En attendant que la CENI expose les listes officielles des candidats aux élections communales et municipales du 11 décembre, Tahina Razafinjoelina a déjà annoncé la couleur de la campagne qu’il veut mener. Celle-ci se basera sur un programme concret.
Le ton est donné. Alors que les autres candidats aux élections municipales du 11 décembre restent encore dans l’observation en attendant la date du 8 octobre, date de la sortie officielle des listes des candidats par la CENI, Tahina Razafinjoelina, numéro Un du parti Tia Tanindrazana (TT), se projette déjà sur la forme de campagne qu’il va mener qui, selon ses explications, sera le reflet de ce que chaque candidat compte entreprendre une fois élu à la tête de la Commune Urbaine d’Antananarivo. Lors d’une émission spéciale, diffusée par les principales chaînes privées de la capitale, il a ainsi exprimé son souhait pour qu’un débat de fond entre les 7 candidats pour la course à la mairie d’Antananarivo soit organisé durant la période de campagne électorale.
Culte du travail. Tahina Razafinjoelina veut, en effet, placer sa campagne sur la base d’un programme élaboré par son parti depuis 2010. Celui-ci répond au triptyque : éducation, décentralisation budgétaire et Antananarivo numérique. « Tout ce que nous allons proposer, c’est un programme réalisable. On ne va jamais faire des promesses qui vont faire rêver les électeurs », a-t-il d’ailleurs soutenu. Afin de parvenir à son principal objectif, le développement d’Antananarivo, il veut mettre en place le « culte du travail », qui commence par la valorisation de l’éducation. « Nous n’allons pas faire de cinéma. Nous allons montrer ce qu’on attend du maire d’une capitale. Le plus important c’est le travail », a-t-il lancé. En fait, depuis ces dernières décennies, les campagnes électorales se résumaient à des spectacles gratuits, des distributions de vivre et des différents kits sans réel débat de fond.
Opposition constructive. En tout cas, le co-leader de la plateforme Kôlekitifa an’ny Malagasy aspire à un véritable changement dans la pratique politique malgache. Tout en assumant sa position et le rôle qu’il a joué avec le Collectif des candidats, Tahina Razafinjoelina veut être clair sur ce qu’on entend par opposition. « Nous, on s’oppose à l’injustice et à tout ce qui ne va pas. On s’oppose à des idées et non pas à des personnes », a-t-il confié, avant d’ajouter qu’« il s’agit d’une opposition constructive ». Quoi qu’il en soit, avec les 58 candidats aux conseillers municipaux, tous issus des partis politiques, qui font partie de sa liste, il reste pragmatique tout en favorisant la transparence qui se fera surtout par une vraie digitalisation.
Julien R.
Une prestation médiatique de qualité sans langue de bois . On a pu observer la valeur intrinsèque de l’homme : posé , respectueux , pédagogique et déterminé . On est très loin du populisme démagogue de Rainilainga avec les cuvettes et les jiron’akoho . Certainement ce Radomelina avec la complicité de cette HCC corrompue trouvera les moyens et les artifices de faire campagne pour la pédante sainte-nitouche . Cette volomboasary édulcorée PDS actuelle a commencé son cirque avec les travaux à la va-vite des routes dans la capitale et cette annonce en grand pompe d’installations de caméras de surveillance au nombre 900 qui coïncident bizarrement avec la période pré-électorale . Les abrutis comme l’autre COLLABO avec son pseudo de tarlouze DOUGLAS qui vont certainement saliver avec ces tromperies flagrantes et fustiger minablement ce membre du collectif en arrière plan sur la photo par aversion personnelle gratuite et minable . Tahina a annoncé la couleur en revendiquant un débat de fond entre les candidats et c’est tout en son honneur pour une véritable démocratie !
Une rhétorique comme une autre, certes.
Mais pourquoi attendre la période uniquement électorale pour chercher à vider son sac ? Si tant est que le » fitiavan- tanindrazana » se veut d’ être un marqueur et non seulement un fonds de commerce .
Et quand on a un soutien à la langue de vipère, il y a de quoi faire réfléchir quelle couleuvre veut on faire avaler ?
Il n’y a pas d’opposition inutile, tout est dans le pilotage. Et les querelles vont en soute pour l’occasion.
Et comme attendu le HAINEUX COLLABO de Rainilainga débarque avec ses caricatures malveillantes et qui utilise à tort et à travers des mots comme « rhétorique » . Avec sa misère intellectuelle il ne sait même pas qu’on ne parle pas de » langue de vipère » s’agissant d’un homme sauf s’il fait déjà allusion à sa pédante sainte-nitouche PDS sorte de » poupée gonflable » dans l’événementiel ancien de Rainilainga ! On voit bien que ce faux-cul n’a rien compris en terme de débats d’idées ce qui n’étonne guère avec ces incessantes masturbations linguistiques de débile !