
L’Hémisphère Sud, en particulier l’Océan Indien est en train de devenir le théâtre maritime de l’évolution planétaire. Le secteur maritime étant en fait un vecteur essentiel du commerce international. Mais le monde maritime doit se mobiliser pour faire face au nouveau contexte d’exigences et de besoins. D’où, des journées d’échanges et de réflexion entre tous les acteurs concernés ont eu lieu dernièrement dans le cadre de la 10e édition de l’Indian Ocean Ports & Logistics Conference and Exhibition (IOPL) à La Réunion. Le gigantisme des navires avec les exigences que cela impose sur les ports constitue un des sujets au centre des débats. L’objectif est de se positionner en plateforme unique, solidaire, efficace et compétitive. En fait, toutes les parties prenantes reconnaissent que l’avenir de l’Océan Indien repose sur la potentialité de ses ports.
Nombreux sujets. C’est ce qu’on a appris dans le Bulletin trimestriel d’information du SPAT (Société Portuaire à Gestion Autonome de Toamasina), No 26, intitulé « Port Echo ». Ce magazine relate entre-temps de nombreux sujets tels que la préservation des ressources naturelles, la formation Interpol au port de Toamasina, le CODE ISPS. La clôture de la saison des croisières 2015-2016, les ports de commerce et la lutte contre la corruption ne sont pas en reste. Par ailleurs, le trafic maritime, les mouvements des navires et l’annuaire des marées y sont publiés régulièrement, sans parler des informations sur la santé, le sport ainsi que la culture et éducation.
Recueillis par Navalona R.