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vendredi, juin 20, 2025
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Sandrine Rajaofetra : En trio avec Besl et Rado Rakotorahalahy

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SandrineUne chanteuse qui a l’avenir devant elle ! Ni clip, ni album et encore aucune composition à son actif. Sandrine Rajaofetra n’est pourtant plus à présenter dans le monde du jazz. Ses nombreuses collaborations avec de grosses pointures lui ont valu le respect et l’estime de ses collègues ainsi qu’une place de choix dans le monde musical. Perfectionniste et soucieuse d’assurer une prestation digne des plus grands professionnels, la jeune femme ne laisse jamais rien au hasard. D’ailleurs, elle est toujours accompagnée par les plus talentueux et les plus sollicités du moment : Solo Andrianasolo, Ben Kheli…  Pour le « live » qu’elle va donner le 12 décembre au Mojo Isoraka, elle sera entourée de Rado Rakotorahalahy à la batterie et de Joël Rabesolo à la guitare. Au menu ? Les standards, revisités et joués à la manière de Sandrine et sa bande. Avec ces artistes, tous les standards deviennent de vraies démonstrations de technique et de maîtrise. Aucun risque que ça ne soit pas le cas le 12 décembre ! Avis aux amateurs. L’entrée sera d’autant plus gratuite !

Mahetsaka

Andavamamba : Raikitra ny fifampitifirana

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Nifampitifitra ny pôlisy sy ny jiolahy, omaly tokony ho tamin’ny iray ora maraina, tetsy Andavamamba. Raha ny fanamarihana azo dia nisy jiolahy nikasa handroba ny tokantrano iray tao an-toerana. Nisy nahatsikaritra anefa izany ka nahatonga an’ireo hiantso pôlisy avy hatrany. Poa toa izay dia tonga ny mpitandro ny filaminana, efa misy mihainohaino matetika rahateo eny Andavamamba. Vao nahita ny fahatongavan’ireo ny olon-dratsy dia nitsoaka avy hatrany ary nanapoaka ny basiny. Raikitra araka izany ny fifampitifirana teo amin’ny roa tonta. Tsy nisy voa na ny andaniny na ny ankilany. Tsy voatafika ihany koa ilay trano natao lasibatra. Taitra ny manodidina ary nihorohoro raha nandre ny basy nipoapoaka nandritra ny fotoana elaela.

D.R

Prix des PPN : Hausse de 10 %, affichée cette semaine

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Les prix affichés hier à Antananarivo.
Les prix affichés hier à Antananarivo.
Les prix affichés hier à Antananarivo.

Les prix tendent toujours à grimper en fin d’année. Cette tendance a déjà commencé cette semaine, d’après les commerçants de la Capitale. En effet, presque tous les produits de première nécessité ont connu cette hausse de prix, dont la moyenne est évaluée à 10 %. Sur le marché, le kilo de riz se vend entre 1 400 Ariary à plus de 2 000 Ariary, selon la qualité. L’œuf a connu une hausse de prix de 50 Ariary par unité. Les commerçants ont également annoncé une hausse de 3 % pour le sucre et la farine et de 5 % sur l’huile. « Ces hausses se produisent souvent à l’approche de la fin d’année. Ce n’est qu’un début. D’après nos expériences, nous pouvons affirmer que ces prix vont continuer de grimper », nous a expliqué un marchand de PPN à Analakely. Au niveau national le prix du riz évolue peu mais reste supérieur à 175 Ariary par kilo, par rapport à l’année dernière.

Antsa R.

UDRC : Rassemblement pour Hery Rajaonarimampianina

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En vue du second tour de l’élection présidentielle, les membres de l’UDR-C ont décidé d’enterrer la hache de guerre et de se regrouper pour soutenir le candidat de « Hery Vaovao ho an’i Madagasikara », Hery Rajaonarimampianina. En effet, au cours d’un point de presse qui s’est tenue hier au Colbert Antaninarenina, les Reboza Julien, Marson Evariste, Daniel Ramaromisa, Ephraïm Randrianasolo et consorts ont annoncé que le moment est venu de regrouper tous ceux qui ont participé au mouvement populaire de 2009. L’UDR-C fournira ainsi des efforts pour rassembler les pro-HAT. L’objectif est clair, empêcher à tout prix le retour au pays de l’ancien président, Marc Ravalomanana. Il convient de noter cependant que plusieurs anciennes grandes figures de l’UDR-C qui ont été écartées de cette Plate-forme regroupant une trentaine de partis politiques, n’ont pas été présentes à Antaninarenina hier. A l’exemple du président du PSDUM, Lahiniriko Jean dont la candidature a été reniée par l’UDR-C lors du premier tour. En marge de ce point de presse, le président en exercice de l’UDR-C et non moins vice-Premier ministre chargé du Développement et de l’Aménagement du Territoire, Reboza Julien a démenti les informations selon lesquelles, il a fait campagne pour un candidat dans le District d’Ambovombe lors du premier tour. « Il n’y a jamais eu d’utilisation de prérogatives de puissance publique », a-t-il soutenu. Et lui d’ajouter cependant au passage qu’il fera campagne pour Hery Rajaonarimampianina lors du second tour.

Davis R

Chef Marius : Naratran’ny mpanendaka telo lahy

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Toy izao ny ratra nahazo azy…
Toy izao ny ratra nahazo azy…
Toy izao ny ratra nahazo azy…

Vaky ny lohany ary naratra ihany koa teo ambanin’ny masony. Novelesin’ny mpanendaka tamin’ny vy i Marius Rafiakarana.

Vaky ny lohany ary nisy naratra ihany koa teo ambanin’ny tetamasony. Izany dia vokatry ny herisetra nianjady taminy nandritra ny asan-jiolahy nitranga tetsy Antaninareina ny alin’ny alatsinainy teo. “Avy namonjy fety izaho sy ny namako. Efa-dahy izahay no handeha hihazo an’Analakely. Tsy lavitra akory ny banky BOA, raha saika hamonjy tohatoha-bato, dia nisy lehilahy miisa telo avy hatrany dia nandrahona anay tamin’ny fitaovam-piadiana. Lasan’ireo ny finday tety aminay”, hoy ny fanazavan’ny Maître Marius Rafiakarana, mpikarakara sakafo fanta-daza eto an-drenivohitra. Nanohitra io farany ka teo no nisy fifanandrinana izay niteraka ratra. Voavelin’ny vy teo amin’ny lohany. Nijininika ny rà ary voatery nentina haingana teny amin’ny toeram-pitsaboana izy, dia nozairina. “Tena asan-jiolahy no nitranga fa tsy sanatria akory fifofoana ny aiko. Na izany aza dia efa tokony hahatonga saina raha ny tsy fandriam-pahalemana mitranga eto an-drenivohitra”, hoy hatrany ny Chef Marius Rafiakarana, manazava ny heviny. Mitombina tokoa ny fijeriny satria raha oharina tamin’ity tranga ity dia tsy mifidy toerana sy isan’ny olona intsony ny olon-dratsy rehefa manao ny asany. Manazava an’izany ny zava-nisy  tetsy Antaninarenina : efa-dahy sahin’ny olona vitsy noho izy ireo tafihana, indrindra koa efa-dahy  maronjana ihany. Matetika loatra ny fanendahana mitranga eto an-drenivohitra ary raha ny zava-misy aza dia tsy misy tsy faritra mena intsony eto Antananarivo. Asa, hatraiza ary iza amin’ireo kandidà ho filoham-pirenena sy ho depiote no mba manana drafitr’asa maty paika mahakasika ny ady amin’izany…

D.R

Conseil des ministres : Détermination du groupe de partis politiques majoritaires

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Le conseil des ministres d’hier a fixé les conditions d’application de certaines dispositions de la loi n°2011-012 du 9 septembre 2011 sur les partis politiques. Il a été ainsi décidé que la détermination du groupe de partis politiques majoritaires à l’issue des élections législatives se fera à partir des partis ou groupements politiques officiellement enregistrés au niveau du ministère de l’Intérieur. De ce fait, aucune autre coalition de partis politiques ne pourra plus donc se constituer à l’issue des législatives.

Recueillis par Dominique R.

Ouverture de campagne demain : Robinson à Arivonimamo, Rajaonarimampianina à Vohibato

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Fini le temps de « mora mora », les deux adversaires au second tour de la Présidentielle descendront sur le terrain de combat à partir de demain.

Les deux candidats choisissent deux circonscriptions où ils ont raflé des voix lors du 1er tour pour ouvrir officiellement leur campagne électorale.

La campagne électorale du second tour de la Présidentielle du 20 décembre s’ouvrira officiellement demain à 6h. Les deux candidats ne rateront pas le premier de cette campagne qui durera 21 jours. Le candidat présenté par le parti « Avana » et soutenu par la mouvance Ravalomanana a choisi le district d’Arivonimamo, région d’Itasy, pour lancer le coup d’envoi de sa campagne. Un culte œcuménique y sera organisé. Après Arivonimamo où il a obtenu 47,45 % des voix lors du 1er tour contre 11,88 % pour son adversaire Hery Rajaonarimampianina, le candidat Jean Louis Robinson rejoindra Antananarivo où il visitera les 6 Arrondissements de la Capitale. Quant au candidat Hery Rajaonarimampianina, il ouvrira officiellement demain sa campagne dans le district de Vohibato, région Haute Matsiatra. Le choix de ce district de l’ex-province de Fianarantsoa s’expliquerait par le fait que le poulain d’Andry Rajoelina y a raflé au 1er tour du 25 octobre 40,90% des voix contre 6,42% pour son rival Jean Louis Robinson.

24 heures décisives. En attendant l’ouverture officielle de la campagne du 2e tour, les 24 heures qui suivent seront décisives quant à la formation des alliances autour des deux candidats. Normalement, c’est aujourd’hui que ces alliances devraient être connues. En fait, les regards sont braqués vers les candidats qui ont réalisé des scores méritants et déterminants au 1er tour. Il s’agit notamment de Hajo Andrianainarivelo, Roland Ratsiraka, Camille Vital et d’Edgard Razafindravahy. Saraha Georget Rabeharisoa a déjà fait son choix en faveur de Jean Louis Robinson. Force est de constater que pendant que ces candidats négocient dans la discrétion totale, leurs partisans  s’impatientent. Cette impatience pousse certains à faire de déclaration de soutien prématurée. Pour ne pas dire qu’ils sont divisés entre les deux candidats au second tour. Le « Malagasy Miara Miainga » de Hajo Andrianainarivelo, le « Hiaraka Isika » de Camille Vital et le MTS de Roland Ratsiraka connaissent cette division. En tout cas, faute de soutenir un candidat, Hajo Andrianainarivelo, Camille Vital, Roland Ratsiraka et Edgard Razafindravahy opteraient pour le « Ni…Ni… » qui ne serait pas en faveur de l’ancienne Mouvance Rajoelina qui veut garder les acquis de la « Révolution Orange ».

RAJAOFERA Eugène

Fini le temps de « mora mora », les deux adversaires au second tour de la Présidentielle descendront sur le terrain de combat à partir de demain.
Fini le temps de « mora mora », les deux adversaires au second tour de la Présidentielle descendront sur le terrain de combat à partir de demain.

Genre : Les pratiques traditionnelles et l’éducation, obstacles majeurs pour l’égalité des genres

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Des femmes en politique, des femmes entrepreneures, des femmes présidentes d’association, des femmes chefs de famille… des femmes tout simplement, qui commencent à prendre les mêmes responsabilités que les hommes. Mais à Madagascar, les traditions et l’éducation influencent encore grandement la société. L’égalité de genre est encore un long chemin à parcourir.

Obtenir le droit de vote pour les femmes a été une grande révolution dans le monde. De là découlent d’autres victoires, comme celle d’aller à l’école au même titre que les garçons, et d’aller le plus loin possible dans les études, ou encore les droits à la santé. Autant de droits fondamentaux dont jouissent actuellement les femmes, dans la majeure partie de Madagascar. Depuis,  les femmes ont également investi les lieux de travail, et depuis peu, elles se sont lancées dans la politique. Et si cela semble être une bonne initiative, elles rencontrent beaucoup plus d’obstacles dans la réalité. « En réalité, les femmes jouissent de leurs droits fondamentaux, sauf que dans la société, tradition oblige dans certains cas, et à cause d’une éducation qu’on a inculquée depuis des décennies, les femmes doivent rester dans le rôle qu’on leur a donné. Car l’homme, dans la société, joue le rôle de chef de famille. Donc dans sa tête, il se dit qu’il apporte à manger et qu’il faut s’en suffire. Même si la femme a d’autres capacités qui pourraient améliorer la vie dans le foyer. Du coup, même si elle a fait beaucoup d’études, elle reste femme, parfois sans pouvoir se faire valoir dans son propre foyer. C’est dommage car les femmes ont vraiment beaucoup à apporter dans le foyer, dans la société et même dans la nation ». L’avis est d’un des membres du groupe Voots, collectif musical, dans un monde où le genre est une notion totalement adoptée. Car paradoxalement, dans le monde de l’art, les hommes et les femmes ont exactement les mêmes droits, responsabilités et respect.

Pratiques traditionnelles et éducation. A bien y penser, cet exemple tout à fait typique à Madagascar (comme dans bien d’autres pays) est à l’échelle nationale. Il n’est donc pas rare de voir des hommes, et même des femmes, pas du tout convaincus d’avoir une femme pour mener dans la société. Cela va de la cellule familiale, car il est rare que la femme soit le chef de famille, à la communauté, où le rôle de chef revienne à l’homme, en passant par la société, car la femme n’accède que très rarement aux postes de décision en politique, jusqu’à l’entrepreneuriat où les femmes ont du mal à exister. « Cela remonte dans les pratiques traditionnelles, où la femme a été assignée à certaines tâches et à une place spécifique dans la famille. Du coup, elle n’y est jamais sortie. Mais cela trouve également ses causes dans l’éducation. Car si l’on a donné leurs droits aux femmes, il n’y a pas eu de mesure d’accompagnement, du coup, elle a le droit mais ne peut pas forcément l’appliquer. Il faudrait peut-être revendiquer auprès de toute la société, pour qu’elle puisse prendre la place de l’homme avec toutes les responsabilités que cela incombe, sans que la société, hommes et femmes confondus, ne traite ni la femme, ni son mari, de marginaux de la société » ajoute toujours cet artiste.

Le chemin à parcourir reste long, et revendiquer ses droits entraîne d’autres mesures pour la femme. Homme, femme et toute la société doivent être sensibilisés pour que la femme ait la même place que l’homme dans la société. Les violences envers les femmes n’en seront qu’amoindries.

Anjara Rasoanaivo

Secteur forestier : Manque de vision et incohérence des lois

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Une vision commune sera établie à l’issue de ces assises nationales. (Photo : Yvon Ram)
Une vision commune sera établie à l’issue de ces assises nationales. (Photo : Yvon Ram)
Une vision commune sera établie à l’issue de ces assises nationales. (Photo : Yvon Ram)

Toutes les parties prenantes lors des assises nationales de la gouvernance forestière vont établir une vision commune de ce secteur.

Madagascar se trouve loin d’une gouvernance forestière idéale. En effet, « on constate un manque de vision claire au niveau du secteur forestier. Les lois et cadres réglementaires le régissant sont également incohérentes et obsolètes, voire même contradictoires. Ce qui rend difficile leurs applications et favorise la corruption », a exposé Andry Andriamanga, le Coordonnateur national de l’Alliance Voahary Gasy lors de l’ouverture des Assises nationales de la gouvernance forestière qui se tiennent depuis hier jusqu’à ce jour à La Résidence à Ankerana.

Pilier. A titre d’illustration, « l’Etat a suspendu la délivrance de permis d’exploitation forestière pour une gestion durable des ressources  alors que l’octroi de permis continue via des arrêtés régionaux, et ce, dans une zone non-autorisée à être exploitée », a-t-il rajouté. Et encore, la Grande Ile est sous-administrée faute de moyens suffisants. « Ce qui explique la faiblesse du mécanisme de contrôle au niveau de ce secteur qui est pourtant un des piliers de développement du pays si le capital forestier est bien valorisé », a-t-il soulevé.

Représentatives. Dans la foulée, des assises régionales se sont tenues à Haute Matsiatra, Atsimo Andrefana et à Boeny pour effectuer l’état des lieux du secteur en matière de gouvernance forestière. « Ce sont des régions représentatives en termes de problématique forestière étant donné que la majorité de leurs exploitations de ressources forestières servant à satisfaire nos besoins en bois et énergie proviennent des forêts naturelles. Leurs problèmes communs se situent au niveau des cadres réglementaires et de la politique forestière », a évoqué le coordonnateur national de l’AVG.

Handicap. Par ailleurs, « on observe un manque de synergie entre les acteurs. Entre autres, des organismes internationaux définissent eux-mêmes leurs zones d’intervention, alors que nous devons avoir une priorité. L’inexistence de base de données sur les besoins en produits forestiers et de la politique d’augmentation forestière constituent aussi un handicap majeur », a expliqué Hanta Rabetaliana, consultante en matière de gouvernance forestière. Et lui de poursuivre que la gestion forestière ne doit plus être la prérogative du ministère de l’Environnement mais de toutes les parties prenantes. Raison de la mise en place d’une vision commune afin que chaque acteur puisse se positionner dans sa prise de décision.

Navalona R.

Stigmatisation des individus vulnérables au VIH/SIDA : « Due au manque d’informations sur la transmission de la maladie »

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Il y a deux jours de cela, les professionnels des médias ont bénéficié d’une formation ayant pour but de mettre à jour les connaissances de la population sur le VIH/SIDA, afin de réduire la stigmatisation et la discrimination des personnes vulnérables de ladite maladie. Une formation offerte par l’Institut de Technologie et de l’Education et de Management (ITEM), entrant dans le cadre du projet de lutte pour la réduction de la stigmatisation et la discrimination des populations vulnérables au VIH/SIDA. Ce qui aurait intéressé beaucoup de Médias, selon les précisions. En effet, la raison de cet appel serait que la population malgache ait un grand besoin d’informations sur cette maladie. « Il y a des intox qui circulent autour de la maladie, et il y en a même qui affirment qu’elle se transmet par le biais des piqûres des moustiques », affirme le Dr Rova Rabetaliana, 1re responsable dudit Projet au sein de l’ITEM. Une vingtaine de médias ont alors répondu présents et se sont engagés à effectuer des activités au sein de leur boîte respective. Des activités qui seront suivies d’une  action de suivi-évaluation. A part ces professionnels des médias, d’autres appels ont été également lancés à l’endroit de la société en général, les juristes, les autorités policières, les professionnels de la santé, les tenanciers des bars, ainsi que les prestataires touristiques.

Arnaud R.