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mercredi, juillet 9, 2025
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Vendredi joli

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# Randrantelo au Piment Café. Tout le monde connaît ce groupe. Les amateurs de folk du moins. Evoluant dans un monde d’hommes, Randrantelo ne passe jamais inaperçu. Une femme à la guitare et deux autres qui l’accompagnent et interprètent à merveille les grands succès de Lôlô sy ny tariny, Erick Manana ou encore les titres de « hira gasy » les plus connus, ça sort effectivement de l’ordinaire. Lilie, Fara Gloum et Fara Kely, à chacune de leur apparition, font toujours sensation. Et ce soir, elles n’espèrent qu’une chose : renouveler l’exploit.

# Samoela au Paprika. Absent de la scène depuis quelques mois, ce chanteur n’est pourtant plus à présenter. « Hafaliana foana », « Sexy girl », « Zana-bahoaka » ont fait de lui un artiste hors pair. Après plus de quinze ans dans le paysage musical, Samoela fait toujours délirer autant son public. A Antsahamanitra, au stade annexe ou encore dans un cabaret comme le Piment Café, l’ambiance est toujours au rendez-vous et le public, chaque fois, se lance dans une euphorie dans le chanteur à texte détient le secret. Ce soir, Samoela reprend du service et invite ses inconditionnels au Paprika… à partir de 21h.

# Din Rotsaka au Jao’s Pub. Ce n’est que partie remise, a promis l’artiste. La dernière fois, il n’a effectivement pas pu honorer son rendez-vous. Pour cause, le décès de son père. Aujourd’hui, le chanteur veut se rattraper. Ce soir,  il va effectivement investir le cabaret de Jaojoby pour une ambiance « rotsaka » comme les adore les amateurs de musique « mafana ». Avis aux amateurs !

# Mika & Davis au Pub. Certains pensent que pour eux, l’aventure s’est arrêtée à Libertalia. Mais non, elle continue de plus belle. Les deux compagnons de scène ont même fait peau neuve côté arrangement. Après un petit break bien mérité, Mika & Davis retrouvent le chemin de la scène. Ce soir, ce n’est pas encore sur une grande scène que les amateurs de bonne musique vont les retrouver mais dans un endroit convivial, histoire d’entretenir la complicité avec le public.

Mahetsaka

Ethnologie : Le nombre d’Or dans le « Fanorona » malgache

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Le « fanorona » est un jeu bien malgache. Mais il recèle des secrets qui vont au-delà de son côté ludique.

Sans le nombre d’Or qui est présent dans ce qui est vivant, il est impossible de comprendre le principe de la vie ; le corps humain, les animaux, les plantes sont basés sur ce nombre. Il est le seul rapport qui met en résonance la partie avec le Tout, la créature avec le Créateur, le Dieu des Hébreux-Malgaches. Sans se rendre compte de la pensée géobiologique officielle, de la science reposant sur la persistance d’une illusion collective, ce phi est aussi présent dans le « Fanorona » malgache.

Ce dessin géométrique du « Fanorona » rappelle aux connaisseurs le sceau hittite Andara et le dragon.

Selon le décodage jusqu’ici non identifié, le rectangle ABGH du « Fanorona » représente la Genèse (chapitre 1 et 2) où l’humanité n’a pas encore commis d’iniquité. Le rectangle EFKL représente l’Apocalypse (chapitre 21 et 22) où le péché n’a plus de  pouvoir sur l’Homme. Le rectangle BEHK représente la vie des communs mortels, avec tout ce qui le concerne : le plan physique, le plan éthérique ou le plan pranique dont le biochamp et des énergies cosmotelluriques en font partie, le plan astral, le plan mental, le plan causal : c’est le plan de l’intelligence pure et des champs morphogénétiques, le plan spirituel qui n’est accessible qu’aux humains maîtrisant leur ego, le plan divin : c’est la réalisation de la prophétie de Joël en 850 av.J.C.

Le rapport des côtés de la partie du Fanorona BEHK est de 0,62962 (TantaranyAndriana, p.143) ; et celui du sceau hittite qui date de 4 300 ans est  de 0,63 ; soit le centième de la coudée sacrée égyptienne qui est le 10 millionième du rayon terrestre. Le « Fanorona » malgache décrit avec précision ce sceau hittite. Le lecteur remarque facilement les trois schémas régulateurs.

Il a le même rapport que 1/Phi. De là HI=HJ=JK=Phi/3.

Phi=0,618033988749894848204586834365638117720309179805762862135448622705260462818902499707207204189391137484754058807538689175

Or ce nombre d’Or dévoile qu’Ieshua Hamashiah (le Messie) sera crucifié à 33 ans et il sera délaissé par ses onze disciples ; et cette bonne nouvelle sera annoncée  aux Malgaches  des îles de Madagascar disant que « Je suis celui qui est» se révélera aux fils de Jacob à Madagascar.

Les tombeaux malgaches rappellent les tombes princières chaldéennes au temps d’Abraham. Une rampe d’accès dite dromos conduit  à une chambrette voûtée en enfilade. Le défunt y est placé avec de nombreux objets liés à sa vie passée. Les autres salles et le dromos contenaient des squelettes des serviteurs enterrés avec le prince. Le tout était enseveli sous le sable. Le rapport des côtés vaut la moitié de Pi ; sa surface multipliée par le nombre d’Or vaut celle du rectangle harmonique avec le chiffre racine de 2, visible dans le dessin géométrique du « Fanorona ».

Droit des affaires : La Revue MCI traite du cas de BNI

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Le numéro 63 de la Revue MCI vient de sortir.  Publiée par Madagascar Conseil International, la Revue MCI est la seule revue malgache spécialisée dans le droit des affaires et la vie juridique des entreprises, et ce, avec d’éminents juristes malgaches comme les magistrats, les praticiens, avocats d’affaires et autres professeurs.

Le numéro 63 traite en particulier de l’opération de cession de la BNI Madagascar, une affaire qui continue de défrayer la chronique dans le milieu des affaires à Madagascar.  Dans un article signé par Raphaël Jakoba, Directeur de la publication de la revue MCI, ce dernier indique notamment que si, en apparence les règles légales ont été respectées dans cette cession de la BNI, il n’en demeure pas moins qu’il y  a eu détournement de procédures. On peut citer, entre autres articles traités dans ce numéro : « Le régime du contentieux fiscal à Madagascar : un dispositif hautement préjudiciable aux contribuables » ; « L’adhésion de Madagascar à la SADC, quel bilan ? » ; « Réflexion sur la légalité des taux d’intérêt bancaire à Madagascar » ; « L’élection du Président de la IVe République, quel imbroglio juridique !; « Quid du contrôle des deniers publics à Madagascar ».

R.Edmond.

Rugby : Des jeux de maillots pour TFMA dames

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Après les hommes, c’était au tour des dames de bénéficier de leur part. Me Hanitra Razafimanantsoa, vice-présidente au sein du CST a offert des jeux de maillots à l’équipe féminine de TFM Ankasina, hier. C’est la réalisation de la promesse qu’elle avait tenue lors de la dotation des survêtements aux hommes de la première division ou les «  boay kely manohitra ». Elle a souligné, hier, que ce n’est que le début, mais beaucoup d’autres viendront par la suite. Et lors d’une rencontre avec la presse au Motel à Anosy, Me Hanitra Razafimanantsoa a annoncé qu’elle va organiser une manifestation sportive «  Tournoi Me Hanitra » pour les sportifs du 1er arrondissement dans plusieurs disciplines entre autres, une course, le basket-ball, le football, le volley-ball et la pétanque. Une course de solidarité ouvrira le bal des activités le 24 novembre prochain au départ de l’Immeuble Fiaro à Ampefiloha suivie d’une séance de danse de zumba.

T.H

Evacuation d’eaux usées : Les canaux d’évacuation bouchés par des ordures

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PollutionDans la ville d’Antananarivo, averse et pluie riment avec montée des eaux. Les canalisations sont bouchées, et personne ne semble s’y préoccuper.

Depuis quelques jours, Dame pluie a fait honneur de sa présence dans la ville d’Antananarivo. Si les Tananariviens ne le voient que d’un bon œil, ceux qui cultivent le riz et autres légumes et fruits en sont plutôt satisfaits, vu le peu de pluviométrie de ces dernières semaines à côté de la chaleur étouffante au quotidien. Mais si la pluie rafraîchit un peu dans une chaleur ambiante qui fait suffoquer, elle apporte également beaucoup de dégâts dans les rues et les quartiers. Et pour cause, les canalisations de la ville d’Antananarivo sont presque bouchées. Et il n’y a pas à chercher loin pour trouver la cause : les Malgaches semblent trouver normal de jeter des détritus, des sachets en plastique et des écorces par terre, comme si la ville était un bac à ordures géant.

Canaux encombrés. Il faut aller dans les marchés, ou attendre tard le soir après le grand marché du jeudi à Mahamasina pour s’en rendre compte. Chaque canal d’évacuation d’eau est rempli d’ordures. C’est presque une manie, dès qu’il y a une évacuation, les usagers l’utilisent pour jeter leurs détritus. Et la période faste en fruits en tout genre n’arrange rien. « J’ai longtemps été vendeuse à Anosibe, et je l’ai remarqué, tout le monde jette tout dans les canaux d’évacuation. Normal si après, les canaux sont obstrués » raconte une Soa, une ancienne vendeuse. Et impossible de faire entendre à ces petites gens du marché combien il est important de préserver ces canaux d’évacuation, qui servent à quelque chose. L’absence totale d’éducation civique et le peu de respect pour autrui ne leur permettent pas de s’abstenir de jeter n’importe quoi dans ces bouches d’évacuation. A Mahamasina, même si les balayeurs de rue s’attellent chaque jour à ramasser les ordures et à désengorger du mieux qu’ils peuvent ces canaux, les usagers se sentent obligés de les encombrer dès qu’ils ont l’occasion.

Bas quartiers. Les conséquences peuvent pourtant être dramatiques. Certes, les pluies de ces derniers jours n’ont heureusement pas eu d’effets sur la montée des eaux en général, mais les eaux qui ruissellent et qui montent dès que la pluie tombe reflètent déjà la mauvaise canalisation de la ville. Et ce sont les habitants des bas quartiers de la capitale qui en sont les premières victimes. Car il n’est pas rare que dans ces quartiers, les habitants doivent emprunter une petite barque pour circuler.

Anjara Rasoanaivo

Patrick Pisal- Hamida (DG de Telma) : « En 10 ans, le Tour est devenu incontournable ! »

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Le DG de Telma, Patrick Pisal- Hamida (au centre), est un inconditionnel du Tour de Mada cycliste.
Le DG de Telma, Patrick Pisal- Hamida (au centre), est un inconditionnel du Tour de Mada cycliste.
Le DG de Telma, Patrick Pisal- Hamida (au centre), est un inconditionnel du Tour de Mada cycliste.

Le DG de Telma, Patrick Pisal- Hamida, est très fier d’être au Tour de Madagascar cycliste. Pour celui qui vient de boucler le marathon de New York du 6 novembre dernier en 4h 9mn, aider le cyclisme est presque un plaisir. Mais il y a évidemment autre chose.

Midi : Telma reste fidèle au poste à cette 10e édition du Tour de Madagascar cycliste.

Patrick Pisal-Hamida : « C’est logique si nous sommes là car en 10 ans, le Tour est devenu incontournable pour nous et même pour tout le monde. Je me réjouis tout particulièrement de me retrouver avec des sociétés qui sont tous les leaders dans leur secteur respectif. Une association des grandes entreprises en fait mais qui travaillent déjà ensemble en dehors de ce Tour de Mada comme c’est le cas notamment entre la BOA et nous à Telma. En 10 ans, il y a des liens solides qui se nouent sans parler du savoir-faire de Francis Ducreux dont le langage plaît à tout le monde. Comme 2013 marque également mes 10 années de présence à Madagascar, on peut dire que j’ai grandi avec ce Tour. »

Midi : Telma au Tour de Mada. Cela signifie quoi exactement ?

Patrick Pisal- Hamida : « Telma prévoit cette année encore de faire des retransmissions en direct de trois étapes sur TVM. On va travailler pour que l’engouement de la population soit visible par tous. C’est très important et pour nous et pour le cyclisme. »

Midi : Y a t-il une raison particulière à votre participation à ce Tour de Mada cycliste, puisque Telma est déjà très actif au basket-ball et au football où la Coupe de Madagascar porte le nom de Telma ?

Patrick Pisal- Hamida : «Le basket-ball et le football sont sans conteste des sports très populaires mais le cyclisme a encore mieux car c’est le seul sport qui va vers la population. Aussi, c’est avec un très grand plaisir que j’invite personnellement des futurs partenaires à venir au Tour et animer ensemble ce grand événement sportif auquel participent toutes les îles de l’Océan Indien mais également des Français et des Belges. Le cercle continue d’ailleurs de s’agrandir avec l’arrivée des Congolais de la RDC. Croyez-moi, l’édition 2013 va encore être plus importante et plus animée.»

Propos recueillis par

Clément RABARY

Journée mondiale des droits des enfants : Nestor et Alphonse en vedette

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Le DVD Nestor et Alphonse est disponible à Madagascar.
Le DVD Nestor et Alphonse est disponible à Madagascar.
Le DVD Nestor et Alphonse est disponible à Madagascar.

On a célébré hier la journée mondiale des droits de l’enfant. Une date importante pour tous ceux qui font un plaidoyer dans l’amélioration des conditions de vie des enfants, et du respect de leurs droits fondamentaux. L’Unicef a lancé au niveau mondial la campagne #ENDViolence Against Children (Mettre fin à la violence à l’égard des enfants) un peu plus tôt dans l’année. Elle vise à faire reconnaître publiquement cette question et encourage les gens à appuyer les mouvements locaux qui luttent contre ce grave problème mondial et à s’y engager. Si de son côté l’Unicef a rendu honneur au travail accompli par le Child Helpline International, un réseau mondial comprenant 173 lignes d’assistance téléphonique dans 141 pays et qui oriente les victimes, souvent de maltraitance, de violence et d’abandon, d’autres associations et ONG effectuent des démarches beaucoup moins dramatiques. Ainsi, les premières aventures de Nestor et Alphonse, deux vers de terre philosophes, ont été présentées hier au centre de presse à Antsakaviro. Il s’agit d’une histoire visant à partager les valeurs essentielles de la famille, à travers le courage, l’éducation… Ce DVD éducatif sera vendu à Madagascar et s’adresse non seulement aux enfants, mais aussi aux éducateurs et même aux parents.

Anjara Rasoanaivo

Concentrés sur deux candidats

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Jean Louis Robinson et Hery Rajaonarimampianina seront-ils confirmés pour le second tour  de l’élection présidentielle ? La Cour Electorale Spéciale met fin aujourd’hui  au suspense qui a entouré les résultats en proclamant ceux définitifs du premier tour. Elle donnera auparavant son avis sur toutes  les requêtes reçues concernant les lacunes, les anomalies et les fraudes  du jour de scrutin. Celles  demandant l’annulation du scrutin ou la disqualification d’un candidat n’ont pas obtenu gain de cause. Elles ont été déclarées  irrecevables ou ont été rejetées. D’autres requêtes réservent des surprises. Elles  ne manqueront pas d’apporter du changement aux scores réalisés par les 33 candidats de la course présidentielle.

Concentrés sur deux candidats

           Une chose est sûre, les résultats provisoires ont montré que les électeurs sont divisés en camps. Ils sont venus voter pour  le candidat de leur choix. Soit Jean Louis Robinson, soit Hery  Rajaonarimampianina, candidats qui sont les plus représentatifs des deux camps politiques antagonistes. Le taux de participation élevé, plus de 60% sur le territoire national est loin de refléter le « ni Ravalomanana, ni Andry Rajoelina », une perception qui a prévalu au niveau de la classe politique et qui a été  grandement soutenu par l’international.  Bien au contraire, les résultats ont démontré que  les voix sont concentrées sur deux candidats. Les électeurs ont voté pour l’un ou pour l’autre ne voulant pas rejeter les deux.  Certes, les abstentions représentent une certaine proportion mais n’est pas assez importante pour confirmer une conviction envers le  « ni…, ni… ».  Il apparaît bien plus clair aux yeux des observateurs que les électeurs donnent préférence à des solutions moins exclusifs et moins extrêmes pour sortir de la crise. Ce n’est pas le « ni…, ni… » mais plutôt l’envie de réconciliation nationale qui a motivé les électeurs. Aussi le public ne verra-t-il pas du mauvais œil un partage du pouvoir entre les deux camps après les élections.  L’hypothèse d’une cohabitation n’est pas à écarter après les législatives si le candidat qui gagne la présidentielle n’obtiendra pas la majorité à l’Assemblée nationale. Des alliances politiques s’opèrent en ce moment pour se disputer cette majorité essentielle qui ouvre les portes de Mahazoarivo.

Mais si le processus électoral se passe plus ou moins normalement et dans le calme, le public  se méfie de la militarisation des  présidences des régions à un mois du second tour de l’élection présidentielle. Il y voit moins un renforcement de la sécurité qu’une menace pour la démocratie.  Il est vrai que les bruits de bottes en pleine période électorale ne peuvent qu’éveiller des soupçons. Conquérir le pouvoir ne passe pas forcément par les élections.

Zo Rakotoseheno

Limogeage de chefs de région : Jean Omer Beriziky explique

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En marge de la cérémonie d’inauguration des locaux de l’ITBM, le Premier ministre, Jean Omer Beriziky a apporté des explications sur la nomination d’Officiers supérieurs à la place des chefs de région. « Contrairement aux critiques, cette décision ne consiste pas à donner les pouvoirs aux militaires, d’ailleurs, elle a été prise conjointement avec le président de la Transition et la ministre de tutelle », a-t-il soutenu. Et lui d’expliquer que ce sont les responsables au niveau des régions classées zones rouges en matière d’insécurité qui ont été remplacés. D’après le PM, « la nomination de personnalités neutres est nécessaire vu le contexte politique actuel. D’autant plus que la nomination des chefs de région a toujours été une nomination politique ». A noter que les nouveaux chefs des régions Atsimo Andrefana, SAVA et Diana ont rendu une visite de courtoisie à la ministre de la Décentralisation, Ruffine Tsiranana hier. Une occasion pour la ministre de rappeler à ces hauts responsables leurs missions qui consistent à l’élection et à la lutte contre l’insécurité.

Davis R

Analakely : Nirehitra ny trano fitehirizana entan’ny « Le Glacier »

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Tamin’ny efatra ora sy sasany, omaly, no taitra tampoka ny olona raha nahita firehetana tao amin’ny trano iray tetsy Analakely. Rehefa nohamarinina dia trano fitehirizana entan’ny « Le Glacier » izy io. Herinaratra nifandray, na « court-circuit », hatreto no heverina fa nitarika ny loza. Maro ny entana kilan’ny afo tao. Na izany aza anefa dia vetivety dia voafehy ihany ny afo rehefa tonga teo an-toerana ny mpamonjy voina avy etsy Tsaralalàna, tsy dia mifanalavitra loatra an’Analakely. Na izany aza anefa dia sahirana ihany ny mpamonjy voina indraindray, toa ny omaly, noho ny tsy fisian’ny fantson-drano (bouche d’incendie). Tsy maintsy izay rano entiny amin’ny kamiaony ihany no ampiasaina noho ny fahasimban’ireny fantson-drano izay misy isaky ny kartie ireny. Vokatr’izany, raha lany ny rano nentina dia tsy maintsy mamatsy indray, na koa manafatra kamiao hafa. Tsy mba nisy mihitsy ny drafitr’asa mba ho fanarenana ny fantson-drano teto an-drenivohitra. Ekena fa ny fako sy ny loto aloha no tena laharaham-pahamehana. Fa ny firehetana ihany koa rehefa mitranga dia mety mbola ambony lavitra noho ireo ny afitsony. Indrindra amin’ity Antananarivo feno fanamboarana tsy ara-dalàna ity, hany ka lasa mivongovongo ny trano fonenana, na ny elakelan-trano aza zara raha misy.

D.R