Ne vous êtes-vous jamais demandé si l’on pouvait se passer de politique ?
Pourrait-on vivre sans Etat, sans le pouvoir politique auquel nous sommes soumis ?
Nul ne peut contredire que les tribulations auxquelles nous avons été confrontés depuis des décennies sont le résultat des manigances politiques. L’aveuglement des politiques et l’entêtement des hommes soi-disant forts, qui président souvent aux destinées des peuples, n’obéissent pas toujours aux exigences de la logique et du bon sens. La politique fait bien des fautes, mais comme elle se les pardonne !
Les politiques n’ont plus de conviction. Ils usent de la démagogie pour faire miroiter ce que les gens n’osent même pas espérer. Ils croient tout savoir, comme s’ils avaient la science infuse et, pour eux, il n’y a pas de compromis pour prendre le pouvoir.
En politique, il n’y pas d’amis ou des ennemis, il n’y a que des intérêts. Ne nous laissons pas abuser : tous ces politiciens sont, avant tout, des comédiens qui changent d’apparences en fonctions des circonstances. Ils savent plus que quiconque mettre leurs haines en commun !
Le courage politique se résume à toute l’énergie que mettent en branle les hommes politiques pour arriver au pouvoir. Une fois qu’ils y sont parvenus, ils absorbent toute leur force pour s’y maintenir !
Et que gagne le peuple, où même les fidèles partisans ? Désolée de vous décevoir, mais la politique ne repose pas sur des notions morales telles que la solidarité, l’entraide ou même la reconnaissance ! L’important est d’être craint !
Mais, comme dans toute chose, il y a toujours plus fort que soi et très souvent, tel est pris qui croyait prendre ! Car, pendant que certains se perdent à se crêper le chignon, d’autres tirent les ficelles et se félicitent de pouvoir diviser pour mieux régner !
