmite, ce tournoi réunit forcément les meilleurs boulistes du moment.

A cela une raison, une seule, les prix très alléchants, puisque les vainqueurs se verront offrir deux scooters en sus des trophées et bien évidemment de deux marmites car le club organisateur travaille étroitement avec l’usine de fabrication de marmites.

Les deuxièmes gagneront deux vélos, deux lecteurs DIVX et deux marmites contre des rice-cookers pour les troisièmes et les quatrièmes.

Mais la présence d’autres sponsors telles les coopératives Transwell et Soa Trans ainsi que le partenariat avec la Gastro Pizza, le snack bar Miray et le restaurant Ilampy permettent aux organisateurs de dérouler le tapis rouge aux participants.

C’est ainsi que tous les participants inscrits, la clôture des inscriptions étant fixée au samedi à 10 h, seront invités à un déjeuner gratuit le même jour tandis que des remises sur les prix des chambres leur seront accordées.

Et voulant contenter tout le monde, les organisateurs prévoient également des concours pour les vétérans et pour les dames. Dans les deux cas, les vainqueurs recevront deux TV couleurs en sus de deux marmites. Des lecteurs DIVX seront offerts aux deuxièmes contre des enveloppes pour les troisièmes de chaque catégorie.

Clément RABARY

Partenariat : Microcred Banque assure la formation des jeunes de la FOFIKRI

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Les jeunes entrepreneurs accompagnés du Président du comité FoFiKri et de formateurs, à l’issue de la remise des certificats de formation.
Les jeunes entrepreneurs accompagnés du Président du comité FoFiKri et de formateurs, à l’issue de la remise des certificats de formation.
Les jeunes entrepreneurs accompagnés du Président du comité FoFiKri et de formateurs, à l’issue de la remise des certificats de formation.

Les entreprises ne sont pas en reste dans le domaine du renforcement de la capacité des jeunes techniciens

Entreprise citoyenne, Microcred Banque Madagascar s’engage aussi à fond dans la formation des jeunes. Et c’est tout naturellement qu’elle a été sollicitée par la FOFIKRI ou Foibe Fiofanana Kristiana afin d’assurer une formation en entrepreneuriat pour ses jeunes membres. La Direction générale et plusieurs responsables de département de Microcred ont ainsi assuré plus de la moitié des modules de la semaine de formation sur des thèmes aussi variés que l’esprit d’entreprise, le marketing, la fiscalité ou la méthodologie de création d’entreprise et le business plan. Plus de 15 stagiaires ont pu ainsi apprécier une formation, non seulement théorique, mais aussi très opérationnelle, émaillée d’exemples du quotidien des entrepreneurs. Chacun a pu travailler sur son projet directement avec les intervenants. Une expérience très enrichissante en somme et qui sera suivie d’autres, puisque dès le courant du mois de février 2014, Microcred Banque Madagascar assurera une autre session du même genre.

Acteur incontournable. Une noble mission pour Microcred Banque Madagascar qui, rappelons-le, fait partie du groupe international Microcred et dont la mission est de fournir des services financiers de qualité, accessibles et adaptés aux entrepreneurs exclus ou mal servis par le système bancaire traditionnel et, plus largement, de favoriser l’accès à la banque au plus grand nombre. « Notre objectif est également d’améliorer les conditions de vie de nos clients et de leurs familles, et de participer au développement économique de Madagascar » indique un responsable de Microcred qui, avec ses 22 agences, ou points-service sur tout le territoire malgache est un acteur incontournable du marché de la microfinance. MBM offre tout un éventail de produits et services, du microcrédit au compte épargne, du crédit new-business (pour les salariés) au crédit Grenier Commun Villageois (pour les agriculteurs). Elle a actuellement à son actif 53 000 clients.

R.Edmond

Littérature : Dox toujours à l’honneur !

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La célébration du centenaire de Dox est encore loin de son dénouement ! Représentation théâtrale au Ccesca, montage poétique à l’IFM, inauguration de la salle Dox au ministère de la Culture… Divers évènements ont marqué le 100e anniversaire de cet écrivain.  Le dernier en date, l’attribution du nom de « Kianja Dox » dans la haute ville par la Commune Urbaine d’Antananarivo. « Pourquoi cet endroit-là ? Parce que Dox a toujours habité à Antsahatsiroa. Ce lieu est donc très significatif. En 2004, la CUA a attribué le nom de Jean Verdi Razakandrainy à ce terrain mais on ne l’a inauguré qu’aujourd’hui seulement », explique Elie Ramasindraibe Salomon, fils de Dox. « Tenin-drazana », un des poèmes de Dox figure sur le panneau.  Un poème qui, son fils l’espère, réveillera le patriotisme des Malgaches. Son fils de raconter « Une langue pauvre avec une grammaire rudimentaire ! Une langue qui ne permet pas de s’éduquer et de s’intellectualiser. C’est ainsi que les Colonisateurs qualifiaient la langue malgache. Une qualification qui a choqué Dox dont la réaction ne s’est pas fait attendre. En réponse à ce dénigrement, il a en effet écrit « Tenin-drazana ». Ce dénigrement l’a également  influencé dans ses choix. Bien que maîtrisant la langue française, il a choisi d’écrire exclusivement en malgache ». Aujourd’hui, les littéraires malgaches continuent ce que Dox a commencé et espèrent que les Malgaches suivront leur exemple.

Mahetsaka

Dadou : Venir en aide aux populations les plus démunies

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Dadou a rendu visite à l’« Akany Fanorenana » d’Ankorondrano.
Dadou a rendu visite à l’« Akany Fanorenana » d’Ankorondrano.
Dadou a rendu visite à l’« Akany Fanorenana » d’Ankorondrano.

A l’approche des fêtes de fin d’année, le candidat Andriambelo Fredy Rajaofera dit Dadou et ses colistiers ont une pensée affectueuse pour les 160 jeunes pensionnaires de l’« Akany Fanorenana » d’Ankorondrano Ouest en leur rendant visite, avant-hier. Le candidat et ses colistiers leur ont annoncé qu’ils auront tous des présents, à l’occasion des fêtes. Notons que cet Akany s’efforce d’apporter une éducation pédagogique à ces enfants, tous issus de familles nécessiteuses du quartier et de ses environs. Force est d’admettre, d’après la directrice du centre, que nombre de parents se trouvent dans l’incapacité de s’acquitter des 5 000Ar de frais mensuels de scolarité de leur progéniture. L’établissement se contente ainsi de fonctionner avec le seul soutien d’une ONG qui prend en charge une partie de ces frais de fonctionnement. A cette occasion, les parents d’élèves n’ont pas manqué également d’évoquer la nécessité de remplacer la toiture endommagée de l’édifice. D’autres ont demandé au candidat de doter les élèves de vêtements imperméables. De son côté, le candidat n°30 a fait savoir qu’il fera de son mieux pour venir en aide aux populations les plus démunies de  son arrondissement.

Initiative. Toujours dans la même journée, l’équipe de Dadou a fait dons de tabliers aux lavandières du quartier d’Ankorondrano-Ouest. De même, l’équipe a distribué des tabliers et des goodies, dont des stylos, aux commerçants de Behoririka. Par ailleurs, l’opération éclairage public, initiée par Dadou et ses colistiers, se poursuit dans les quartiers du IIIe arrondissement. Fidèle à son principe d’agir immédiatement en faveur de la population, le candidat n°30 vient d’obtenir la contribution de généreux donateurs pour remplacer quelque 500 m de câbles des poteaux électriques qui se sont volatilisés. Outre le remplacement des câbles, celui des ampoules électriques défectueuses ou manquantes, se poursuit également dans les Fokontany du IIIe arrondissement, toujours à l’initiative du candidat Dadou et de ses colistiers, avec la collaboration de la JIRAMA et de la CUA. Une cinquantaine d’ampoules ont été ainsi remplacées, avant-hier, dans le quartier d’Ambohitrakely et ses environs à la grande satisfaction des habitants. Cette opération Eclairage public ne se limitera pas à quelques « Fokontany », mais s’étendra à tous les 34 Fokontany dudit arrondissement.

Recueillis par Dominique R.

Secteur des mines : A la recherche de solution pour les renouvellements de permis

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Le secteur des mines doit bénéficier au peuple, selon la ministre Daniella Randriafeno.
Le secteur des mines doit bénéficier au peuple, selon la ministre Daniella Randriafeno.
Le secteur des mines doit bénéficier au peuple, selon la ministre Daniella Randriafeno.

Une réunion des staffs du ministère des Mines, et de ses bureaux affiliés à travers la Grande Ile, s’est tenue à la résidence Ankerana, mardi dernier. Evaluation des réalisations des deux dernières années et développement du secteur au profit du peuple ont été au centre des discussions. En effet, le secteur des mines est l’un des plus touchés par la crise, aussi bien au niveau économique que social. « Certains textes de loi n’ont pas pu être appliqués et les moyens techniques et financiers étaient insuffisants. De plus, en période de Transition, on ne pouvait pas délivrer de nouveaux permis. Bref, de nombreuses imperfections ont été constatées. Mais il faut noter que des améliorations ont été apportées dans divers domaines, si je ne cite que la transparence. Le rapport périodique de l’EITI était régulier pour informer le peuple sur la situation et les impacts des activités minières, sur l’économie nationale. La gestion des ressources comme l’or est également réglementée. Des ateliers ont été organisés pour formaliser les activités d’exploitation et de commercialisation », a déclaré le ministre des Mines, Daniella Randriafeno à la sortie de la réunion.

Renouvellement. Les validités de certains permis miniers ont été expirées pendant la crise et n’ont pas pu être renouvelées. « La loi indique que le renouvellement ne doit pas accorder plus de trois ans. Pourtant, certains permis ont été expirés en 2009. Même s’ils sont renouvelés, ils seraient encore expirés en 2012. Nous cherchons des solutions à ce problème. En outre, nous analysons également les possibilités de développer le secteur minier, dans une optique économique, sociale et politique. L’objectif est que ce développement soit au profit du peuple », a conclu la ministre des Mines. Bref, la sortie de crise facilitera considérablement la résolution de ces distorsions dans le secteur des mines.

Antsa R.

Volley-ball – Stage : Cinq coaches malgaches diplômés niveau 2 FIVB

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Un stage technique de niveau 2 s’était tenu à Maurice du 24 novembre au 6 décembre sous la tutelle d’André Glaive, instructeur à la Fédération internationale de volley-ball. Trente trois entraîneurs de la région indianocéanique et dont cinq Malgaches à savoir Patricia Razanajaona, Léa Raharimalala, Eric Saramba, Thierry Ranaivoson et Andrinarijaona Fidinirina ont pris part à ce stage. Les cinq entraîneurs stagiaires malgaches ont tous réussi à l’examen et sont diplômés niveau 2 de la FIVB. Un cercle très fermé des coaches sanctionnés de ce diplôme international. L’expert de la FIVB est satisfait du stage.  » J’espère que ce stage vous a été bénéfique et qu’il vous aidera à devenir de meilleurs entraîneurs. Le métier d’entraîneur ou plutôt la vocation est un travail magnifique. Il faut aimer ce qu’on fait et c’est grâce à cette passion qu’on arrivera à donner confiance aux joueurs. La confiance est la chose la plus importante dans le sport. Le diplôme n’est pas une fin en soi, c’est surtout comment vous allez l’utiliser qui compte, » a-t-il expliqué.Sur les cinq stagiaires, seul Eric Saramba a été pris en charge par la Fédération malgache de volley-ball, si les quatre autres entraîneurs ont payé de leur poche pour participer à cette formation. Un signe qui témoigne de la volonté des entraîneurs malgaches à aller de l’avant. « C’était une belle expérience pour rectifier le tir afin d’adopter une stratégie et technique efficace pour relever le niveau du volley-ball malgache » a indiqué Thierry Ranaivoson.

T.H

CNAPS : 400 maîtres-Fram bénéficient du guichet forain

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Le guichet forain, qui a vu plus de 400 bénéficiaires.
Le guichet forain, qui a vu plus de 400 bénéficiaires.
Le guichet forain, qui a vu plus de 400 bénéficiaires.

Plus de 400 maîtres-Fram du district de Soavinandriana ont pu bénéficier des services du guichet forain de la Cnaps qui s’est déroulé les 10 et 11 décembre dernier. L’objectif étant que les instituteurs et institutrices subventionnés par l’Etat ainsi que leurs familles puissent bénéficier d’une Prévoyance Sociale. Les enseignants non-subventionnés ont également été invités à la grande salle du FJKM Soavinandriana pour bénéficier de leurs droits. Selon l’explication de Tantely Randrianarisoa, Chef CISCO de Soavinandriana, ces maîtres-FRAM non–subventionnés méritent de connaître leur droit. Comme ils vont bientôt être recrutés, ils vont devenir les futurs affiliés à la Caisse. Après le District de Soavinandriana, l’équipe du Guichet Forain va rejoindre Analavory, puis Arivonimamo et enfin à Imerintsiatosika. Le Guichet Forain ne s’achèvera que le 17 décembre prochain pour la région Itasy.

Anjara Rasoanaivo

Athlétisme : Les Menja et Roger s’expliquent

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Le feuilleton sur le problème entre les Lala Rasoanomenjanahary, Roger Razafimandimby et la fédération malgache d’athlétisme  continue toujours d’alimenter les débats. Hier, les deux personnes ont rencontré la presse au Lycée Technique Alarobia pour apporter des précisions sur la sanction personnelle que la fédération leur a infligée. « D’après une lettre confidentielle de la FMA, nous ne pourrions plus participer à toutes les activités fédérales. On se demande à quel jeu joue la fédération d’autant plus qu’on nous a cessé de notre fonction de présidente et de SG de la section de Tana-Ville en mars 2013 » a expliqué  Rasoanomenjanahary Lala.  Avant de continuer «  on ne fait qu’expliquer les faits aux journalistes, mais on n’a jamais diffamé la fédération. Cette décision présente des dessous surtout à la veille de la réorganisation des élections pour ce mois de décembre ». La présidente de la fédération Norolalao Ramanantsoa de préciser : « ce sont des manipulateurs, des perturbateurs de l’athlétisme. On a essayé de trouver un terrain d’entente, mais ils n’ont jamais cessé de diffamer la fédération, c’est la raison pour laquelle on les a sanctionnés ».

T.H

Bazar de Noël : 1 400 marchands participeront au Bazar de Noël

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Le traditionnel Bazar de Noël se tiendra à Mahamasina du 15 décembre au 04 janvier 2014.
Le traditionnel Bazar de Noël se tiendra à Mahamasina du 15 décembre au 04 janvier 2014.
Le traditionnel Bazar de Noël se tiendra à Mahamasina du 15 décembre au 04 janvier 2014.

En cette veille des fêtes de Noël et de fin d’année, le traditionnel Bazar de Noël commencera dès le 15 décembre prochain, jusqu’au 4 janvier 2014. Il se tiendra à Mahamasina où 1 400 vendeurs ont déjà obtenu leurs emplacements.

Si les rues de Tanà, particulièrement celles d’Analakely, de Soarano et de Behoririka, sans oublier l’incontournable Tsaralalàna, se transforment déjà petit à petit en grand marché à ciel ouvert, celles de Mahamasina s’apprêtent déjà à recevoir les centaines, voire plus, de marchands pour le Bazar de Noël de cette année. Ainsi, la commune urbaine d’Antananarivo a fixé le Bazar de Noël officiel qui se tiendra du 15 décembre au 4 janvier 2014. Les marchands auront donc 18 jours pour écouler leurs marchandises. 1 400 vendeurs d’articles en tout genre se sont donc inscrits depuis le 9 décembre pour se voir octroyer une place pour ce fameux Bazar de Noël 2013. Chaque marchand aura un stand de 1,5 m², et sa place ne pourra être sous-louée ni attribuée à une tierce personne. Chaque marchand a payé 20 000 Ar pour toute la durée du Bazar de Noël, comprenant un droit d’inscription et un droit d’emplacement. La direction des Affaires économiques de la CUA, où se sont inscrits ces marchands, ont fait signer une lettre d’engagement veillant au respect du code de l’hygiène et de l’organisation générale du marché. Le port de badge sera obligatoire pour légitimer tout cela.

Insécurité. Mais si marché rime souvent avec insécurité et vol à la tire, la police municipale et la police des marchés se sont donné la main pour la sécurité des sites, du moins du mieux qu’ils peuvent. Car les voleurs à la tire sont partout, et avec la pauvreté qui s’accroît de jour en jour, un nouveau genre de voleur à la tire est apparu. Il est donc conseillé de rester prudent : monter les vitres de la voiture (malgré la chaleur) dans tout Analakely, Soarano et Behoririka, fermer les sacs et les porter par devant, éviter de converser au téléphone dans les lieux publics… bref, ne rien faire de manière à attirer les voleurs.

Enfin, il est rappelé qu’il est formellement interdit de vendre, ni d’étaler ses petites marchandises dans les zones suivantes : Gerb’0r – Cité des jardins Mahamasina – Primus de la ligne 184 – la rue menant vers la Morgue de l’Hôpital de Befelatanana – En face du Sénat et de la Mairie du IVe Arrondissement – l’Axe Ambohijatovo Analakely – les Axes Ambodifilao vers Soarano et Tsaralalàna vers Analakely – Devant et derrière l’Hôtel de Ville Analakely.

Anjara Rasoanaivo

Sapins de Noël : De toutes les tailles et pour toutes les bourses

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Bien en vue, paré de mille couleurs dans les grands magasins, et produit vedette des marchands ambulants en ce moment, le sapin de Noël inonde les marchés de la capitale depuis la semaine dernière. Sachant que la vente des arbres naturels est interdite, ce sont les sapins artificiels, made in China ou fabriqués localement, qui font le bonheur des clients, lesquels y trouvent leur compte dans la mesure où ces arbres artificiels ont l’avantage de durer dans le temps et utilisables pendant de nombreuses années.

Vendus entre Ar 4 000 pour les arbres en miniature et jusqu’à plus d’un million d’ariary pour ceux de grande taille, les sapins de Noël se déclinent en une multitude de modèles : blancs, dorés ou de couleur argent, pré-décorés ou plus classiques de couleur verte, ils existent à toutes les tailles. D’après les revendeurs, les modèles de taille moyenne, entre 1m et 2,10 m, proposés à Ar 10 000 pour ceux de fabrication locale et entre Ar 25 000 et Ar 60 000 pour ceux de fabrication chinoise, sont les plus vendus actuellement. « Ces modèles correspondent mieux à la hauteur du plafond ou à la superficie de la pièce où le sapin sera installé, c’est-à-dire, généralement pas trop grande. Alors ce type de sapin de taille moyenne est l’idéal pour la majorité des familles. De plus, ils sont plus faciles à décorer et ne nécessitent pas un grand nombre de boules et de guirlandes », explique un marchand de rue qui propose ses produits à Behoririka. Il en écoule jusqu’à 40 unités par jour depuis le week-end dernier.

Hanitra R.