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dimanche, juillet 13, 2025
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Coûts effrénés de la guerre : Une spirale économique à plusieurs milliards de dollars

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Tanà : Roalahy manao fanamiana polisy manery mandoa vola

La guerre ouverte entre Israël et l’Iran ne se joue pas seulement sur le terrain militaire. Elle engendre des conséquences économiques massives pour les deux nations – et, par ricochet, pour la région entière. En Israël, le coût de la guerre est vertigineux. Selon des estimations récentes publiées par les médias internationaux, les deux premiers jours de conflit ont coûté 1,45 milliard de dollars. Si l’affrontement devait durer un mois, la facture pourrait s’élever à 12 milliards de dollars. L’économie israélienne, déjà fragilisée par la guerre contre le Hamas, doit affronter des pertes humaines, des infrastructures endommagées, une chute du tourisme et un ralentissement brutal de l’activité dans des secteurs clés comme la tech. Le ministère des Finances a dû réviser à la baisse la croissance prévue pour 2025, de 4,3 % à 3,6 %, alors même que les dépenses militaires explosent. Cette pression budgétaire pourrait à terme dégrader la note de crédit du pays, alourdissant encore le coût de la dette.

Ressources affaiblies

Côté iranien, les frappes israéliennes ont visé des sites névralgiques : raffineries, terminaux d’exportation et même le champ gazier de South Pars, essentiel pour l’économie du pays. Les exportations de pétrole – principale source de devises – se sont effondrées, passant sous les 150 000 barils/jour. Déjà affaibli par des années de sanctions, Téhéran doit désormais composer avec des réserves de change limitées, une monnaie en chute libre, une inflation estimée à plus de 50 % et une pauvreté croissante. Dans cette guerre de l’usure, le temps joue contre les deux économies. Les infrastructures brûlent, les touristes fuient, les investisseurs hésitent. Et plus la guerre dure, plus la reconstruction – politique, économique et sociale – s’annonce longue et incertaine.

Antsa R

Guerre Iran-Israël : Vers la flambée du prix de pétrole, un cauchemar pour les économies fragiles

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Tanà : Roalahy manao fanamiana polisy manery mandoa vola

L’escalade du conflit entre Israël et l’Iran a déclenché une série de conséquences économiques majeures, particulièrement dans le secteur des produits de base. Cette guerre aura des impacts inévitables sur l’économie des pays en développement.

Depuis l’intensification des frappes israéliennes sur des installations nucléaires iraniennes en juin 2025, le prix du pétrole a connu une forte hausse. Cette situation a des répercussions globales, affectant directement les économies des pays dépendants de l’importation d’hydrocarbures, dont Madagascar. En effet, la guerre entre Israël et l’Iran, qui pourrait s’étendre à une campagne militaire prolongée, a des répercussions immédiates sur les prix du pétrole. La valeur du baril de pétrole Brent, référence mondiale, est passée de 64,1 dollars début juin 2025 à près de 77 dollars un mois plus tard. Cette flambée des prix résulte de la rupture de la stabilité au Moyen-Orient, un facteur crucial dans la fixation des prix du pétrole. Le détroit d’Ormuz, par lequel transite une part significative des exportations de pétrole mondial, est particulièrement vulnérable à un blocage en cas de prolongation du conflit. Ce scénario provoquerait un choc pétrolier similaire à celui des années 1970, avec des répercussions mondiales graves.

Impacts

Pour les pays comme Madagascar, qui dépendent fortement des importations de pétrole, cette hausse des prix représente une menace économique majeure. La montée des coûts de l’énergie peut entraîner une inflation accrue, aggravant la situation des consommateurs et des entreprises locales. Dans un pays où les marges économiques sont déjà étroites, l’augmentation du prix des carburants et des produits dérivés comme l’électricité et les transports pourrait peser lourdement sur la croissance économique. Madagascar, tout comme d’autres nations africaines et asiatiques, est particulièrement vulnérable à cette hausse des prix. L’île, qui souffre d’un faible développement industriel et d’une forte dépendance aux importations, pourrait voir son économie ralentir. Une inflation galopante et des coûts énergétiques en hausse peuvent également déstabiliser le marché local, affectant directement les ménages et leur pouvoir d’achat.

Crise mondiale en devenir

Pour de nombreux observateurs, l’escalade du conflit entre Israël et l’Iran aura des impacts graves, mais difficiles à prédire. Outre les impacts immédiats sur le pétrole, elle pourrait aussi entraîner une aggravation de la crise économique mondiale, en particulier pour les économies vulnérables. Le risque d’un nouveau choc pétrolier, couplé à une instabilité accrue au Moyen-Orient, menace d’aggraver les défis déjà imposés par la pandémie et d’autres crises économiques mondiales.

Antsa R.

États-Unis : Forte implication indiquant un enjeu stratégique majeur

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Tanà : Roalahy manao fanamiana polisy manery mandoa vola

L’implication des États-Unis dans le conflit entre Israël et l’Iran est devenue une question déterminante pour la stabilité du Moyen-Orient. Bien que l’administration Trump ait exprimé des réticences à engager une intervention militaire directe, les signaux envoyés par Washington suggèrent un intérêt stratégique à soutenir Israël, tout en préservant des intérêts vitaux dans la région. Les États-Unis ont montré des signes de prudence, notamment en insistant sur la nécessité de solutions diplomatiques pour résoudre le conflit. Cette semaine, le président américain Donald Trump a ainsi indiqué que bien qu’une action militaire contre l’Iran soit envisageable, sa préférence reste la diplomatie, à condition que Téhéran accepte de stopper son programme nucléaire. Toutefois, l’escalade des tensions, notamment à travers des frappes israéliennes sur des installations iraniennes, a fait naître une inquiétude croissante concernant un engagement militaire direct de la part des Américains.

Sites ciblés

En parallèle, les risques pour les bases militaires américaines dans la région sont réels. Des milices chiites soutenues par l’Iran ont menacé de riposter en ciblant ces installations si Washington venait à intensifier son soutien à Tel Aviv. Cette situation révèle les dilemmes auxquels est confronté le gouvernement américain : soutenir Israël sans déclencher une guerre à grande échelle, tout en protégeant ses propres intérêts sécuritaires au Moyen-Orient. L’un des enjeux majeurs est la question nucléaire iranienne. Le site d’enrichissement d’uranium de Fordow est devenu un point focal. Selon des sources officielles, Trump envisage d’utiliser des frappes ciblées avec des armes de précision, comme la Massive Ordnance Penetrator, pour détruire les infrastructures souterraines de l’Iran. Bien que cette option soit encore en réflexion, elle met en lumière l’importance capitale pour Washington de neutraliser la menace nucléaire iranienne, perçue comme un défi direct à la supériorité stratégique des États-Unis et de leurs alliés. Bref, les tensions actuelles montrent que les États-Unis se trouvent à un carrefour. En fonction de la décision finale de Trump, l’Amérique pourrait, soit ouvrir la voie à un conflit régional de grande envergure, soit désamorcer la crise par une diplomatie habile. Le rôle des États-Unis au Moyen-Orient pourrait en sortir profondément redéfini, en fonction des choix géopolitiques faits dans les jours à venir.

Antsa R

Conflit Iran-Israël : Origines et le déroulement de la guerre

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Tanà : Roalahy manao fanamiana polisy manery mandoa vola

Le conflit entre Israël et l’Iran, récemment intensifié par des frappes aériennes et de missiles, est le point culminant de plusieurs décennies de tensions géopolitiques, religieuses et militaires. Ce bras de fer a franchi un nouveau seuil avec les récentes attaques mutuelles, marquées par des frappes israéliennes sur des installations militaires iraniennes et des missiles iraniens touchant des zones israéliennes. Le « pourquoi » de cette guerre remonte à plusieurs décennies. Depuis la révolution iranienne de 1979, l’Iran adopte une politique d’hostilité envers Israël, qu’il considère comme un régime sioniste occupant la « Palestine occupée ». De son côté, Israël perçoit l’Iran comme une menace existentielle, notamment en raison de son programme nucléaire et de son soutien à des groupes comme le Hezbollah et le Hamas, qui mènent des attaques régulières contre Israël. En parallèle, l’Iran soutient ces groupes en fournissant armes, fonds et formations pour lutter contre l’État israélien.

Tensions

Les hostilités se sont intensifiées avec la guerre civile syrienne et l’implication croissante de l’Iran en Syrie, où il a consolidé sa présence militaire, exacerbant les tensions avec Israël, qui redoute l’ancrage de l’Iran à ses frontières. Le programme nucléaire iranien a aussi joué un rôle crucial, Israël redoutant que l’Iran ne parvienne à obtenir l’arme atomique. En juin 2025, après l’échec des négociations sur le nucléaire, Israël lance l’opération Rising Lion, frappant des sites nucléaires iraniens. L’Iran réplique immédiatement par des frappes massives sur Israël. Ce nouvel épisode de guerre directe marque une escalade après plusieurs années de conflits par procuration. Aujourd’hui, les perspectives de cessez-le-feu restent minces. Tandis que la communauté internationale appelle à la désescalade, le cycle de violences semble destiné à perdurer, alimenté par des enjeux politiques et idéologiques profondément enracinés.

Antsa R.

Fête de l’Asaramanitra : Téléphérique et bus électrique pour le 65e anniversaire de l’indépendance 

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Les bus électriques seront réceptionnés prochainement.
Les bus électriques seront réceptionnés prochainement.

Les bus électriques ainsi que le téléphérique seront mis en service à l’occasion du 65e anniversaire de l’indépendance. Des essais du téléphérique ont déjà été effectués depuis quelques jours tandis que les bus électriques sont d’ores et déjà arrivés au port de Toamasina. 

Depuis quelques jours, les cabines du Transport Par Câble (TPC)  sont déjà aperçues en circulation dans les airs. À ce jour, aucune annonce officielle n’a encore été faite concernant la date précise de sa mise en service pour le grand public. Ils sont prévus être opérationnels avant les fêtes. En revanche, il a déjà été confirmé que les bus électriques récemment importés et déjà arrivés au port de Toamasina seront également opérationnels le 25 juin pour le transport gratuit au Lac Iarivo pour le traditionnel feu d’artifices. L’opinion publique reste partagée sur le TPC. Certains se disent enthousiastes, impatients de voir ce projet se concrétiser, notamment face aux embouteillages qui paralysent la capitale. D’autres, en revanche, expriment des inquiétudes, notamment sur la sécurité, soulignant la proximité apparente entre les câbles du téléphérique et les lignes électriques de la Jirama. Nombreux sont ceux qui espèrent voir le Transport par câble opérationnel très rapidement, afin de pouvoir combiner son usage à celui des bus électriques, notamment pour les trajets vers Ankorondrano et ses environs. 

Opérationnalisation

Bien que les cabines du Transport par câble (TPC) et les bus électriques soient toutes de couleur orange, il est à espérer que leur utilisation restera dénuée de toute connotation politique. Concernant les bus électriques, un total de 42 véhicules sont arrivés au port de Toamasina le 18 juin dernier, marquant une étape concrète vers leur mise en circulation dans la capitale. Les responsables ont indiqué qu’ils seront réceptionnés prochainement. Il s’agit alors de 12 bus électriques de 12 m chacun et 30 autres à moteur diesel de 7,5 m chacun. Un appel d’offres pour le recrutement des femmes conductrices de véhicules électriques a déjà été lancé par le ministère des Transports le mois de mai dernier. 

Narindra Rakotobe 

Les Israéliens tentés de se lancer tout seuls dans des opérations spéciales

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Tanà : Roalahy manao fanamiana polisy manery mandoa vola

Les attaques et les ripostes se multiplient de part et d’autre dans le conflit entre Israël et l’Iran. Une semaine après le début des hostilités, aucun des deux camps ne semble avoir pris le dessus sur l’autre. Les destructions sont à peu près similaires de chaque côté, mais les Israéliens disent vouloir en finir une bonne fois pour toute et poussent les Américains à intervenir. Le président Trump remet sa décision à plus tard et veut donner sa chance à la diplomatie. L’État hébreu semble cependant déterminé à se lancer tout seul dans l’attaque des installations nucléaires iraniennes.

Les Israéliens tentés de se lancer tout seuls dans des opérations spéciales

La guerre de communication est intense dans cette confrontation entre Israël et l’Iran. Le Premier ministre Benyamin Netanyahou a multiplié les interventions médiatiques après l’envoi de missiles iraniens sur les villes israéliennes. Les destructions occasionnées sont relativement importantes. Après les dégâts causés dans un hôpital, le ton est devenu encore plus menaçant. Il a prévenu le guide suprême iranien de sa détermination à l‘éliminer physiquement et à renverser son régime. Il a envisagé d’utiliser tous les moyens pour le faire. Il a, par ce biais, tenté de persuader ses alliés américains de participer à la stratégie qu’il veut mettre en place. Mais le président Donald Trump, qui, lui aussi, a beaucoup communiqué ces derniers jours, est resté très ambigu. Il a certainement tenu compte des avertissements des Russes et des Chinois qui l’ont mis en garde contre une  intervention militaire. Dans le même temps, l’Europe veut donner sa chance à la diplomatie. Le ministre des Affaires étrangères iranien va rencontrer ses homologues français, britannique et allemand à Genève. La porte-parole du locataire de la Maison Blanche a fait savoir qu’il donnerait sa réponse définitive dans quinze jours.

Patrice RABE

MIDIRAMA : L’avenir du monde se joue au Moyen-Orient 

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Tanà : Roalahy manao fanamiana polisy manery mandoa vola

La fête d’anniversaire qui a tourné au cauchemar après l’hospitalisation de nombreux participants, suivie de la mort de dix-huit d’entre eux, a marqué une opinion publique déjà traumatisée par les épreuves auxquelles elle est confrontée quotidiennement. Les Tananariviens ont été bouleversés par ce drame sur lequel, pour le moment, le terme « empoisonnement » a été prononcé. Il a mis en lumière également les insuffisances des moyens des services de santé de la capitale. La Jirama et ses délestages ont, une fois de plus, été pointés du doigt, causant l’interruption de l’alimentation en oxygène des patients en détresse respiratoire. Les autorités ont vite réagi et ont décidé de faire la lumière sur ce qui est arrivé. Les différents ministres sont venus devant la presse pour fournir des explications sur cet événement tragique. Le ministre de la Santé et celui en charge de la Gendarmerie ont voulu couper court aux supputations déjà exprimées sur les réseaux sociaux et ont affirmé que la vérité serait exposée de manière claire à l’opinion. Cette affaire, qui a choqué les parents, a été mise en parallèle avec d’autres incidents à Mahajanga et à Toamasina. Il s’agit de cas d’intoxication alimentaire. Des enquêtes ont été diligentées et leurs résultats seront dévoilés publiquement. La question des coupures de courant de la Jirama est, encore une fois, évoquée dans la rupture de la chaîne de froid dans les chambres réfrigérées. Plus généralement, le problème des délestages est toujours au centre des préoccupations de la population. Les mouvements d’humeur des consommateurs sont particulièrement bruyants puisqu’ils se manifestent régulièrement le soir lors de leur descente dans les rues. Jusqu’à présent, ils restent respectueux de l’ordre public, leur rage ne se transformant pas en dégradation de matériels. Ils savent que, pour le moment, ils doivent supporter ces désagréments qui ne cesseront pas de sitôt. 

La célébration du 65e anniversaire de l’Indépendance de Madagascar ne semble, pour le moment, pas susciter de véritable engouement chez les Malgaches. Le pouvoir, pourtant, multiplie les appels à manifester la fierté d’être malgache. Le programme des festivités préparées par le pouvoir est particulièrement alléchant. Les podiums sont installés à différents endroits de la capitale et de nombreux artistes vont s’y produire. Le lac Iarivo s’apprête à accueillir les feux d’artifice du 25 juin.

La guerre entre l’Iran et Israël, même si elle se trouve à des milliers de kilomètres de la Grande île, préoccupe aussi les Malgaches. C’est l’avenir du monde qui est en train de se jouer en ce moment. Toute la planète a les yeux fixés sur ce conflit particulièrement meurtrier. La rivalité entre l’État hébreu et l’Iran risque d’entraîner l’embrasement de toute cette région du Moyen-Orient. L’attaque lancée par les Israéliens contre l’Iran, il y a une semaine, ne l’a pas fait plier et a entraîné une aggravation de la situation régionale.

Benyamin Netanyahou a utilisé des moyens importants pour essayer de renverser le régime iranien. Les attaques qui se sont multipliées durant ces sept jours, même si elles ont été dévastatrices, n’ont pas réussi à faire plier le régime iranien. Les infiltrations d’agents du Mossad ont été payantes, mais la riposte iranienne ne s’est pas fait attendre. Avec les milliers de missiles à leur disposition, les Iraniens ont répondu massivement. Le dôme de fer israélien n’a pas réussi à les arrêter tous. La population est maintenant obligée de se réfugier dans les abris. Les destructions de bâtiments sont importantes et les morts et les blessés se comptent par dizaines. Les États-Unis ne semblent pas pour l’instant décidés à entrer dans la bataille. L’appel pressant de Benyamin Netanyahou pour les convaincre de le faire ne semble pas les convaincre. Donald Trump a affirmé qu’il se donne quinze jours pour prendre sa décision. Il espère encore arriver à la conclusion d’un accord avec Téhéran. 

La situation des Gazaouis est toujours aussi préoccupante, mais elle semble éclipsée par le conflit entre Israël et l’Iran. La population continue à se ruer sur les centres de distribution de vivres mis en place par une ONG américaine et les tirs de l’armée israélienne font des dizaines de victimes. Les habitants de la bande de Gaza sont maintenant totalement oubliés par la communauté internationale.

Les problèmes que les Malgaches connaissent actuellement paraissent mineurs à côté de ceux des habitants du Moyen-Orient vivant quotidiennement sous les bombes. L’avenir du monde est en train de se jouer dans cette région et la diplomatie a plus que jamais un rôle à jouer pour préserver une paix de plus en plus fragile.

Patrice RABE

Andiloava-Rn7 : Taksiaborosy nivadika, olona telo naratra mafy

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Tanà : Roalahy manao fanamiana polisy manery mandoa vola

Fiara mpanao zotra nasionaly “sprinter” inday no niharan-doza zoma 20 jona maraina teny amin’ny lalam-pirenena faha-7 (Rn7) tao Andiolava, Faritra Ihorombe. Arak any fantatra dia niala avy any Fianarantsoa hihazo an’i Toliara ity fiara ity izao tra-doza izao. Nandeha tamin’ny lalana mahitsy ary marina io fiara io no nivoaka ny lalana ary nivadika natory tamin’ny ilany havanana. Vokany, mpandeha telo no voalaza fa naratra mafy tamin’izany. Ireto farany izay nentina avy hatrany namonjy ny toeram-pitsaboana taorian’ny famonjena nataon’ireo fiara nandalo ka nahita ny zava-niseho. Araka ny fitiliana nataon’ny zandary nanao ny fanadihadiana izay tonga teny an-toerana dia ny torimaso fotsy nahazo ny mpamily no nahatonga ny loza. Tranga izay mateti-pitranga amin’itony fiara mpanao dia lavitr’ezaka itony noho ny havizanana izay mahazo ny mpamily izay matetika tsy mba manana mpanampy akory. Tsy vitan’izay fa mbola betsaka amin’izy ireny no tsy mba manaja ny fotoana tokony hialana sasatra mialohan’ny handray familiana. Soa aloha fa tsy nisy ny aina nafoy tamin’izao raharaha izao na dia mafimafy ihany aza fahavoazana teo amin’ireo naratra sy ny fahasimbana teo amin’ilay fiarakodia.

T.M.

Fenoarivobe : Lehilahy maty nototoin’ny omby

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Tanà : Roalahy manao fanamiana polisy manery mandoa vola

Rovitra ny ilan-kibony, rovitra ny foto-peny, feno maratra sy mangana ny vatany iray manontolo … vatana efa tsy misy aina intsony no novantanin’ireo mpamonjy sy ny mpitsabo. Tsy nisalasalàna fa nisy namono ity rangahy ity saingy tsy lavitra ny tompon’antoka : ilemainty ! Ilay omby fiompiny ihany. Biby anisan’ny manana ny toerana amin’ny fiarahamonina malagasy raha ny omby : manampy amin’ny asa ary mpanome sakafo ihany koa… saingy biby mampidi-doza indraindray raha ity tranga niseho tao Marofarihy Fenoarivobe, distrikan’i Tsiroanomandidy ny andron’ny alarobia lasa teo. Raha ny fampitam-baovaon’ny zandary dia raim-pianakaviana iray no maty tsy tra-drano rehefa voatoton’ny omby nompiany ihany. Nampandrenesina avy hatrany moa ny zandary ary tonga teny an-toerana niaraka tamin’ny mpitsabo nojery ifotony ny zava-misy. Efa vatana mihoson-drà no hita teny an-toerana hoy ny vaovao, ary ilay omby mijoro tsara, feno rà ihany koa ny tandrony. Tsy nisy azo natao intsony moa ny momba ity lehilahy ity hany ka taorian’ny fizahana nataon’ny mpitsabo dia natolotra ny fianakaviana ny razana. Nanokatra fanadihadiana kosa ny zandary. “Tsy ny omby no atao famotorana, hoy izy ireo fa rehefa misy tranga faty olona tahak’izao dia tsy maintsy misy ny fanadihadiana misokatra sy ny fanaovana ny “procès verbal” Mila fahamailona tokoa ny toe-javatra tahak’ity, eny fa na dia misy amin’ireo mpiompy azy ireny no voalaza fa manana “ody tandroka” mba tsy hanotoan’ny omby azy. “Aza matoky biby ompiana loatra fa teto dia tena nitombina ilay hoe fanahim-biby” hoy ny zandary

m.L

Empoisonnement à Imerinkasinina : Huit personnes déférées au parquet hier

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Tanà : Roalahy manao fanamiana polisy manery mandoa vola

Le défèrement au parquet n’a pas attendu longtemps sur l’affaire d’empoisonnement collectif à Imerinkasinina. Hier, les enquêteurs mixtes de la gendarmerie et de la police ont présenté devant le ministère public les huit suspects (6 femmes et 2 hommes) de l’affaire. « Les réquisitions des appels, les perquisitions et la visualisation des enregistrements de la vidéosurveillance ont montré des preuves accablantes de leur implication dans l’acte criminel. Il y avait ceux qui étaient dans la fête et d’autres non. Les tâches varient entre livraison du poison, le verser dans les donuts. Empoisonnement et complicité d’empoisonnement sont les chefs d’accusation retenus contre ces gens. Ce sont des peines prévues par l’article 202 du code pénal avec une  lourde sanction de travaux forcés à perpétuité », a souligné la Procureure de la République hier, juste après la mise sous mandat de dépôt des trois d’entre les huit personnes. Cette autorité judiciaire a insisté sur l’impossibilité de demande de libération provisoire, suivant la nouvelle politique en matière criminelle du ministère de la Justice. Après 48 heures d’interrogatoire et de garde à vue, l’enquête préliminaire a été close bien que la police judiciaire dispose d’une prérogative de prolongation maximale de garde à vue en matière criminelle. En un temps record, les limiers ont pu rassembler des preuves irréfutables pour les présenter au Parquet. Les spéculations vont bon train sur les réseaux sociaux, où les internautes suivent de très près l’évolution de cette affaire criminelle. Il a été officiellement confirmé que le poison a été injecté dans les beignets sucrés, probablement pendant la fête et non avant. Certaines personnes ayant goûté aux donuts peu après leur arrivée à l’espace Valéria sont restées indemnes, ce qui confirme une fois de plus l’utilisation d’un produit hautement toxique, introduit discrètement alors que les invités étaient plongés dans l’ambiance festive. Dans son intervention télévisée, le Chef de l’État a évoqué la piste d’une querelle familiale, s’appuyant sur un précédent antécédent tragique dans la même famille, où une personne avait déjà été tuée par empoisonnement. Le mobile du crime semble se dessiner peu à peu, à la lumière des recoupements entre diverses sources officielles. Concernant la nature exacte du produit toxique, les résultats des analyses d’échantillons envoyés dans un laboratoire à l’étranger sont toujours attendus. L’affaire est sur toutes les lèvres, et le grand public attend avec impatience de connaître l’identité du meurtrier tapi dans l’ombre. 

D.R