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samedi, juillet 19, 2025
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Antsirabe: Nirefotra ny basy tao amina karaoke

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Mpiambina toerana fanaovana karaoke iray eto Antsirabe no nosamborin’ny polisy avy amin’ny BC Antananarivo ny Alatsinainy hariva 11 Novambra lasa teo. Hatairana ny an’ny olona nandalo raha nandre ny fipoakana basy in-droa nisesy  tao amina toerana iray fanaovana karaoke eto Antsirabe ny Alatsinainy hariva lasa teo. Tsy fantatra mazava tsara hatreto ny tena antony nipoahan’ny basy ,satria tsy nisy fifandoanana na endrika fanoherana nandritra ny fisamborana. Tokony ho tamin’ny 5 ora tany ho any moa no nandrenesana ny poa-basy. Nambaran’ireo polisy fa  manana basy poleta ity mpiambina  ity ka izay no antony nisamborana azy. Mpiambina no anton’asany, tsy nisy nahafantatra ny mpiara- miasa aminy
sy ny olona tao an-toerana nandritra ny fisamborana raha tsy efa nahita ny polisy nanao be miditra ny karaoke. Rehefa hitan’ireo polisy moa ity lehilahy ity dia nosamborina ary avy hatrany dia nampidirina tao anaty fiara, voalaza fa mbola misy namany hafa ihany koa karohina ankehitriny.
Andry N.

AMBATOLAONA: Valo mianaka may kila tao an-trano

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Nitrangana hain-trano mahatsiravina tany amin’ny tanànan’Antandrona, any Ambatolaona – Manjakandriana afak’omaly, tokony ho tamin’ny 9 ora maraina. olona valo mianaka anatina fianakaviana iray no indray namoy ny ainy tao anatin’izany dia izy mivady 47 sy 35 taona. Ny zanak’izy ireo sasantsasany izay 9-7-6 ary iray taona sy roa volana. Niara-namoy ny ainy tamin’izy ireo ihany koa ny zafikeliny 3 taona sy roa taona. Voalaza fa fianakaviana mpanao saribao ireto niharan-doza ireto. Ary matory any an-tsaha ry zareo rehefa miasa. Araka ny fanadihadiana nataon’ny mpitandro filaminana dia doro-tanety no niatombohan’ny afo ary izao niafara tamin’ny faty olona izao. Mbola tsy fantatra aloha hatreto izay nandoro ity toerana ity, ary mbola tsy hay ihany koa raha afo niniana natao mba hamonoana azy mianakavy na dia doro tanety tsotra izao. Efa eo am-panaovana famotorana ny mpitandro filaminana avy ao Ambatolaona amin’izao fotoana izao mba hahafantarana izay tena marina amin’ity hain-trano namoizana ain’olona marobe ity. Matetika  no aharenesana doro tanety any amin’iny faritra iny noho ireo mpanao saribao marobe, ary fotoanany mihitsy izao. Ny valin’ny fanadihadiana hataon’ny zandary no hahafantarana ny marina rehetra.

 

A.R.

Jouets et produits pour Noël: Préparatifs des commerçants et des producteurs locaux

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Les jouets commencent déjà à remplir les rayons et les magasins depuis le premier jour de novembre. Photo d’archives.

A six semaines de Noël, les premiers produits importés pour être écoulés pendant la période des fêtes sont déjà arrivés, pour les commerçants les plus prévoyants. Des tonnes de marchandises et des containers entiers sont attendus dans les prochaines semaines.  

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Les jouets commencent déjà à remplir les rayons et les magasins depuis le premier jour de novembre. Photo d’archives.

 

Jouets, décorations de Noël, produits alimentaires et boissons, produits textiles et habillement, chaussures et autres accessoires et bien d’autres… les produits d’importation en vue de faire face à la période des fêtes de Noël et de fin d’année commencent à arriver. Les opérateurs les plus prévoyants ont déjà commencé à gérer leurs stocks en vue de cette période durant laquelle les chiffres d’affaires sont généralement en hausse.

Pour les jouets en particulier, les commandes sont passées dès le mois d’avril, pour certains, au plus tard en juillet, pour être livrés et débarqués au Grand port avant la fin du mois d’octobre. C’est ainsi que dans les grands magasins, les rayons des jouets sont déjà aménagés en vue de la période de Noël et les stocks de l’an dernier commencent à refaire surface, aux côtés des nouveaux arrivages de cette année. Côté prix, les invendus de l’an dernier affichent généralement le même prix, voire un peu en dessous, lorsqu’il s’agit d’articles « passés de mode ».

 

Avoir le flair. Pour les produits fabriqués localement, les préparatifs ne sont pas non plus moins intenses pour les fournisseurs des grandes enseignes et de tous les autres revendeurs. Les produits alimentaires (foie gras, volailles, fruits de mer, charcuteries, etc…) sont les plus recherchés et les producteurs s’y préparent depuis quelques mois. Mais tout n’est pas tout rose pour ces producteurs locaux qui comptent sur la période de fin d’année pour faire grimper un peu les chiffres d’affaires. « Il faut avoir le flair pour produire la quantité suffisante et éviter d’avoir trop d’invendus, sachant qu’il s’agit de produits périssables », commente un producteur de foie gras dans l’Atsimondrano. Depuis plusieurs mois, il a établi son calendrier pour pouvoir honorer les prochaines commandes pour les fêtes. Ce qui a nécessité quelques investissements qu’il espère pouvoir amortir sous peu. Les marchands de volailles, pour leur part, partent dans le Sud durant la seconde quinzaine de novembre pour chercher eux-mêmes les dindes vivantes qu’ils prévoient d’écouler pour Noël et les fêtes de fin d’année. Certains marchands disposent déjà d’un réseau pour effectuer les achats auprès des fournisseurs et l’envoi des volailles jusqu’à Antananarivo. Le dispositif est déjà rôdé et déjà en marche en ce moment pour profiter au maximum de l’opportunité que représentent les fêtes de fin d’année. En espérant que cette année, les affaires seront meilleures que l’an dernier…

Hanitra R.

VTT: Une conférence de presse annulée

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L’Association défenderesse des droits des prisonniers a encore fait appel aux journalistes hier, pour une conférence de presse concernant toujours l’affaire de la défense des droits des détenus, surtout ceux impliqués dans l’affaire de Nosy-Be. Mais elle fut annulée! Selon les sources, celle-ci devait se passer à la villa Franchise, appartenant à l’ancien Président Zafy Albert à Ivandry, vu que ce dernier aurait partagé des informations erronées sur un CD audio, lors de son intervention sur l’affaire de Nosy-Be, en voulant apporter son aide aux détenus. Ainsi, ce dernier se serait mis d’accord avec les membres de ladite association pour mettre la situation au clair, car à l’heure où l’on parle, ledit Cd aurait déjà été propagé dans tout le pays. Mais au dernier moment, l’ex-Président aurait refusé le geste pour des raisons inconnues. Ce qui a provoqué le mécontentement des journalistes venus nombreux qui, certains affirment même être déçus après avoir été victimes d’intox de la part de l’association, en affirmant qu’une rencontre avec l’ancien Président va avoir lieu, mais en vain.

 

Arnaud R.

Projet Déclic: Formation dans toute l’île

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Ambiance studieuse depuis hier, dans les quelques salles de classe où sont formés les enseignants dans les CEG en classe de 4e et 3e, dans le cadre du projet Déclic, soutenu par le ministère de l’Education Nationale et l’Ambassade de France. Ils sont 3 groupes de 13 participants à se former sur la méthode utilisant des matériels didactiques comprenant des kits photos. Car le manque de formation et de capacité des enseignants, qu’ils soient fonctionnaires, maîtres Fram ou même bénévoles, est palpable. Ces enseignants en arrivent à enseigner les cours de français en langue malgache. Ce renforcement de capacité, utilisant des méthodes innovantes, est donc plus que nécessaire. « Comme les enseignants ont toujours utilisé des supports texte, les élèves ont une assez bonne compréhension écrite » explique Seheno Rabearimanana, formatrice. Du coup, les élèves ne sont pas assez bons en oral. La première vague, qui a concerné les enseignants des classes de 6e et de 5e a déjà effectué sa formation. Celle qui s’effectue actuellement dans toutes les ex-provinces se terminera jeudi. Puis, la semaine prochaine, place aux enseignants du cycle lycée.

 

Anjara Rasoanaivo 

Ambohimanarina: Des œuvres sociales au chevet de la population

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Dégradation des infrastructures, insuffisance des prises en charge sanitaires surtout pour les plus démunis, ce sont là les problèmes quotidiens des habitants de presque tous les 31 fokontany dans le VIe arrondissement, notamment à Ambohimanarina. Ce qui se passe actuellement à Ambodivona Ambohimanarina en est bien une preuve vivante. En effet, le mauvais état du lavoir public dans ce lieu désole plus d’un. En effet, celui-ci menace de s’effondrer puisque l’un de ses piliers a été emporté par un courant d’eau lors de la dernière saison de pluie. Ce qui constitue un risque énorme pour les plus de 200 lavandières qui y travaillent tous les jours. Et ce n’est pas là le seul problème puisque depuis quelques jours, l’eau de la jirama menace également de disparaitre dans les fontaines publiques des mêmes lieux. «C’est depuis 7 heures du matin que j’ai aligné mon bidon dans cette longue queue de plus de 50 m, jusqu’à maintenant 10 heures, ce n’est pas encore mon tour», dixit une mère de famille, faisant part de ses ennuis sur les plus de trois longues heures d’attente qu’elle y aurait passées. Devant tout ceci, le Dr Miharisoa Ramananarivo, un bienfaiteur, a effectué des œuvres sociales dans quelques fokontany à Ambohimanarina, hier. Après avoir ainsi identifié les besoins immédiats de ces habitants du VIe arrondissement, il a fait réparer sans attendre le lavoir public en question, en fournissant également les matières premières nécessaires, notamment du ciment, des moellons,… Les travaux ont tout de suite commencé. En outre, il a également offert une consultation de masse pour les habitants les plus démunis d’Antanjobe Nord Ambohimanarina. «Ce ne sont là que les débuts de mes actions. Le but est de répondre aux besoins des 31 fokontany dans ce VIe arrondissement », dit-il.

Arnaud R. 

Ambalafenomby, d’une école, un village riche d’avenir.

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Une nouvelle école et une cantine scolaire.
Ambalafenomby, d’une école, un village  riche d’avenir.
Une nouvelle école et une cantine scolaire.

« Mais pourquoi ces enfants ne sont-ils pas à l’école à cette heure-ci ?».  Le village d’Ambalafenomby  a subi les affres ravages du cyclone de 2008. L’école en a été victime. Plus de toit. Plus de porte et fenêtres. Des murs en ruine. Les enfants sont dans la rue.  La reconstruction de l’école n’est pas une priorité de l’Etat.

       Nouvelle école.   Sabine Rakotozafy est de passage dans ce village dont elle est originaire. Vivant en Allemagne  à Monchengladbach avec son mari  Hartmut P. khöl, le couple a l’habitude de passer des vacances en famille à Madagascar, deuxième patrie. Cette fois-ci, le cœur ému et triste devant le spectacle.  « Un changement, il faut le faire et pas seulement le vouloir» lit-on sur le site de la Fondation Röhl-Vintana-Stiftung qu’ils ont créé.  Aider  l’école Ambalafenomby est devenu un but.  L’autorisation de l’évêché catholique d’utiliser l’église comme salle de classe provisoire a nourri l’espoir de sauver les enfants et de leur assurer un avenir meilleur. Leur aide a commencé par la dotation en bancs, en  pupitres, en tableaux noirs. Ensuite à fournir du matériel scolaire, avec un kit scolaire, comprenant cahiers, crayons, stylos, compas et règles pour chaque écolier. Et de fil en aiguille, c’est une nouvelle école qui voit le jour.

        Une cantine.  46 élèves au début. 120 aujourd’hui. La construction de la nouvelle école primaire d’Ambalafenomby  a nécessité quatre mois de travaux en 2009. Inaugurée dans la pure tradition malgache devant quelques 300 personnes et dans la joie et la liesse, le nouvel établissement est un chef d’œuvre qui aura au préalable nécessité la réhabilitation du pont pour accéder au village. La Fondation ne s’est pas arrêtée à ce stade. Ambalafenomby n’est pas un village de riches. Bien au contraire, ses habitants sont des paysans pauvres qui vivent de la culture et de l’élevage.  La fondation  a pris en charge les instituteurs de l’école, aidé les enfants qui ne pouvaient aller à l’école parce les parents n’ont pu s’acquitter des frais d’écolage. Et depuis  une année  une cantine scolaire a été mise en place  pour combattre la malnutrition dont les enfants ont grandement souffert. Ce projet qui  complète les efforts déployés n’a pu être réalisé sans procéder auparavant à l’acheminement de l’eau potable pour l’ensemble du village.  L’école d’Ambalafenomby  est devenue un modèle de … développement. Et  la joie est à son comble car des élèves ont réussi l’examen du CEPE. Le patriotisme, la ténacité et  l’humanité d’un couple allemand  ont ouvert la voie à un avenir meilleur pour les enfants et pour tout le village.

Z.R 

Confirmation publique

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Encore une clause de la feuille de route de sortie de crise rappelée !  En l’occurrence l’article 15 qui exige du président, du gouvernement, des chefs d’institution et de l’ensemble de l’administration de la Transition l’obligation de neutralité dans la période électorale. Mais aurait-on oublié la récente déclaration du président Didier Ratsiraka en conférence de presse. Il a déploré  que 17 articles au moins de cette feuille de route n’aient pas été respectés par ses signataires.  Marc Ravalomanana en sait quelque chose. Lui qui ne peut toujours pas revenir au pays malgré une clause sans ambiguïté d’interprétation sur le retour sans condition des exilés politiques. Lorsqu’il existe une habitude de transgression  et de reniement de ses engagements de la part de la classe politique, comment  peut-on arriver à sanctionner celui qui s’y dérobe sans faire deux poids, deux mesures ? La question  que l’on devrait se poser aujourd’hui est sans doute celle-ci. La feuille de route a-t-elle toujours une valeur  aujourd’hui ?  Tant d’infractions n’ont pas fait l’objet de sanctions…

Confirmation publique

               Andry Rajoelina soutient un candidat au second tour de l’élection présidentielle. Sa déclaration au journal Le Monde n’est que la confirmation publique de l’appui qu’il n’a cessé d’apporter à son poulain depuis sa candidature. Personne n’a été dupe du jeu surtout lorsque la campagne de propagande a montré que Hery Rajaonarimampianina possédait plus de moyens matériels et financiers que tous les autres candidats issus du pouvoir.  Certains de ses concurrents l’ont jalousé et ne l’ont pas ménagé.  Il s’est retranché dans l’indépendance de « force nouvelle », pour ne pas porter ombrage au candidat officiel du parti TGV, Edgard Razafindravahy.  Résultat pourtant, il est admis au second tour du scrutin. Le parapluie est revenu pour le couvrir même s’il ne pleut pas. Halte à l’hypocrisie ! Andry Rajoelina tient à montrer qu’il est toujours dans la course à travers Hery Rajaonarimampianina. Comme Marc Ravalomanana  à travers le Dr Jean Louis Robinson.  A cette étape du processus, il serait intéressant de connaître quel genre de deal, les deux candidats ont-ils accepté respectivement avec l’ancien président de la république  et le président de la Transition. On sait que le Dr Jean Louis Robinson, s’il est élu, a promis de ramener au pays l’exilé au lendemain de la victoire. Mais entre Hery Rajaoanarimampianina et Andry Rajoelina que peut-il y avoir ? Quoi qu’il en soit, il n’y a pas entre les deux candidats, des sentiments de haine et d’hostilité perceptibles comme on peut le soupçonner entre Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina. On n’assistera donc pas à des joutes assassines et conflictuelles entre Avana et force nouvelle pendant la campagne du second tour. Le débat contradictoire se posera entre mouvances politiques.  Toujours est-il que le processus électoral a bien marché jusqu’à présent sans aucune rigueur dans l’application de la feuille de route. Mais la Cour Electorale Spéciale se réfèrera-t-elle à cette feuille pour rendre ses décisions ? Le public observe.

Zo Rakotoseheno  

‘Zay: Le retour sur le devant de la scène !

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Nary et ses compères remettent leur concert au Ccesca.
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Nary et ses compères remettent leur concert au Ccesca.

Mauvaise nouvelle pour les fans de l’Hexagone, mais excellente pour les inconditionnels malgaches. Suite au report de la tournée française, Nary et sa bande ont décidé de se produire au Ccesca.

Une fois n’est pas coutume ! Cette année, Nary et ses compagnons de scène ont décidé de faire une exception. Si chaque année, le groupe ‘Zay ne donne en effet qu’un seul grand concert, cette fois, il va déroger à sa propre règle. Le 24 novembre prochain, ‘Zay va donc retrouver ses inconditionnels… pour la seconde fois. « Avec Mi’ritsoka production, nous avons projeté d’effectuer une tournée française. Nous avons cependant décidé de le reporter pour l’année prochaine. C’est là que nous est venue l’idée de donner un autre concert dans la Capitale », explique Nary. Concert dont le but est surtout de faire connaître les nouvelles compositions.

Promotion de « Sara-tiana ». « Quelques unes des chansons qui composent le dernier album sont certes déjà sur toutes les lèvres. Certains titres restent néanmoins inconnus. La première partie du concert sera ainsi destinée à faire connaître les titres dans ‘Sara-tiana. La deuxième partie sera composée de tous ces airs par lesquels notre public nous a connus ». Et comme pour le groupe ‘Zay, une bonne nouvelle en cache une autre, l’album sera accessible à un prix très promotionnel. « Pour 13 000Ar, le public aura droit et au concert et à l’album. Toutefois, s’ils en possèdent déjà un et veulent seulement assister au spectacle, il leur faudra payer 10 000Ar », selon toujours les précisions du leader du groupe.  ‘Zay au Ccesca le 24 novembre, une occasion à ne rater sous aucun prétexte donc.

Mahetsaka

Les sillons du passé: De Ratsimilaho à Jean René

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Si Ratsimilaho, qui régna sous le nom de Ramaromanompo est reconnu comme le  fondateur du premier Royaume Betsimisaraka, ses descendants directs qui lui succédèrent, n’avaient ni sa popularité, ni sa sagesse. En premier lieu, son fils Zanahary qui mourut assassiné en 1767, ensuite les fils de ce dernier, Iavy qui accéda   au trône à l’âge de 18 ans eut un règne « sans mœurs ni loi » avant de disparaître en 1791, « peu regretté par  ses compatriotes », pour laisser le  trône à son fils Zanakavola, un souverain encore plus cruel que   son père, qui fut sagayé par ses sujets en 1803. Il faudra attendre l’arrivée de Jean René, né d’un père français et d’une mère malgache, pour que le royaume  Betsimisaraka retrouve sa grandeur. Jean René reconnut Radama 1er comme roi  de Madagascar et ce dernier confirma sa suzeraineté sur la côte orientale, nous rapporte Philippe Oberlé.

Les deux hommes acceptèrent de se faire frères de sang selon la coutume malgache, à l’occasion d’un déplacement  de Radama 1er à Tamatave, à la tête de 25 000 hommes. Jean René et son frère Fisa surent  administrer la ville de Tamatave avec sagesse et équité, faisant ainsi oublier les  périodes sombres que le royaume à vécues avec les successeurs de Ramaromanompo

+S.J